18. Rose

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A peine montée à bord du bateau, je décide de mettre en place mon objectif de la journée : mettre Carmen dans un état où elle ne peut que me sauter dessus.

Elle est en train de discuter avec Marie, face à moi, son sourire est resplendissant. Elles rigolent bien toutes les deux. Je capte son regard qui se pose sur moi.

A moi de jouer.

Je retire ma chemise, en la faisant glisser tout doucement le long de mes épaules puis de mes bras. Mon haut de maillot de bain me fait une poitrine de rêve, elle ne devrait pas résister longtemps.

Je jette un oeil dans sa direction, elle est toujours en train de me regarder.

Parfait. Je peux continuer mon effeuillage.

Je me tourne dos à elle. Je déboutonne mon short, passe mes pouces sur les côtés et tout en me penchant bien en avant, les jambes tendues, je laisse tomber mon short à mes chevilles.

La vue sur le string de mon bikini a dû lui donner chaud.

Je récupère gracieusement mon short par terre et me tourne pour observer son état.

Bien joué Rosita, elle est en sueur.

Je termine mon petit numéro en levant les bras et rattachant sensuellement mes cheveux. J'accroche son regard brûlant et lui adresse mon plus joli sourire coquin.

Si après ça elle n'est pas chaude bouillante...

Je me mets à l'aise sur le filet et j'attends ma proie.

Elle ne tarde pas à arriver pour s'installer à mes côtés.

- C'était quoi ça?

- Un avant goût de ce que tu pourrais avoir si tu te laissais tenter. Tiens, rends toi utile, passe moi de la crème dans le dos s'il te plaît, tu serais un amour.

Je lui mets la crème dans les mains et me retourne sur le ventre. Rien ne se passe pendant quelques secondes, d'un coup j'ai un doute qu'elle me laisse en plan. Mais finalement ses mains se posent sur mes épaules.

C'est d'abord un effleurement. Je frissonne à ce contact. Il y a comme une hésitation dans ses gestes, une retenue. Mais de sentir ses doigts se poser sur ma peau nue, je ne peux retenir un gémissement.

- Tu veux ma mort, c'est pas possible.

Je souris à l'entente de son murmure rauque à mon oreille.

- Au contraire je ne te veux que du bien mi corazón...

Elle prend son temps pour appliquer la crème, j'apprécie énormément ce moment. Ses mains prennent de l'assurance à mesure qu'elles s'aventurent sur la totalité de mon dos, déviant vers mes flancs et la naissance de ma poitrine.

J'en ai le souffle coupé et me fait prendre à mon propre jeu. J'entends sa respiration s'accélérer, oh anqui, j'adore ce son.

Ses doigts glissent maintenant sur mes fesses nues, les malaxant avec douceur. Elle va me tuer. Je sens par moment ses pouces effleurer l'intérieur de mes cuisses et remonter presque jusqu'à mon intimité.

Je suis en train de littéralement me liquéfier sur place. Elle doit le sentir puisqu'elle se penche sur moi, sa poitrine se collant à mon dos, et vient me chuchoter à l'oreille.

- Je vais m'arrêter là car je voudrais pas créer une inondation.

Oh la garce.

Je tourne la tête et me trouve qu'à quelques centimètres de la sienne. Ses yeux sont noirs de désir. Elle m'a mis dans tous mes états mais elle n'est pas en reste.

Potes De VadrouilleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant