Un amour explosif.

Samedi

⚠️je le suis trompé 😭: le rendez-vous de zoro et sanji est a 13h!!⚠️

Zoro toqua à la porte mais personne ne répondit. La porte était ouverte alors il entra... « SANJI ?! »

Avant d'arriver jusque ici nous allons remonter un peu dans le temps. Aujourd'hui donc on est vendredi et c'est le jour de la fête avant les vacances organiser par la fac. Sanji avait promis à Zoro de venir, mais à quoi ça servait maintenant ?De plus il allait le voir le lendemains ,donc pas là peine de se faire du mal en y allant. Cela serai la dernière fois d'ailleurs, dernier fois qu'il aller lui parler, le voir, c'était déjà assez dur pour le blond de le voir avec cette fille, il avait donc préféré partir. Ça serait mieux pour le vert de toute façon. Il allait donc passer sa journée à rien faire.. *Ding* son téléphone sonna. Sur l'écran, un message de son groupe de travaille dans son cour de biologie. Ce message l'invité à les rejoindre à la fête vers 19h, ils avaient sûrement fait ça par pitié se disait sanji. Il ferma l'écran de son téléphone et se recoucha dans son lit. *Ding* Encore ?! « C'est moi qui paye » ça avait suffit a Sanji pour motiver le blond.

Lorsque 18h sonna, le blond partit, veste sur l'épaule et cigarette sur les lèvres. Il était épuisé. Mais bon de l'alcool gratuit, surtout en ce moment, il n'aller pas s'en passer. Il marcha en direction de la fête, vers un bar à priori. C'est vrai que ces derniers temps, il avait complètement laisser aller les choses. La seule chose qu'il mangeait était là fumer de ses cigarettes. Il ne savait même pas pourquoi il fumait, sûrement pour se faire du mal au fond. Sanji pensait qu'il m'héritait cette souffrance, après tout ce née qu'un vilain petit canard. Rester avec Zoro n'aurait rien apporté de bon à celui ci, et il ne voulait pas lui poser de soucis. Il arriva au bar au alentour de 19h, finissant sa cigarette il alla saluer les gens.

Un, deux, trois, sept ? Combien de verre c'était il déjà enfilé ? Tout le monde rigole dance, s'amuse, Sanji lui est dans son coin s'enfilant des verres de tout et n'importe quoi. Il se sentait partir, enfin la libération, il aller oublier tous ses problèmes. Il aller pour commander une autre bouteille lorsque son regard croisa celui de Zoro qui venait d'arriver, 20h30 ? Dit donc il a dû se perdre en chemin.

Je passe la porte et cherche du regard mes collègues, c'est alors que je tombe sur les yeux de Sanji. Il est là une bouteille à la main, et ça doit sûrement pas être sa première... Je vais pour lui parler mais celui ci disparaît entre les gens qui dansent sur la piste.

Putain fais chier. Je prend toute les bouteilles que je peux et me barre d'ici. Ca sert à rien si la source de mes tourments est ici.

Z: Ca va ?

Je me stoppe net.

S: Oui merci.

Z: tu es sur tu veux que je te ramèn-

S: non merci.

Je pars.

Je le laisse la.

Je suis vraiment une sombre merde.

Les larmes me montent aux yeux, et l'alcool ,lui, glisse dans ma gorge. J'aurais vraiment du crever. Ca y est je l'ai dit, j'ai envie de mourrir. C'est comme quand j'étais plus petit. Finalement ça n'est pas partit. Que penserai maman si elle me voyait. Elle qui m'avait défendu de boire et de fumer, elle qui m'avait dit de toujours être gentil. Oh maman comme tu me manques. Je jettes les bouteilles par terre, comme je suis fatigué.

Lorsque j'arrive chez moi j'ai la magnifique surprise de voir trois têtes colorés devant ma porte.

Ichiji: et bas alors sac à merde tu rentre tard.

Yonji: t'es aller te faire casser le cul ?

Niji: mais qu'est-ce que tu crois, qui voudrait de ça.

S: vos gueulent.

Ichiji: Répète ça pour voir ?

