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T.K

3 semaines plus tard

Cette bourgeoisie qui m'insupporte plus que tout s'est pointée en retard pour notre cours de maths où je suis malheureusement à côté d'elle, comment vous dire, elle et moi sommes en guerre, à croire que notre relation n'a jamais existé et que nous sommes revenus au point de départ.

Prof - encore un retard Miss Gilbert ?

G - vraiment désolée dit elle en donnant son papier justificatif

Prof - c'est bon, allez vous asseoir et ouvrez votre livre page 89

Ah ! Et d'ailleurs, elle "flirt" avec un gars paumé de la ville, il est dégeu, sans style vestimentaire, tout le contraire de moi même. Elle souriait jusqu'à qu'elle voit mon corps à côté d'elle, elle à déposé ses affaires.

J'écoutais le cours puis d'un coup, je l'ai vu dans le coin de mes yeux, elle cherchait un livre, puis elle soupira. Mademoiselle n'a pas son livre !
Je la voyait hésiter à me demander de poser mon livre au milieu de la table, mais-

G - excusez-moi, puis-je allée au CDI pour prendre un livre ? Demanda-elle

Prof - ton voisin en à-il un ?

- bah ou-

G - Non ! Répliqua-elle sans me laisser finir Non il n'en à pas devant lui.

Prof - alors allés cherchés un livre tout les deux.

G - c'est une blague ?? Dit elle à voix basse

Je me suis levé et j'ai commencé à marcher, elle ronchonnait de devoir être en ma présence, elle m'a rapidement dépassée et traçait sa route.

- tu compte m'éviter encore longtemps ? Dis-je en marchant derrière elle

G - en quoi c'est ton problème.

- nann pour rien, ouuu peut-être parce qu'il y à environ trois semaines t'étais blotti contre moi, tu m'embrassais, ect. Dis-je calmement

G - et alors ? Tu es passé à autre chose, tu as une, deux, ou peut-être même trois petites amies, arrête de penser à moi. Dit elle sèchement Toi et moi c'est fini depuis que je suis sortie de ta maison. Maintenant tais toi et retourne en cours, j'ai pas besoin de toi pour prendre un stupide livre.

Elle s'est arrêtée devant la porte du CDI, et comme j'aime embêter les femmes, je me suis rapproché d'elle et j'ai commencé à lui soufflé dans le cou, doucement, je caressais sa douce peau

- tu veux vraiment oubliée nos corps à corps, lorsque que tu dormais sur mon torse, tu compte oubliée notre histoire entière ? Dis-je en commençant à embrasser son cou

Elle s'est retourné et... m'a royalement.. giflé, quel garce !!

- putain.

G - FI-NI, c'est du français pourtant, je dois te le dire en chinois peut-être ? Dit elle en rentrant dans le CDI

- alors nous n'avons qu'à continuer de s'ignorers.

C'est qu'elle m'énerve à toujours vouloir tout foutre en l'air. Mais dans ce cas, elle n'a cas demander,
à partir d'aujourd'hui, plus un mot. Clair de net, plus un regard échangé, plus rien de sa part, plus rien de la mienne.
Sur le chemin du retour, je ne lui est pas échangé un regard, ni une parole, Elizabeth Gilbert ? Je ne sais pas qui c'est.
Sans toquer je suis rentré pour m'assoir.
"Psss ! Lili ! Lili !"
"Shhh tu n'est pas discret idiot !"
"Est-tu libre ce soir ?"
Rah ! Quel salopard ! Ce bourgeois, habillé en Ralph Lauren, ou avec de belles veste Nike, toujours élégant, apparemment il serait de la famille fondatrice de Leipzig.
"Le prof va nous remarquer !"

My Dream Nightmare Où les histoires vivent. Découvrez maintenant