Chapitre 15 : l'enquête est devenue fédérale.

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TOUT D'ABORD JE TENAIS À REMERCIER NDEYALINDA🥰🥰 QUI M'A FAIT UNE FAVEUR DANS SON DERNIER CHAPITRE. YÉNANGUI DIAPP CI LIGUEYY BII ET C'EST ENCOURAGEANT WAW KEUY 😌 😌

ON COMMENCE 🤩🤩


Archi composa le numéro de Mlle Maric et la demanda où  en étaient-ils avec l’intervention à l’hôtel.
-   Nous sommes là chef, mais ils nous refusent l’accès ils nous demandent un mandat de perquisition « c’est une propriété prive » ils disent.
-   Alors vous savez ce que vous devez faire donc, allez chez le juge, je vais l’appeler pour te faciliter la tâche.
-   Ok chef je m’en vais de ce pas.
-   Attendez un peu, n’amenez surtout pas tous tes gars laissez quelques-uns sur place pour qu’ils surveillent l’activité, je suis sûr qu’il y passe quelques choses de pas net. Sur ce, il raccrocha et appela le juge. « D’accord je suis à mon bureau mais qu’elle fasse vite j’ai une audience à présider tout à l’heure »
-   Merci Mr le juge, elle est en route, dit Archi et raccrocha.

Le docteur accorda à Zara la permission de voir sa mère avant son transfert.
-   Maman s’il te plait ne me laisse pas seule j’ai besoin de toi plus que jamais.
- Je ne vais nulle part, et je ne vais quand même pas rater l’occasion de voir mon petit-fils. Mais j’ai oublié de te demander tu connais le sexe de l’enfant ?
-   Non hélas Maman, je n’ai pas eu le temps, mais je vais faire une échographie après je te dirais avant ton intervention.
-   Merci mon ange mais avant ça je dois te dire quelque chose. Et écoute-moi attentivement par ce que c’est important. Zara se pencha vers elle et l’écouta avec méditation. Ainsi Aicha révéla a sa fille toutes les choses qu’elle devait savoir et qu’elle n’a jamais su à propos de sa mère y compris son demi-frère qui se trouvait au Sénégal. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle elle est allée au Sénégal. Ce n’était pas seulement le baptême de Souleye qui l’a poussé à sortir de sa tanière. D’ailleurs, le jour même où Zara s’est fuguée, c’est de là où sa mère voulait l’amener. Même Rassoul le demi-frère ne connaissait pas sa vraie mère. Il savait qu’il était un enfant adoptif mais il n’y a jamais eu l’intention de chercher sa vraie famille. Zara était évidemment entonnée, elle n’a jamais douté que sa mère était capable de lui cacher une chose  aussi norme qu’un frère. Elle était furieuse par ce que c’est tout ce qu’elle désirait avoir un frère ou une sœur. Aicha aussi ne pouvait pas lui donné de fausse espoirs. Car, cela fait des années qu’elle le cherche
-   Mais pourquoi tu me le dis que maintenant maman ?
-   Par ce que je ne savais pas qui s’était jusqu’à récemment. Je me suis permise de prendre les services d’une détective privée il  y a plus de treize mois, je lui ai donné les informations dont je me souvenais et elle m’a appelé quelques jours après ta tente m’ait contacté pour me dire qu’elle avait un enfant. Alors je me suis dit qu’on fera une pierre deux coups. Mais t’inquiète pas je vais te mettre en contact avec lui. « Mme il faut qu’on y aille le médecin n’attends que vous » lui dit un des ambulanciers qui devait l’amener.
-   Mais attendez, on n’a pas encore fini notre discussion.
Dit Zara elle voulait en savoir plus et ce, dès maintenant.
Les ambulanciers faisaient comme s’ils n’avaient rien entendus.
-   Maman tu as intérêt à me revenir tu me dois des explications.
-   Mon agenda, regarde mon agenda. Lui dit sa mère en s’éloignant d’elle. Zara s’est mise à pleurer de nouveau, elle était triste pour sa mère qui devait subir une intervention chirurgicale compliquée. Diari s’est rapproché d’elle et lui prends dans ces bras. « Tout ira bien ma belle ne t’en fait pas ».
Mlle Maric revint, mais cette fois ci avec un mandat de perquisition, elle le montra au gardien en chef il le prit, le lut et les laissa passer sans faire de bruit. Ce qui n’était pas le cas pour les policiers qui se précipitait pour rentrer dans l’hôtel. Ils se dirigèrent directement vers l’appartement ou était détenue Zara, ils ouvrirent la porte, rentrèrent, retournèrent l’appartement, mais ils ne trouvèrent rien, absolument rien. « Putain de merdre fils de pute a la con » hurla Mlle Maric.
-   Vous croyez qu’il n’y a pas de chance pour qu’on se soit trompé d’appartement, dit l’un des policiers qui se trouvait auprès de l’inspecteur Maric
-   C’est le même appartement, ces imbéciles voulaient gagner du temps pour faire le nettoyage avec leur mandat de merdre.
Mlle Maric avait raison ils ont passé par là, ils étaient deux, une femme d’environ 40 ans et un homme plus jeune. Ils ont passé par la rentrer de la porte du service et ils ont tous balayé de tel sort que même les inférant rouges que les policiers utilisaient pour détecter les empruntes, ne montrait rien. « Mais je vous dis tout n’est pas encore jouer, allons voir les vidéos de surveillances » dit-elle à l’informaticien qui les accompagnait.
Avec ce dernier sur un énorme disque dur, ils téléchargèrent toutes les vidéos de surveillance depuis que Zara était là. Et les amena avec eux. Mlle Maric avait l’intention de passer au peigne fin toutes les vidéos. Elle détestait l’échec et là, elle était au point d’échouer avec cette mission et ça, il en était hors de question. En rentrant au commissariat, il appela Archi pour lui faire un topo. « C’était le lieutenant ? »  Lui demanda l’informaticien.
-   Oui c’est lui-même.
-   Il va te faire passer un savon tu le sais  ça.
-   Evidement que je m’y attends.
-   Mais bon, c’est temps si on dirait qu’il a une chatte à feuilleter.
-   Hahah sache que le savon, on le partagera par ce que je vais le lui dire.
-   Non s’il te plait, ne lui dit pas, je plaisantais seulement. Sur ce ils rirent, rentrèrent dans la voiture et partirent.

