le fils des enfers [En Correction]

chapitre 19: un mentor special

Il est là , dans l'ombre ,je le sent . Que veux t-il? Pourquoi s'est il introduit chez moi? Dois-je me préparer a me défendre ?

Point de vue de Sébastian :

J'arrive devant l'ambassade de l'Assemblée de la résistance révolutionnaire .... Soit la AARR. Une assemblée de politiques inutiles et incompétents.

Je rentre , dépasse la queue infinie de personnes qui cherchent a faire changer ou soumettre une loie. Ils sortent systématiquement avec une excuse polie et ridicule pour laquelle leur demande serais innaceptable.

Évidement il y a toujours une personne suicidaire pour exprimer son mécontentement lorsque je me place tout devant de la file et passe avant tout les aveugles qui voudraient que l'Assemblée accède a leur demande.

Ce suicidaire n'est autre qu'un humain grand et bien battit...pour un humain, d'à peu près une quarantaine d'années. Dommage pour lui, je suis de mauvaise humeur mais heureusement je suis pressé. Je me présente devant la secrétaire qui me reconnais immédiatement, m'affuble de son plus radieux sourire de secrétaire et s'apprête a engager la discussion lorsque l'autre suicidaire de tout a l'heure se permet de crier son mécontentement:

- C'EST QUOI CES MANIÈRES DE PASSER DEVANT TOUT LE MONDE. QUAND ON EST POLI ET BIEN ÉLEVÉ ON FAIT LA QUEUE !!

A croire qu'il souhaite que j'écourte sa miserable vie. Je me retourne alors dans sa direction, les quelques personnes entre nous ,m'ayant reconnu se sont écarté d'un seul homme me laissant un chemin dégagé qui mène au suicidaire grognon. Je fais quelques pas dans sa direction avant qu'il ne me reconnaisse, immédiatement son teint perd de sa couleur et son expression au préalable hautaine laisse place à une expression horrifiée.

Il recule pas à pas et met les mains devant lui dans ma direction comme si elles pouvaient m'arrêter.

- Je...je suis dé..dé..dé..désolé je savais pas que c'était v..vous.

Il trébuche sur le pied d'un jeune homme et se retrouve au sol essayant de reculer à quatres pattes en arrière. Il arrive rapidement à l'évidence qu'il ne peux plus reculer et se positionne en position foetale les yeuc fermé les membres crispés positionné pour protéger son visage.

Le spectacle est juste ridicule à en mourir et très satisfaisant. Je continue alors à m'approcher mais ma montre me ramène très vite à la réalité. Je laisse alors le prétentieux et suicidaire peureux au sol et retourne au guichet vers la secrétaire à laquelle je remet mon rapport de mission.

Je m'apprête à aller voir mon équipe que j'ai dû laissée, livrée à elle même lorsque quelqu'un m'appele.

C'est un escla....stagiaire de l'Assemblée.

Moi: humm??

- le conseillé general voudrait je cite: que, pour une fois, vous rendiez compte de l'avancée de la mission. Il m'a demandé de le lui procurer par tout les moyens.

Moi- Quels moyens comptez vous employer si je refuse ?

Évidement il ne sait pas que je viens de remetre le rapport en règle ( et qui m'a fais perdre 30 min a tapper).

- Je...je vous en supplie je vais être renvoyé si je ne le remet pas...j'ai des enfants ...

Si seulement il savait a quel point je me fiche qu'il ai eu le luxe et la naïveté d'avoir des enfants en temps de guerre. Je raccroche.

Je me rend au pavillion de l'equipe , il n'y a personne. Je prend l'ascenseur et me rend dans mon bureau regarder ce que j'ai rater .

Personne n'a remarquer les cameras ou bien ils pensent a un systeme de sécurité. La première solution me decevrai.

Il ne s'est pas passé grand chose , Sérès a pris sa garde , jena a superviser sa filature par elly et a failli se faire tuée par ashley qui était déçu qu'Édouard ai refuser ses avances pour aller s'entrainer avec josh.

Ça me deplait, le groupe est loin d'être uni . Place aux méthode radicale.

J'ai un message d'Elly sur mon téléphone. Elle m'impressione , c'est assez dur d'obtenir mon numero. Tiens tiens , j'aime pas ça.

Point de vu de mr nadjil:

Il va se montrer ou me faire poiroter longtemps? L'attente est intenable. Son aura est bien trop malfesante pour la soutenir sans rien dire.

Moi- Qu'est ce que tu veux Sebastian?

Il sort partielement de l'ombre , bras croisé et avec le ton agressif habituel.

Sebastian- J'ai appris que tu avais abimer mon petit protégé .

Ouf... Je croyais que le conseil l'avait envoyer me liquider.

Moi - C'était nécessaire.

Il s'avance sans un bruit, je sais qu'il est bien plus fort que moi. Je ne pourrai pas tenir longtemps si jamais on devais s 'affronter.

- T'aurais quand même pu faire attention a mes affaires .

C'est limite s'il me fais peur , heureusement qu'il est dans notre camp.

Moi - Tu es venu pour me dire ça ?

Lui - Non en fait j'avait soif .

Finalement j'ai peur .

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Point de vue de l'auteur :

J'ai eu quelques malencontreux contretemps.

- Mesdames et messieurs , désolé pour ce court chapitre mais les vacances ont été longue et j'ai la mauvaise impression que mon histoire ne plait pas ce qui me dissuade vraiment de continuer. S'il vous plaits , prenez le temps de me dire ce que vous en pensez que je me fasse une idée réelle de la situation.

Merci