Merci [Tome 1]

Merci

|PDV Théo|

16h 45

Jordan me tenait le menton pour que je le regarde, ses yeux fixer les miens tout comme les miens fixer les siens. Son regard été si intense et inquiet à la fois. Le bleu des yeux m'avait aspiré de l'intérieur. Ils étaient d'un bleu si beau, comme celui d'un océan. Il y avait de petite tache de vers dedans, ils sont si beau. Si beau qu'il traverser mon âme. J'avais perdu toute notion de temps. Le voir comme ça me donner encore plus envie de lui que je n'en avais avant. J'avais envie de baisser mon regard sur ses lèvres, mais n'oser pas, je voulais l'embrasser comme jamais personne ne m'avait embrassé au paravent. Après plusieurs minutes à se fixer dans les yeux il décide de casser ce long silence.

Jordan : Théo, dit moi ce qui t'arrive, je m'inquiète

Il s'inquiète vraiment, mais pourquoi.

Jordan : je t'en supplie parle moi je suis là, depuis peu, mais je suis là maintenant

Il prit ma main dans les siennes pour y poser des baiser et ainsi me calmer. Ce qui marchai étonnamment bien. Je décide alors de prendre la parole.

Théo : Ce midi le gars, quand t'as dit que que vous étiez ami.. il a dit pas seulement, pour pourquoi ?

Jordan : En fait, avant de déménager il m'avait dit qu'il m'aimait, mais mes sentiments à moi n'étais pas réciproque. Il avait commencé à me harceler pour que sorte avec. C'est d'ailleurs l'une des raisons de pourquoi on est arrivé ici, mais il est encore là. Dès que j'ai entendu sa voix ce midi, j'ai eu des frisons de peur. De peur que tout recommence encore.

Je fixer son regard avec envie, ce qu'il remarqua. Nos regards descendirent jusqu'au lèvre de l'autre. Je pausai l'une de mes mains sur l'une de ses hanches et l'autre sur sa joue. Lui poser ses mains sur mes hanches. Nos visages s'approcher petit à petit, jusqu'à ce que nos lèvres se touchent. On avait fermé nos yeux pour pouvoir profiter le plus possible. Les mouvements de nos lèvres étaient synchronisés. Il avait posé ses mains sur mes joues. Ce qui adoucie le baiser encore plus qu'il ne l'était déjà. On fit intensifier le baiser en entremêlant nos langues ensemble. Ses lèvres, sa langue, se baiser, tout été parfait. Nous nous séparons à contre cœur pars manque de souffle. J'ouvris enfin les yeux et fixer son regard, son beau regard. J'étais perdu. On se connaissait que depuis ce matin, alors qu'est-ce qu'il vient de se passer. On tourna le regard et décida de marcher sans dire un mot du trajet.