Ils arrivèrent à l’hôpital tous ensembles. L’ambulance était devant, les autres la suivirent dans la voiture d’Archi. L’hôpital était énorme, elle se composait de huit étages avec tous les services possibles, repartie par département. Dès leur arrivés, le chirurgien les accueillit avec gentillesse, et taquina Aicha un peu. Le chirurgien était excité pour faire l’intervention. Ce sera un pas de plus pour sa carrier. Le cas de Aicha était rare, ce n’était pas tous les jours qu’on en voyait un, et le plus important était qu’il se sentait prêt et motivé, il savait qu’il pouvait le faire, et ça l’a rendit enthousiasme.
-   Bienvenue dans nos humbles demeures mesdames et messieurs, Dit le docteur.
-   ça n’a rien d’humble vraiment, mais merci dit Zack.
-   Docteur, s’il vous plait prenez soin de ma mère, c’est la seule chose qui me reste à ce moment, l’implora Zara.
-   Ne vous inquiétez pas gentil-dame, je ferais de mon mieux. Et ce n’est pas la première fois que l’hôpital traite le genre de cas comme celui de votre mère.
-   Nous comptons sur vous vraiment, luis dit Diari et alla vers son amoureux qui arrivait avec le téléphone sur les oreilles, c’était toujours Mlle Maric qui le tenait au courant de ce qui s’est passé dans l’entrepôt.
-   Ils ont trouvé une troisième emprunte mais ils ne savent pas de qui ça venait.
-   Et celui qui était à l’hosto, comment il va ?
-   Il ne s’est toujours pas réveille chef.
-   Dis-leur de redoubler de vigilance c’est notre seul atout étant donné que l’autre est morte.
- Ok je vais les appeler tout de suite. Elle raccrocha et les appela sans attendre. « Doublez votre surveillances Mr le commissaire » lui dit Maric.
-   D’ailleurs je voulais vous appeler, le gars est mort.
-   Quoi !! Comment ça il est mort ? S’étonna-t-elle.
- Ils disent que c’est une crise cardiaque mais vous savez ce que j’en pense. Sur le champ, elle se mit sur la route et appela le lieutenant qui lui conseilla de fermer l’hôpital et de regarder les vidéos de surveillance s’ils vont trouver quelques choses de suspect ou pas. Les docteurs qui s’occupaient de lui furent interrogés en vain. Cependant, il y avait une anomalie. Car, ils ont vu quelqu’un se déguisant comme un médecin entrer dans la salle y a environ trente minutes avant la soi-disant crise cardiaque. Ils se disaient que c’était trop longtemps mais comme ils n’avaient pas grand-chose et ils leur faillaient quelques choses donc, ils s’accrochèrent à cette piste. Ils identifièrent le gars mais ils ne savaient pas de qui s’agissait-il. Quelques instants plus tard, Maric arriva, se présenta au policier avec qui elle était en contact et le demanda ou en était-il.
-   Bah on est dans une impasse tout ce qu’on a trouvé c’est ce gars-là mais on ne sait pas qui sait. Il lui montra une photo.
-   Donnez-la moi, je vais l’envoyer à l’un de mes amis, il travaille au FBA, peut-être il pourra nous aider. Elle prit une photo avec son smartphone et l’envoya à l’ami. Systématiquement, il leur dit de qui s’agissait-il. « Le tueur fantôme » dit-il « c’est un loup solitaire, il ne chasse pas en meute, depuis trop longtemps nous avec l’Interpol, courrons après lui mais en vain. La dose qu’il t’administre ne fait effet qu’après environ trente minutes selon nos analystes ».
-   Ce qui lui donne le temps d’être très loin j’imagine.
Commenta Maric.
-   T’as tout compris.
