Mitsuya x reader male

Pdv T/p (10)

_C'est à propos de Azazel ?(c'est un vrai nom de démon :) )
_Oui. Tu te souviens de lui ?
_Il est apparu quand Shinshiro est mort puis pour la dernière fois il est apparu quand j'ai fait ma première fois. Il a pris la fille et je ne l'ai plus jamais revu.
_Oh. Tu as déjà fait ta...ok. Bon je vais vous laissez faire...vos trucs.

Heureusement que j'ai bouché les oreilles à Mikey depuis que j'ai dit "entré" à Draken.
Il sort de la pièce en veillant à éteindre le lumière puis Mikey me dit :

(A partir de maintenant lemon, je soulignerai quand ce sera fini)

_Putain T/p mets la moi juste. J'en peux plus dépêche toi !

Mes mains s'enlèvent de ses oreilles et je réplique :

_Laisse-moi réfléchir...et pourquoi tu ne te la mets pas tout seul ?

Il se lève et me pousse sur le lit. Il détache son pantalon de plus en plus vite mais comme il va trop vite il n'y arrive pas.

_Mikey, moins vite tu ne vas jamais réussir sinon.

Il commence à ralentir mais va toujours un peu vite. Cette fois il y arrive et il enlève donc son pantalon et son boxer en même temps. Dans le noir, je remarque ses joues rosies.

___________________________________________

Pdv Mikey (je sais j'avais dit qu'il n'y aura que des pdv de toi Draken et Mitsuya mais...ET PUIS MERDE C'EST MON HISTOIRE HEIN.)

Ma respiration devient désordonné, qui est Azazel ? Je veux tellement voir le corps de T/p. J'aurais dû choisir voir mais pas toucher...non, si j'avais choisi ça je me serais dis que je préférerais l'autre option et ainsi de suite. Je suis à califourchon sur T/p mais je ne sais pas quoi faire : quand j'ai sucé sa bite j'ai compris qu'elle était un peu plus grande que la normale (NDA : la norme c'est 13cm donc on va dire que tu es à...17 ?)

De ma main je commence à m'étirer, je sais très bien le faire mais ne pas voir me déstabilise plus que ce que je ne pensais.
J'entre lentement un troisième doigt puis je me doigte tandis que je sens les mains de T/p montées sur ma poitrine, tandis qu'une main reste sur ma poitrine l'autre se dirige sur ma main à moi pour l'enlever. Après avoir enlevé ma main il tourne juste autour de mon anus.

_Putain T/p j'en peux plus de ce masque ! Enlève le moi !
_D'accord, mais tu ne pourras plus toucher.
_Arrête ce jeu je t'en supplie fait moi du BDSM si tu veux mais m'enlever un sens c'est trop.

Je n'ai aucune réponse donc j'abaisse mon bandeau sans son autorisation et je sens qu'il me mord le téton.

_E oi e ai ue owe an e aar. (Je crois que j'ai une corde dans le placard.)

Il ne lâche pas mon téton donc je n'y comprends rien mais après une ou deux secondes il le lâche et se lève. Il s'éloigne tellement que je ne le vois plus. Je n'aime pas la pénombre ici. J'entends la roulette d'un briquet puis une forte lumière. Il a allumé une bougie pour chercher quelque chose dans son placard. Il en sort quelque chose que je ne vois pas mais je l'attends patiemment.

Il pose la bougie sur sa table de chevet puis m'allonge sur le lit. Il prend la corde qu'il vient de sortir de son placard et m'attache les mains entre elles. Après ça il les attache aux barreaux de son lit puis fait de même avec mes jambes. Il repart mais cette fois ouvre carrément la porte. Il sort de la chambre laissant la porte ouverte totalement. Je ne sais pas pourquoi mais ça m'excite tellement d'être exhibé. Je vois quelqu'un passer rapidement et je crois que j'ai failli jouir. Je ne peux pas me toucher et ça me rend maladif. Un homme repasse en sens inverse, beaucoup moins vite. Ses yeux se tournent sur moi, il ne s'arrête pas de me regarder. Puis il repart simplement. Je ne sais pas s'il m'a vu le regarder. Je n'espère pas.

T/p revient dans la salle et me dit :

_Désolé, j'ai emprunté quelques bricoles.

Il revient vers moi et prend le bandeau qui est sur mon cou pour le mettre sur ma bouche, j'ai encore un sens de moi, je ne peux plus parler et bouger. Je vois que T/p pose une dizaine de "jouets" sur le matelas puis il en prend un. Juste un lubrifiant. Il me l'applique sur le sexe et je sens que mon sexe chauffe de plus en plus, c'est un lubrifiant chauffant merde. De la bave sort de ma bouche mais atterrit sur le bandeau. Malgré ça, quelques filaments passent de l'autre côté du bandeau.
Je lance un gémissement fort quand il met une barre de fer dans mon urètre.

_Je ne suis pas sûr que tu connaisses. C'est une tige à urètre, ça t'empêchera de jouir trop vite. Et pour en être sûr on rajoute juste un anneau pénien. (NDA : Le principe de l'anneau pénien est de mettre un anneau à la base de son pénis, en érection, afin de bloquer le sang dans la verge ; l'idée est de renforcer l'érection et de la maintenir (pas de la créer) puisque le sang ne peut plus partir.)

Il me met l'anneau pénien comme si la tige a urètre ne suffirait pas. Il prend encore quelque chose et je l'entends vibrer. Je ne préfère pas ouvrir les yeux. Je sens qu'il met le vibromasseur sur mon sexe. J'ai envie de jouir, je n'en peux plus. J'ai l'impression que j'ai joui mais aucun sperme n'est sorti.

_Manjiro ?

Je regarde la personne qui vient de citer mon prénom tandis qu'elle, elle me détache les pieds. Il lève mes jambes et m'enfonce encore quelque chose. Cette fois je reconnais : C'est des boules chinoises. Il m'enfonce une boule après une autre puis les enlève d'un coup sec.
Je gémis son prénom et il me regarde. Il s'installe entre mes jambes et me pénètre enfin. Nous jouissons quelques secondes après en même temps malgré la tige et l'anneau de mon côté.

Il m'enlève la tige a urètre, l'anneau pénien et m'enlève le bandeau. Des filaments entre ma bouche et le bandeau se voient. T/p colle ses lèvres contre les miennes tout en me détachant les mains.

(Fin du lemon[pour au moins 2 mois dans l'histoire mdr])

_Mikey...je ne l'ai pas fait parce que je t'aime, rappelle-toi en.
_Oui. Ne t'en fais pas je sais que tu ne m'aimes pas.
_Merci...viens prendre une douche, sinon le lubrifiant chauffant va revenir d'une seconde à l'autre.

Je me lève puis tombe immédiatement. T/p prend un plaid et le pose sur mes épaules. Après ça il me porte jusqu'à la douche. Il fait couler un bain et repart quelques secondes. Je me sens de nouveau triste : je sais que ça ne compte pas mais j'aurais aimé...