Chapitre 4:

36 6 7
                                    

Harlem Neighborhood ; New York City :  10 Novembre 1960 ( Deux ans plus tôt)

Le calme embaume les harlémite de son souffle chaud. Un souffle qui réchauffe les cœurs des gens qui en éprouve le besoin ... des gens dont les cœurs ne sont plus que cendres, colonisés par la haine, la rencoeur et la souffrance. Cependant, le quartier d'Harlem semble calme , d'une vivacité que seul les personnes présente à ce moment peuvent comprendre. 

Cette soudaine sérénité caresse d'un baume, l'âme de quiconque y respire l'aire. Un sentiment de soulagement, dont la peine se réduit à néant... Dont la peine semble s'ôter la vie elle-même. Les pensées parasites s'abstienne d'harceler ces gens pendant un moment. Cependant, tout le monde à la forte connaissance qu'elles reviendront tels des torrents... 

Des torrents qui on tendance à épuiser et à presser l'esprit de tout son jus. 

Mais à présent, c'est le calme, la bonté et la chaleureusité qui semble protéger le quartier de son tissus blanc que représente cet équilibre ataraxique.

Une des rare journée que connait Harlem au fur et à mesure des année. En effet, les crimes se font de plus en plus vicieux , les actes de barbarie et les vandalismes  devienne de plus en plus fréquents et au fur et à mesure que le temps passe, bien que les harlemites y soit habitués... L'angoisse sert les esprits et les tensions s'agrandissent. 

Néanmoins, cette journée semble être haute en couleurs et en banalité. Rare... Mais d'une bouffé d'aire frai non négligeable.

Une fabuleuse odeur de chocolat au lait semble traversé les rues ainsi que le l'odorat de chaque passants déambulant proche de la maison. Une odeur agréable, aux dimensions enfantines nous rappelant jadis.  Jadis... Quand une mère cajolais son enfant et l'embaumait de son amour inconditionnelle. 

Jadis... Lorsqu'une femme embrassait son jeune garçon sur le front avant qu'il n'aille jouer dehors... Dieu soit Loué qu'il ne lui soit rien arrivé. 

 Ou encore jadis... Lorsque cette même femme effleurait de son doux baiser, la peau abîmée  du genou de son garçon ayant défié ses limite et étant tomber en cause du jeu qu'il effectuait avec ses amis...

Alors un parfum d'une soie douce. Aussi douce que le coeur de la personne qui à préparé le fruit de cette odeur s'inscrivant dans le domaine du merveilleux. 

Un merveilleux qui n'est pas du coté de tout le monde... En effet, une cabine téléphonique résonne de cris et d'insultes qui, à leurs écoute, semblent se heurter contre le sol juste après. 

À l'intérieur, un homme semble pester et  fulminé de mauvaise parole. Un homme qui n'est autre que Steve Smith .  Il semble se brouiller avec une personne au téléphone.

- Espèce d'enfoiré, tu ne peux pas me virer comme ça?!!! Qu'est-ce-que tu me raconte?!! 

Une frustration inégalable qui ne ronge que lui et dont lui seul se voit légitime à exprimer. Dont lui seul se voit légitime à comprendre...

De la cabine, l'incompréhension s'entend mais les insultes continue de voler et ne s'arrête pas pour autant. Sa voix fait un écho mais cependant, reste bloquer dans la cabine. Un son de voix munit de toute la frustration du monde mais restant maintenu dans cette cellule que représente cette cabine téléphonique .

D'un coup, Steve raccroche ne manquant presque pas de démanteler le téléphone au passage, tant l'élan avec lequel il percute celui-ci à son embout est brusque .

Il sort de la cabine à l'allure d'une frustration qui peut presque se lire sur son visage entaillé par la ride du lion qu'il laissait apparaître. Il est également vêtu  d'un polo à rayure superposé sur sa chemise blanche, parfaitement repassé auparavant mais froissée à présent en raison de cet étrange événement. 

LE ROI DE HARLEMOù les histoires vivent. Découvrez maintenant