MAFIA vs MAFIA

chapitre 13: le père du taré

●●pdv Tania●●

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Cinq mois aujourd'hui, que je vis dans cette baraque au milieu de nul part, cinq putain de mois que ma mère est morte mais en vivant avec eux j'ai réussi a m'y habituer. Le plus souvent je me confiais à Fiona ou même a Daniel, malgré le fait qu'ils font parti du plus grand cartel de ce pays. Ils ont sû m'écouter , sû être là pour moi même lorsque je croyais que j'allais y passer.

Et le taré ?

Avec lui rien n'avait avancer, on ne se voyait que rarement et lorsque je le vois il agit bizarrement et fait tout pour ne pas m'adresser la parole. Au début ça me faisait mal, parce qu' il a été gentil avec moi mais plus le temps passe plus je me demande s' il n'est pas bipolaire.
Assise sur le gigantesque canapé, faisant défiler les chaines avec la télécommande à la main. Je m'ennuie, Lorenzo et Fiona sont en mission depuis hier, Daniel a accompagné Bianca qui est aller passer quelques temps avec sa sœur, Dario, il est a l'école pour son examen. Donc me voilà prisonnière de cette demeure avec le taré.
Le bruit incessant de l'ascenseur me fait remarquer que le taré descendait au salon. Les mains fourrées dans les poches de son jean, sa chemine blanche transparente déboutonnée et retroussé au niveau de ses bras laissant apercevoir son tors remplie de tatouage incompréhensive,  Il pénètre la pièce.

-va te changer, tu viens avec moi. lâche t'il.

J'arque un sourcil, ne comprenant pas où il voulait en venir. Son visage sombre et renfermer m'entraîne a le suivre.
Je me lève du canapé et dépasse le couloir pour ouvrir la porte de ma dite chambre. Je rentre dans la pièce et prends un top blanc et une jupe à sortie, j'enlève le jogging et le tee-shirt gris que je portais précipitamment et enfilais mes nouveaux vêtements. Je ressortis de la chambre. Le regard du taré se pose sur mon corps détaillant chaque partie de mon corps, de mon visage à mes jambes dénudés.

Heu hallo Mister pervers je suis
toujours là!

***

Depuis trente minute que nous sommes dans ce vehicule, personne n'ose élever la voix. Cet espace nous confinait donc mieux vaut nous ayons une discussion non ?

Mauvaise idée!

-Où partons nous ?

Toi tu devrais tourner ta
langue sept fois dans ta
bouche avant de l'ouvrir.

Le regard qu'il me lançait me poussais à me taire. Mais une question idiote s'échappe de mes lèvres.

-pourquoi ne m'as tu pas encore tuer?

C'est la seule question qui
reste dans ma tête.

Il me fait son meilleur sourire narquois. Et arrête brutalement la voiture ce qui me cogne la tête contre le devant de la voiture, il se tourne vers moi deguène son pistolet et murmure:

-si tu veux mourir tu n'as qu'a demandé.

Je ne comprend plus ce type. D'abord il est agressive, ensuite il devient gentil, après il devient distant et finalement il redevient agressive.
Il écrase le pistolet sur ma tempe et je sens déjà la température monter en moi.

Il pouvait aussi me tuer!
Le fera t'il maintenant ?

Il ouvre la portier de mon siège et me pousse hors de celle ci.