Ma saison 4!!!

Chapitre cinquième

J'ai décidé de publier les deux chapitres ensemble, car même si j'essaye de publier une fois par semaine, le week-end prochain, je n'aurai aucun temps pour moi. On reçoit des amis à la maison pour une occasion spéciale alors je me vois mal rester devant mon écran d'ordinateur alors qu'on ne les voit pas souvent...Donc voici la suite tout de suite!!! Merci de lire mon histoire! Jamais je n'aurais imaginer qu'en si peu de temps...et en plus je trouvais le chapitre 4 beaucoup plus court donc...voilà!!! 

BONNE LECTURE!!!!

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Là où nos héros se sont posés, l'aube dorée commence lentement à poindre derrière les montagnes. C'est un magnifique paysage qui se découvrira à eux lorsqu'ils se seront réveillés. Presqu'aussi beau que celui qu'ils ont laissé derrière eux la veille au soir. Accompagnant sa fidèle amie, l'aube, la rosée du matin s'est déposée sur l'herbe encore jeune et verte. Le cuisant soleil d'été d'Afrique n'a pas encore eu le temps de la brûler. 

S'envolant vers de nouvelles terres, la Nef volante d'un diabolique alchimiste quitte le village de Lalibela après y avoir accompli ses méfaits. Que trouverons nos héros là-bas?

Sous l'aurore dorée du matin naissant, le grand oiseau d'orichalque qui a les a transportés depuis la lointaine Amérique scintille de milles feux. Les reflets su soleil déjà chaud, pour l'heure si jeune, le frappe de plein fouet, réchauffant ainsi le visage de nos héros. Adossés contre un arbre, Mendoza et Laguerra se sont endormis dans les bras l'un de l'autre. La tête de la jeune femme est déposée sur l'épaule de son marin et les bras forts de ce dernier serrent doucement la taille de sa belle. De leur côté, couchés à même le sol, le jeune Atlante tient dans sa main les doigts de la jeune Inca, qui semble sourire en dormant. Quant à Tao, il ronfle plutôt bruyamment, son perroquet vert somnolant sur son épaule. Le gros marin bégayant et celui avec le visage d'un singe sont ceux qui font le plus de bruits. Ils pourraient réveiller les morts avec leurs ronflements tonitruants. Le capitaine de navire est le premier à ouvrir les yeux sous la tendre lueur matinale. Il se tourne vers sa belle, encore endormie. Qu'elle est magnifique quand elle dort!, pense la marin, Elle a l'air si paisible! Doucement, il lui caresse la joue, ce qui a pour effet de réveiller la duelliste. 

- Laguerra (à moitié endormie): oh...c'est toi...
- Mendoza: oui...buenos dias...
- Laguerra (se levant à demi pour embrasser le marin): buenos dias...
- Mendoza (lui rendant son baiser): bien dormi?
- Laguerra: pour la première fois depuis plusieurs mois...voire peut-être 2 ans...
- Mendoza (embrassant de nouveau la jeune femme): t'entendre dire ça me fait plaisir...
- Laguerra (se serrant contre son amoureux): tu peux m'appeler Isa, tu sais...j'ai oublié de te le dire hier soir...
- Mendoza (replaçant une mèche rebelle dans son chignon): alors, Isa ce sera...

La jeune bretteuse esquisse un doux sourire avant de poser sa tête sur le torse de son amoureux et avant de tourner la tête vers les trois enfants. 

- Laguerra: Ils ont l'air si calmes et posés quand il dorment...
- Mendoza: oui...personne ne pourrait dire s'ils les voyaient présentement qu'ils autant d'énergie...
- Laguerra (riant doucement remarquant les doigts entrelacés des deux élus): et...que se passe-t-il entre Esteban et Zia?
- Mendoza: nul ne le sait, pas même eux, je crois...ils se connaissent depuis tellement longtemps...
- Laguerra: tu aimes ces enfants...
- Mendoza: comme si c'était les miens, bien que je n'en ai pas...je donnerais ma vie pour sauver la leur. Ce sont eux qui m'ont montré que l'or n'était pas tout...avec 5 frères et soeurs, nous avons souvent dû nous serrer la ceinture...sans eux, je ne t'aurais jamais rencontré.