S: j'ai dit VOS GUEULENT.

Niji me chope par les cheveux et me jette sur le sol de l'appartement. Faite que cette fois leur coups me tue. Ichiji était particulièrement énervé aujourd'hui, il se défoula donc sur moi, puis ce fut le tour de Yonji. Ils me tiraient les cheveux, me frappé le ventre , le visage. Pour finis Niji ma souleva par le cou, mais je n'eu pas la force de me débattre, je ne voulais pas me battre, vas y étouffe moi.

Black out.

Le bruit de son corp frappant le sol ne fut pas assez de bruit pour que quiconque puisse lui venir en aide. La porte se claqua.

Je m'inquiète, le blond est partit, trois bouteilles à la main, seul, en pleine nuit. Je suis vraiment con j'aurais pas du le laisser partir comme ça. J'me voyant remuer mon verre comme pour y trouver un peu d'affection, Robin vena s'assoir à côté de moi.

R: tu penses à lui non ?

Z: oui, je l'ai laisser partir seule, alcoolisé et-

R: Il est grand. Tu sais on ne peux pas forcer quelqu'un à rester. Tu ne peux pas l'aider si il ne veut pas.

Elle avait raison.

R: Soit patient. Demain c'est le grand jour.

Z: Oui tu as raison.

R: Bon maintenant tu devrais rentrer car demain tu vas avoir une de ses têtes.

Je la salua et partit.

Le lendemain, j'ai failli manquer mon réveille. Heureusement que robin m'avait dit de rentrer, si j'étais rester là seul en face de mon verre pendant plus de temps, le manque sommeil aurait sûrement aurait été encore plus voyant. Il était déjà midi, mais bon ma séance de sport matinale n'aller pas se faire toute seule. Je monte dans ma voiture et vais chez sanji. J'ai tout prit, le cadeau et même des fleurs.

Je toqua à la porte mais personne ne répondit. La porte était ouverte donc j'entra. Peut être qu'il était juste à la douche.

J'aurais aimé qu'il soit à la douche.

J'aurais aimé ne jamais avoir à voir ce que j'ai vu.

Sanji était là, au sol, inconscient. Il était ouvert de partout et du sang sec et frais était étalé sur le sol. Je couru vers lui, il respirait encore. Je m'apprêtais à appeler une ambulance lorsque je sentit la main du blond faiblement me touchée, « non » dit il faiblement. Je le prit dans mes bras, je pleurais. « Je suis là » fut la seul chose que je puisse dire. Je le porta doucement et le déposa dans la baignoire de sa salle de bain. « Désolé » dis-je avant de lui sortir le t-shirt et le pantalon, les meme qu'hier. Il était blessé de partout, je lui laissa quand même son intimité en lui laissant son sous-vêtement. Je commença à la laver avec de l'eau pas trop chaude, doucement. Il a perdu énormément de poids et son corps est couvert d'ecchymose. J'aurais aimé avoir été la hier, peut être que j'aurais pu le sauver. J'aurais aimé avoir été la tout court.

Zoro était là, il me laver. On aurait dit un père qui a peur de toucher son enfant tellement ses gestes sont doux. Je suis pitoyable, il dois sûrement penser la même chose vu à quoi je ressemble.

Je le sort du bain, la sèche et vide l'eau qui est marron sang. Je le soigne comme je peux et lui met mon pull car les siens sont tous au sale. Je le porte jusqu'au salon. Je l'installe confortablement et vais vers la cuisine quand j'entends un petit bruit. Je me retourne vers lui, il pleure. Je m'assois à côté de lui et le prend dans mes bras, je l'embrasse sur le front.
« Je suis là je vais juste dans la cuisine.

J'ouvre ses placards, une soupe toute faite, parfait. Je fais chauffer ça et lorsque c'est un peu moins brûlant je vais pour nourrir le blond. Après cela je me couche à côté de lui, le prend dans mes bras et attend qu'il s'endorme.

FINNN

Chapitre qui n'a pas été facile à écrire mais c'est écrit !
On se retrouve dimanche pro pour la suite !