The billionaire

Chapitre 14

*Point de vue d'Emma*

- Peux-tu au moins me dire où nous allons ? demandai-je exaspérée, bien que j'avais un sourire sur le visage qui ne disparaîtrait pas.

- Pourquoi as-tu besoin de savoir ? demanda-t-il en haussant les épaules.

1 Parce que tu te comportes de manière secrète depuis ce matin. Et maintenant, mon estomac me fait littéralement mal à cause de l'excitation et du stress, tu dois me donner quelque chose. Un indice... n'importe quoi ! dis-je en ouvrant mes bras et en haussant les épaules.

- D'accord, nous allons à un rendez-vous. dit-il d'un ton sarcastique et intelligent.

- D'accord, où ? dis-je en roulant des yeux, essayant d'ignorer le fait que mon cœur se serrait aux mots ( nous et rendez-vous ).

- Regarde, tu as demandé un seul indice. Et un seul indice est ce que je t'ai donné. dit-il d'un ton beaucoup plus sévère.

- Tu es idiot. dis-je simplement.

- Un idiot mignon. me corrigea-t-il.

"Ne te flatte pas." dis-je en le repoussant.

- Je n'en ai pas besoin. Ton rougissement en dit long. souligna-t-il avec suffisance, et mon rougissement s'intensifia.

- Tais-toi. dis-je en détournant le regard.

Je ris en regardant par la fenêtre pendant que nous conduisions. La nuit précédente, je me suis endormie et même avec sont épaule blessée, Théo m'a portée et m'a bordée, puis il est allé dans sa chambre.

Je me suis réveillée pour trouver Calista déposant une boîte et une note sur ma table de nuit. La boîte contenait une tenue simple, avec un jean taille haute et un haut court avec des fleurs imprimées, ainsi qu'une paire de chaussures plates assortie.

Au début, je l'ai refusée, mais Théo avait déjà prévu cela car il avait écrit sur sa note
- Chère princesse, je suis sûr que tu as déjà dit à Calista que tu ne voulais pas de mon cadeau, mais tu dois le porter, sinon cela prouvera seulement que je peux te lire comme un livre.
Bien que je sois sûre que c'était son plan depuis le début, je ne peux pas lui laisser penser qu'il peut me contrôler.

Tout au long de la journée, on me dorlotait et personne ne voulait me dire ce qui se passait.
Lorsque l'horloge a sonné cinq heures de l'après-midi, Calista m'a appelée en bas des escaliers, j'ai été accueillie par un Théo décontracté mais beau. Il m'a saluée d'un baiser sur la joue, puis il m'a escortée dehors, où un jeep wrangler bleu ciel nous attendait.

Je l'ai regardé avec méfiance, et il a dit
- Je crois avoir entendu que tu avais un faible pour les wranglers.

J'ai ri comme une écolière et sauté sur le siège passager.

Nous n'étions sur la route que depuis quelques minutes, mais je mourais d'envie de savoir où nous allions, mais le beau jerk ne voulait pas me le dire. Lorsque nous avons traversé un pont et que la mer est apparue à l'horizon, j'ai senti un sourire se former sur mes lèvres.

Après avoir roulé encore quelques minutes, Théo s'est arrêté devant un restaurant en plein air juste sur la plage.

Il suffisait de descendre du côté du restaurant et de marcher sur le sable.

L'air sentait la vie marine, le sel et le sable. L'air était frais et les vagues produisaient un son qui aurait pu endormir n'importe qui. J'ai fermé les yeux et souri avec émerveillement.

Le moment était paisible.

Je sentis deux bras m'enlacer pendant que je sentais ses douces lèvres se poser contre mon cou.