Wie der Vater so der Sohn.

Tous les mêmes

Point de vue omniscient :

Le polonais hurlait et pleurait de douleur.
Du sang giclait.
L'allemand lui,était au sol.
Inconscient.

EU essaie de gérer la panique..en vain.
Au final c'est France qui eu l'intelligence d'appeler une ambulance et d'arrêter le saignement jusqu'à leur arrivée.

Quelques jours plus tard.
Poland était à l'hôpital.
Il devait y rester quelques temps.
Les médecins lui avaient fait une grève de peau.
Ses muscles se régénéront tout seul.
Les countryhumans peuvent se régénérer. Mais on ne sait jamais combien de temps cela peut durer pour une régénération complète.
Il y a tellement de mystère sur eux..c'est pour ça que des scientifiques spécialisés viennent régulièrement consultés plusieurs pays pour en savoir plus.
Mais pour cela il faut une autorisation du président du pays et l'autorisation du countryhumans en lui même.

Bien..revenons à notre allemand.

Il est dans une salle isolé.
Les murs sont blanc,le sol est blanc.
Tout ce qu'il y a dans cette salle c'est un lit,une table et des livres.
Et une grande vitre transparente qui permet de l'observer.
Il était dangereux..

Et notre cher Deutschland ouvre lentement les yeux.
Il grogne et se pince l'arrêt du nez en fronçant les sourcils.
Il avait le goût métallique du sang dans la bouche encore.

-Mh..Ich habe Kopfschmerzen..
(J'ai mal à la tête.. )

Il sort du lit et se leve.
Il était dans un pyjama blanc.
Il regarde autour de lui.
Silencieux.

Il voit la vitre.
Derrière il y avait France et EU.

Le français était silencieux en voyant son ami-non. C'est bien plus spécial leur relation..
C'était plutôt une bromance.

*Bromance : Relation proche entre deux hommes, sans caractère sexuel ; comportement et attitude de bienveillance incluant des gestes d'affection amicale entre deux hommes.

IIs sont tellement proche..
Alors ça rendait triste le français de voir son ami devenir l'incarnation du mal..

Allemagne s'approche de la vitre et les regarde d'un air sombre.
Il souffle et sur la vitre et ça fait de la buée.

Puis il écrit quelque chose..

-Laissez moi sortir ou je vous bute.

Le français restait de marbre.

-...Comme si tu pouvais me battre.

EU reste silencieux.
Les yeux baisser.

L'allemand fronce les sourcils.
Il l'avait entendu..
Il lui fait un doigt d'honneur avant de reculer et retourner dans le lit.
Dos a eux.

Le français soupire.

-De toute façon.. ce sont tous les même j'ai l'impression.

Hey ! C'était un petit chap !
J'ai pas trop l'inspi et je fais de mon mieux..
A la prochaine !