-   Merci pour ton aide au moins nous savons avec qui nous avons affaire.
-   Mais de rien. Et si vous nous laissiez l’enquête, comme le
Fantôme est impliqué, c’est quelques choses de grave. Et je ne crois pas que vous contrôlez la situation, vu la manière dont tu me parle.
-   Vous avez raison, je vais appeler le lieutenant pour lui suggérer ton idée, je te rappelle tout de suite, ne soit pas loin. Elle appela Archi, lui suggéra l’idée de son ami, mais il n’y voyait aucun inconvénient du coup, l’enquête est devenue fédérale. Mlle Maric appela son ami pour lui dire qu’ils vont l’envoyer tous les dossiers qu’ils avaient récolté depuis la disparition des deux amoureux.
- N’oublie surtout pas, tu m’en dois une, lui dit L’ami.
- Voilà pourquoi je n’aime pas te demander des services tu ne fais rien gratuitement.
-   Ce n’est pas moi c’est la vie qui va ainsi tu ne savais pas ?
-   Ok d’accord, de toute façon avec toi je ne risque pas d’oublier. Il raccrocha et appela sa secrétaire.
Aicha était déjà au bloc. L’opération a débuté depuis plus d’une heure. Ils étaient là à attendre. Il y avait des internes en chirurgies qui voulaient suivre l’intervention mais, comme ils  ne pouvaient pas rentrer dans la salle d’opération, ils la suivaient via une vitre qui se trouvait en haut de la salle.
Ils étaient tous assis sur la salle d’attente sauf Zara, qui, depuis tous ce temps s’est mise debout. D’un coup, elle décida de rejoindre le groupe en même temps qu’Archi qui venait aux nouvelles.
-   J’ai deux nouvelles paradoxales, je commence par la quelle ? les interrogea Archi.
-   Par la mauvaise, s’il te plait, dit Diari.
-   L’autre gars qui était en commun est mort, il a été tué par un tueur professionnel que l’on appelle « le
Fantôme » ce gars a était suivi par le FBA et Interpol en même temps. Ce qui me ramène par la bonne. Comme ce gars est impliqué, la FBA juge que c’est du lourd donc, ils ont pris l’enquête. Ainsi, elle est devenue fédérale.
-   C’est plutôt une bonne nouvelle  ça. Dit Zack. FBA est beaucoup plus équipée que vous et elle a plus de moyenne.
-   Certes, mais cela ne veut pas dire que nous allons baisser les bras et il se pourrait qu’on trouve quelques choses de notre cote.
-   Ouais comme depuis tout ce temps. Ironisa Zara. Du coup la discussion est devenue froide.
-   Bon c’était ça, dit Archi et se leva vers la sortie. Diari le rattrapa et lui dit « hey ne lui en veut pas ok, tu sais, elle a beaucoup de bagages à ce moment, elle a besoin d’évacuer, faut la comprendre »
-   Et je suis la cible parfait, dit Archi. Bon, je la comprends mais en même temps elle a raison.
-   Ne dit pas ça, avec toi nous sommes en sécurité c’est déjà ça et vous faites seulement avec ce que vous avez dans les mains.
-   Merci ma belle, venant d’elle, je peux  comprendre mais si ça venait de toi je ne pourrais pas supporter.
-   Je suis à ton côté mon chéri.
-   Alors je vais rentrer à la maison, et me changer un peu, tu veux m’accompagner.
-   Toi aussi, j’aimerais bien, mais comme tu vois, je ne peux pas les laisser seuls.
-   Ah comme t’es gentille voilà pourquoi je suis fou de toi.
-   Sérieux t’es fou de moi ?
-   Oui mais un peu quoi, il ne faut pas exagérer.
-   ça me suffit, aller à tout à l’heure.
-   Ok ma belle. Il lui fait une bise et parti. Quant à Diari elle retourna vers sa famille.

Mlle Zara. Tome 1 : Quand L'amour dit Oui Où les histoires vivent. Découvrez maintenant