Dans un monde rempli de haine et de danger, l'être humain ne peut que vivre du jour au jour pour espérer aller aussi loin.
Descendants des parents musulman, dans un pays 99% musulman, les enfants ne doivent que suivre les traces de leur parents.
To...
Fati: shayirrr... ce.. c'est toi ? que ce que tu fais là ?
Moi: tu m'invite pas à rentrer ?
Fati: pardon.. vas-y rentre, mais que ce que tu fabrique ici à cet heure du soir ?
Moi: je n'en pouvais plus je voulais te revoir avant d'aller au lit, c'était plus fort que ma raison.
Moi: tu veux du thé, du café ou du jus ?
Moi: je veux ma femme, je te veux toi, rien que toi, aller viens t'assoir, que je te regarde.
Elle est trop sexy elle s'est habillée comme ça, je sens qu'elle est mal à l'aise.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Un peu plus long qui dépasse les genoux.
Fati: attends j'arrive je vais aller me....
Je l'ai attrapé par les hanches, Pourquoi tu veux me fuir que ce qu'il y'a ? Tu veux que je pars ?
Fati: non mais je dois me.. je dois me chan..
Moi: t'as pas besoin te changer chéri tu ne me fais pas confiance ?
Fati: bien sur que si mais..
Moi: y'a pas de mais fati, tu es ma perle précieuse, jamais je ne vais te décevoir ou te faire du mal d'accord, je ne ferrais rien que je pourrais regretter promis.
Fati:.........
Moi: viens t'asseoir sur mes genoux, que ce que t es belle tu illumine chaque seconde ma soirée , si tu veux que je rentre n'hésite pas d'accord, je ne veux surtout pas te mettre mal à l'aise.
Je commence à caresser son visage, puis ses lèvres qui sont trop mes trop pulpeuses, je contourne ses oreilles, je vois qu'elle commence à rougir. Comme une tomate. Ah nous les gens clair de peau on peu pas caché nos émotion longtemps.
Je la vois me dévorer du regard avec ses yeux bleu émeraude, cette fille est là beauté incarné. Je pose ma tête sur son épaule et je la sent caresser mes cheveux.
Fati: shayir
Moi: umm
Fati : sha.. sha.. shayir
Moi: wi ma reine
Je continu de caresser ses lèvres et ses oreilles. Je sens qu'elle n'en peu plus.
Fati : sha.. shayiiir, ne... ne...
Moi: dis moi ce que tu veux mon hlal, je le ferrais.
Fati : je veux que tu....que tu...
Direct je l'embrasse je sais qu'elle a peur mais c'est ce qu'elle veut je le sens à travers ses mouvements. Je la soulève et je quitte le salon, lui demandant de me montrer sa chambre, qu'elle me montra du doigt. J'ouvre la porte avec elle dans mes bras, je rentre et je la ferme direct avec mon pied. Je la place doucement au lit comme un objet cassant, et elle m'embrasse direct avec force.