Heatwaves DreamNotFound (Traduction Française)

Chapitre 9 : Throne

Notes de l'auteure :

Comme d'habitude - veuillez s'il vous plaît ne pas mentionner ce travail dans les dons, les streams de CC et les chats. J'espère que vous pouvez comprendre le stress que je ressens en tant qu'auteur face à la mauvaise exposition.

La lumière blanche sur répand sur les caractéristiques terrifiées de Dream en flash. Ses doigts défilent, ses yeux scintillent, les muscles de sa gorge et de sa mâchoire hurlent de  tension.

Le texte est passé.  

J'ai eu un autre rêve où j'ai pu te voir, ça commence, et Dream laisse l'horreur couler dans son sang et lui pique les nerfs avec une honte impuissante.

C'était un accident. Il a changé d'avis. Il ne voulait pas.  

Sa vision s'assombrit alors que la confession enhardie de ses heures les plus sombres résonne dans sa poignée tremblante. Sa respiration est rapide, peu profonde et laborieuse.

Pourquoi j'ai fais ça putain ?

Ses mains tendues éteignent son téléphone avec un léger clic moqueur.  

Il se replie sur lui-même, les doigts s'enfoncent dans la chair de ses épaules, les genoux tirés vers sa poitrine. Les tendons de ses avant-bras et de ses jointures sont raides, avec de l'adrénaline brute et un choc. Ses yeux écarquillés pleurent dans l'obscurité. 

La surface plane de son téléphone refuse de se plier là où il est pressé contre la courbe de son muscle, peu importe à quel point il veut le briser. De petits croissants s'approfondissent là où ses ongles se courbent dans sa peau. 

Les notifications restent silencieuses. L'écran reste noir. Les secondes passent, et passent, et l'air disparaît de ses poumons. 

Son pouls bat sans pause entre les battements.

Il se souvient avoir bercé sa sœur contre sa poitrine, comme ça, il y a toutes ces années, quand elle avait réalisée qu'ils ne reviendraient jamais toucher le sable sombre - ses bras sur sa petite taille, enfermés dans ses soins, laissant ses larmes brûler ses avant-bras alors minces.

Il se sent de nouveau jeune. ça lui gratte la gorge, lui récurant les entrailles. Ses mains sont froides et il a peut-être perdu quelqu'un pour la deuxième fois.

ça pourrait être ça.

Son langage, sa fureur, son dégoût tous jetés dans les mains de George sans avertissement. Son désir de détruire tout ce qu'ils ont, parce qu'il se sentait seul.

ça pourrait être ça.

Aveuglément, il arrache son téléphone de son épaule et compose un numéro. 

L'appel sonne, et sonne, puis se déconnecte. 

Un bruit étouffé s'échappe de sa gorge.

Il appelle à nouveau.

''Hmph, bonjour ?'' Le son passe à travers la ligne téléphonique avec somnolence à moitié éveillée.

Le soulagement et la terreur inondent en lui.

''A l'aide,'' dit Dream d'une voix rauque, ''aide-moi.''

La voix de Sapnap devient alerte en quelques secondes. ''Dream ?'' 

''J'ai merdé,'' grince-t-il. 

Cauchemars. Tu me hantes. Atteindre. Stupide, joli visage. Mentirais-tu ? Mentirais-tu ? 

''Qu- mec, quelle heure est-il-''  

''Je ne sais pas quoi faire,'' s'empresse-t-il. ''Je ne sais pas ce que je vais faire. Je peux pas- Je peux pas-''