Chapitre 1

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Boston                                                                              Maé Brown

22h54

- Allo ?

- Travis qu'est ce qui se passe ?

Sa voix, pourquoi me fait elle autant d'effet, il a l'aire inquiet ou peut être énervé je ne serai dire, ma gorge se noue quand j'essaye de répondre. Voyant mon hésitation Valentino récupère le téléphone et le met en haut parleur.

- Oui Adchaval, des hommes ont trouvé notre planque, nous somme actuellement sur l'autoroute A13, on est suivit.

- Ou est Maé, elle est avec toi? Elle n'est pas blessé?

- Non elle va bien, mais si tu pouvais envoyer des renforts au plus vite ça m'arrangerais bien.

- Jaces a envoyé une troupes, ou est ta destination?

- Je n'en ai aucune idée, on est a court de carburant, alors si tu pouvais nous tracé pour trouvé un lieu sur tout prêt ça m'aiderai beaucoup.

- Je te dis ça dans une minute, continue d'essayer de les semé mes hommes viennent d'entré sur l'autoroute ils te rejoindront dans peu de temps.

-Très bien fait vite.

Pendant ce temps, sur le siège passager, ma vue se brouillait, après six mois presque de tranquillité, ce genre de scénario ne m'avait pas manqué, comment pouvaient-t-ils vivre dans un monde pareil?

Valentino enfonça la pédale de l'accélérateur, tandis que de je voyais ma vie défilé. Je ne savais pas ou on allait, si il était là-bas, mais surtout si nous allons sortir vivant de ce scénario de l'enfer, l'adrénaline fuse dans mes verres pendant que je m'enfonçais un peu plus dans mon siège.

Désormais les armes a feu était de sorti, le son de la balle qui fuse l'air pour brisé le parebrise, d'une main Valentino me força a me baissé tandis qu'il conduisait plus qu'a une main. Je sens une larme dévalé ma joue avant de venir s'écrasé sur mon jean.

Les bouts de verre éclates formant une pluie sur nous, certains viennent tranché la peau de mes bras a découverts, mes cheveux cache ma vue mais je sens la main de Valentino se placé devant mon ventre avant que nous soyons tous les deux propulsé en avant.

Mon corps retenu par son bras et la ceinture m'empêche de traversé le parebrise déjà brisé, puis en peu de temps nous sommes reparti, nous avons quitté l'autoroute, désormais sur une petite route de campagne entouré d'arbres.

Valentino échangea quelques minutes avec Alec avant de raccroché, je n'ai meme pas essayé de savoir, moi qui voulais temps le voir revenir me cherché, le voir franchir cette maudit porte désormais j'ai peur que ce moments arrive.

Après tout comment devrais-je réagir, après qu'il m'est lâchement abandonné dans les bras de Valentino parce qu'il me mettais soi-disant en danger, mais qu'il a eut l'audace de m'avoué ses sentiments avant de partir comme un voleur sans me donné la chance de répondre?

Nous traversons une foret, en espérant que l'on ne se perd pas, les minutes défilent dans le silence complet, pour la premiere fois mon coéquipier n'essaye meme pas d'ironisé la situation, comme si celle ci, n'était que le début.

1h55

Les branches d'arbres nous laisse enfin percevoir une grande bâtisse en pierre seulement éclairé par la pleine lune, la brise fraiche m'aide a retrouvé mes esprits malgré le choc encore présent, l'envie de quitté cette voiture au plus vite me presse d'avantage.

Un grand portail noir aussi effrayant que celui que j'ai empreinte il y a cinq ans, ouvert nous laisse entré avant de se fermé automatiquement derrière nous, la lumière est allumé au rez-de-chaussée, mon dieu je vais faire un arrêt cardiaque, ce scénario est digne d'un film d'horreur.

Valentino se gare sur la gravier près de l'entré, mes membres engourdis me tienne a peine debout, je sors de la voiture a mon tour et le rejoint dans sa marche vers l'entré, il vient posé sa veste sur mes épaules avant de s'approché pour toqué.

Une femme vient nous ouvrir, on aurait dit une gouvernante, je sais pas ou il nous a envoyé mais il y a pas intérêt a ce que je cohabite avec un de ses associé de ses histoires louches. 

- Je vous en pris entré, les nuits sont encore froides, Monsieur Adchaval a fait préparé vos chambre a l'étage, si vous avez besoin de quoi que ce soit n'hésité pas a me faire signe.

Valentino la remercie avant qu'elle ne reparte je ne sais ou nous laissant le manoir a nous tous seul, il a l'air vraiment tendu et c'est très rare venant de l'homme qui ne prend jamais au sérieux le danger, il se dirige vers la cheminé éteinte et heureusement l'été arrive a grand pas.

Je dépose sa veste sur le porte manteau avant de le rejoindre, il cache quelque chose, mais qu'est ce qui le mettrai dans cet état ? Je viens posé ma main sur son avant bras pour essayer d'obtenir un contact visuel mais aucune réaction.

- He, il est tard, va te couché tu es crevé.

Je n'ai aucune réponse, la tête baissé il semble dans un autre monde, je finis par tiré sur son bras pour l'emmené  a ma suite a l'étage, demain il sera de nouveau en forme, il ne restera pas comme ça j'en suis sur.

Nous entrons dans la chambre qui lui a été attribué, il semble reprendre peu a peu ses esprit, je suppose qu'il a caché sa panique pendant l'assaut pour ne pas m'alarmé, faut croire que même si un enfant grandis dans ce monde ils ont encore de l'humanité.

- Je suis désolé pour ce qui s'est passé aujourd'hui Maé. 

- Pourquoi tu t'excuse? Ce n'est pas de ta faute ok, maintenant couche toi on en reparlera demain.

- Non tu comprend pas, j'ai pas du être assez prudent pendant nos sortis, mais je voulais tellement que tu retrouve ta joie et...

- Et tu as réussi, je ne t'en tiens pas rigueur Valentino, tu as permis de rendre mon séjour plus gai, plus vivant et je t'en serais éternellement reconnaissante, mais peu importe la prudence que tu aurai fait preuve, ils auraient fini par nous retrouvé et tu le sais. Le coupais je.

- Maé?

- Oui ?

- Merci.

Un rictus vient étiré mes lèvre tandis je pars cherché des compresses et du désinfectant dans la salle de bain adjointe a sa chambre, je reviens me plaçant entre ses jambes, assis sur le bord du lit, il relève la tête pour me laissé accès a son visage abimé par les bouts de verre.

Je retire des micro morceaux avec la pince a épilé et presse les plaie pour évité qu'elles ne saignent, ses yeux restent fixé dans les miens tandis que je reproduis les mouvement minutieusement pour évité de lui faire mal.

Après ça je range le matériel que j'ai utilisé, lui souhaite bonne nuit mais avant de quitté sa chambre il m'interpelle une dernière fois.

- Maé, Il veut te voir.




Fallen Love Tome 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant