10. Crise de nerf

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Il était tard, maxime était épuisé mais le sommeil ne veut apparemment pas de lui. Elian est dans la chambre d'à coter, il rentrait le lendemain. L'envie n'étais pas présente, il allait devoir reprendre sa vie normal et inventer un autre mensonge qui engendra une autre réalité qui le fera pleurer en repensant à Sidjil. Ce n'est pas de cette vie d'ont il a rêver, comment sa en arriver la ? Que-ce qui a dérapé dans leur histoire pour qu'ils se détestent comme venins et sang ?
Il se leva de son lit, exaspérer de ne pas trouver le sommeil. Il ouvra ses rideaux et se recoucha les yeux encrés dans le regard lumineux de la sphère en face de lui autrement appeler lune. Lune, c'était très jolie comme mot. Maxime aimait bien la regarder, il la trouvait magnifique ! C'est vrai, la lune est très jolie en cette nuit de pleine lune. Elle rayonne de mille feux..comme son sourire autrefois.
C'est dès lors que Maxime se rendit compte que quelque chose de putride prenais part de lui, quoi ? Il ne savait pas, mais sa allait frapper.

La tension dans la pièce était palpable, une atmosphère électrique qui pesait sur les épaules de maxime. Des émotions refoulées, comme des volcans en éruption, bouillonnaient en lui, prêt à tout moment à déchirer la surface calme de son apparence habituelle.
Soudain, un détonateur invisible fut enclenché, libérant une avalanche d'émotions refoulées. Les mains de Maxime tremblaient, son souffle s'accélérait, et ses yeux, jadis calmes, étaient désormais des océans déchaînés de frustration. Un torrent de paroles empreintes de colère jaillit de sa bouche, une cascade vociférante de reproches et d'incompréhensions qui inondait la pièce.
Son visage, autrefois serein, était maintenant un tableau de tourments. Ses yeux étaient des éclairs lançant des éclats de fureur, ses joues rosées trahissant l'intensité de ses émotions. Des gestes brusques accompagnaient ses paroles, comme si il tentait de chasser les démons intérieurs qui le tourmentaient.
Les objets, jusqu'alors paisibles témoins de la scène, devinrent involontairement des victimes de sa colère. Des livres volaient, des chaises basculaient, tandis que le tumulte de ses émotions se répercutait dans chaque coin de la pièce. La crise de nerfs de Maxime était une tempête, une décharge cathartique de sentiments longtemps retenus, emportant tout sur son passage.
Puis, tout aussi soudainement qu'elle avait commencé, la tempête se calma. Maxime resta là, épuisée et vulnérable, les vestiges de sa crise jonchant le sol comme des débris d'un moment de folie. Son souffle s'était apaisé, mais son regard portait encore la trace de la tempête intérieure qui venait de le secouer.

Il ne sait comment, personne n'avait été réveillé dans sa guerre contre lui même.
Sous le ciel crépusculaire, devant sa fenêtre, ses yeux reflétaient une détresse infinie, comme des étoiles éteintes cherchant désespérément un guide. Son esprit errait dans les dédales de l'oubli, chaque pensée égarée étant une pierre lourde à porter. Les choses familières se transformaient en labyrinthes déconcertants, tandis que le voile de la confusion enveloppait son regard, noyant son âme dans un océan d'incertitude. Chaque mot prononcé était une énigme, et chaque visage croisé, un mystère indéchiffrable. Dans cette obscurité intérieure, il cherchait une lueur, un fil d'Ariane pour le guider hors de ce tourbillon déconcertant, mais seul le silence échoyait en réponse, un écho triste de sa quête éperdue pour retrouver la raison.
Il ne sait comment il en est arrivé là, mais ce qui est sur c'est qu'il lui manque quelque chose. Et cette chose il l'a connaît.

C'est un manque,
Un manque d'amour.

Sortir aller boire un café lui ferait du bien, c'est ce qu'il fit. Veste mise, chaussures mise, clés prise, porte ouverte ; sortie.

Dans l'éther vaporeux de la vie urbaine, maxime marchait avec le poids invisible d'un amour perdu. Ses yeux, reflets d'un océan d'émotions retenues, scrutaient l'horizon avec une tristesse profonde, comme si chaque coin de rue réveillait des souvenirs évanescents.
La silhouette solitaire de maxime se découpait contre la toile des buildings qui s'élevaient comme des monuments indifférents à sa quête intérieure. Ses pas, pourtant déterminés, semblaient être une danse mélancolique avec le béton froid de la rue de campagne, chacun d'eux portant le fardeau d'un désir insatisfait.
Son visage, autrefois illuminé par le sourire d'une affection partagée, était maintenant une fresque d'ombres, tracées par des regrets qui avaient creusé des canyons dans son âme. Les rues grouillaient de vies étrangères, mais pour maxime, chaque pas dans cette marée humaine n'était qu'une marche solennelle à travers l'incompréhension.
Les cafés, autrefois des havres chaleureux, étaient maintenant des sanctuaires solitaires où maxime s'asseyait, observant les éclats de rire des couples qui s'entrelaçaient comme des étoiles dans une constellation harmonieuse. La fumée de sa tasse de café s'élevait, dansant comme des pensées tourbillonnantes, perdant leur chemin dans les méandres de sa solitude.
Les saisons défilaient, changeant la palette des rues de la ville, mais pour maxime, le temps était un flux constant de mélancolie. Le printemps apportait des bourgeons de nostalgie, l'été des vagues de chaleur émotionnelle, l'automne une pluie mélancolique, et l'hiver, une tempête de solitude qui gelait son cœur.
Chaque coin de rue rappelait à Maxime des moments partagés, des rires partagés, des promesses brisées. Il cherchait avidement des visages familiers dans la foule, des regards qui pourraient ramener à la vie des échos de bonheur passé. Mais la ville, avec son bourdonnement incessant, n'était qu'un écho indifférent à son cri silencieux.
Les étoiles, jadis ses confidentes, ne semblaient plus cligner avec la même complicité. Leurs lueurs étaient des larmes astrales, témoins silencieux d'une épopée amoureuse qui s'était dissoute dans les nébuleuses de l'oubli. Maxime levait parfois les yeux vers le ciel nocturne, cherchant des réponses dans la vastitude infinie, mais seul le silence stellaire lui répondait.
Et ainsi, au fil des jours et des nuits, Maxime continuait son périple solitaire à travers les artères inanimés de la ville, cherchant désespérément une rédemption qui semblait se dérober. L'amour, comme une brume insaisissable, enveloppait son être, le laissant errer dans les labyrinthes de ses propres émotions, cherchant la clarté dans l'obscurité qui était devenue son compagnon silencieux.

Bonjour :)
Je sais, je suis sensée réviser mais j'ai de l'inspiration alors j'écris ce qui me passe part la tête.
Y'a quelqu'un qui m'a demander (je vais persévérer son anonymat) comment je trouvais l'inspiration. C'est pas compliqué, je m'inspire de ma vie. Quand je trouve quelque chose de pertinent inspirer et de la vie et de ytb, bah je l'écris pour vous :)

Dites moi ce que vous avez pensez de celui si !

1195 mots.

Relation discrète (Sidjil x Maxime) [TERMINÉ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant