Chapitre 5

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Los Angeles                                                    Alec Adchaval

1h56

J'entend le parqué de sa chambre grincé depuis au moin une heure, je ne comprends pas pourquoi le départ de Travis l'affecte tant que ça, après tout c'est lui qui assistait a ses séance de torture sans laissé une once de pitié, celui qui l'a drogué, elle qui paniquait temps a resté seule avec lui a maintenant "peur" de l'être avec moi?

Mon œil hurle de douleur, je ne devrai pas gardé la lentille pour la nuit, mais je suis incapable de me faire face sans, je n'ai pas non plus mis les gouttes pour apaisé  la douleur, ce qui inquiète beaucoup Jaces, lui qui me force a le faire certain soir quitte a me surveillé toute la nuit.

Encore plongé dans mes pensé j'entends quelqu'un toqué a la porte, quand on parle du loup, mon ami vient prendre place a coté de moi tout en se frottant les yeux, il est crevé lui aussi, cette villa a les murs fin, je suppose que je ne suis pas le seul a être dérangé par les bruits qui proviennent de sa chambre.

- T'as vu l'heure sérieux? Vous devriez tous les deux dormir, enlève ça tu les portes depuis déjà trop longtemps Alec.

- Je préfère évité, si jamais elle a besoin de moi cette nuit je veux pas qu'elle me voit sans.

- De une tu es lessivé donc si il y a besoin de quoique ce soit je m'en chargerai, de deux tu sais très bien qu'elle ne te jugera pas et qu'elle a le droit de savoir la vérité pour son séjour a Boston et de trois, je rappel Ethan si tu respecte pas un minimum les règles qui t'a imposé en te cédant ces fichu lentille, si tu chope une seule putain d'infection je vais te faire passé un long séjour sans donc tu les retire, maintenant. M'ordonna t'il en me donnant la petite boite.

- Si tu le rappel je t'envois chanté allumez le feu avec tonton Johny c'est clair ?

- Oui oui c'est ça, allé dépêche toi faut que tu rattrape tes heures de sommeils ça fais a peine une semaine que tu es revenu faut que tu te ménage sérieusement.

Je finis pas capitulé, doucement je retire ma lentille, mon œil hurle de douleur complètement déshydraté, de l'autre je vois mon ami s'approché avec les gouttes je penche la tête en arrière pour lui facilité la tâche, je sens les goutes tombé une par une ce qui me provoque malgré tout un soulagement.

- Elle ne se doute de rien on est d'accord?

- Honnêtement Alec, observatrice comme elle est, elle va se douté de quelque chose si ce n'ai pas déjà le cas. Mais bref c'est pas important, maintenant rendort toi je vais lui rendre une petite visite, oh et aussi prend ton somnifère, je te fais confiance je dois pas avoir a te surveillé c'est bien noté?

Je hoche la tête silencieusement, meme si je déteste qu'il se préoccupe autant de moi je lui en suis reconnaissant, peu de personne le ferai, je soupire me tournant vers ma table de chevet ou trône la boite de mes médocs, je hais ça, ce sentiment d'impuissance quand on est dans les vapes, être en position de faiblesse, être soumis aux autres.

Mais il em fait confiance, c'est pour ça que je culpabilise autant de lui faire croire que je les prends, j'ai une visite d'Ethan dans trois jours, malgré mes protestation il insiste puisque pour lui je ne suis pas totalement rétablis. Je range cette fichu boite dans le tiroir avant de me tourné face a la fenêtre en espérant trouvé le sommeil.

Les bruits a l'étage cessèrent, Jaces est surement le meilleur pour calmé les gens ou joué le rôle du psy ou infirmier. SI il avait pas été là que je suis sortis de cet établissement de l'enfer je sais meme pas si je serai encore en vie, Léonor et Fred aussi, on pris le role de mes parents incapable, je voyais bien la tristesse dans leur yeux quand ils ont compris que je ne serai plus jamais l'enfant innocent et exemplaire que j'étais.

7h09

J'éteins le son insupportable qui provient de mon réveil, je n'ai pas fermé l'œil de la nuit encore une fois, je me dirige vers la salle de bain, de belle cerne orne visage plus fatigué que jamais, je passe un coup d'eau froide avant de venir remettre ma lentille, je suis incapable de faire face au monde sans et je me déteste d'être aussi faible face au regards des gens.

Je rejoins les gars dans le salon, devant Fast and Furious, ils adorent vraiment ce film, je prend place a coté d'eux, aujourd'hui c'est une journée normal pour reprendre le rythme doucement, je croise les doigts pour qu'ils ne proposent pas de sortie, je tente de caché ma migraine qui prend par de moi a cause du manque de sommeil.

- Alors comment elle va ? J'ai cru l'entendre crié hier? Demanda Arthur.

- C'était compliqué mais elle s'est calmé, mais je l'ai trouvé très différente je saurais pas l'expliqué mais elle était différente d'avant. Affirma Jaces.

- Je suppose que c'est normal, on venait de la sortir de ses années de séquestration et on l'a plongé direct dans notre monde... Retrouvé une vie normal pendant quelques temps a du lui faire du bien. Répondis Arthur.

Je les laisse débattre sur son changement, après tout je ne lui meme pas encore réadressé la parole, mais vu les regards qu'elle me jetait hier ou plutôt ceux qu'elle évitais c'est très mal parti.

Des talons viennent claqué sur les escaliers, nous nous tournons tous dans leur direction, en un regard on reste tous bouche bé, de vrais femme fatal, habillé toutes les deux en tailleur noir avec de grand escarpins, dites moi comment les femmes peuvent-elles marché avec ça ?

Maé rajoute une paire de lunette de soleil noir sur son visage qui la rend beaucoup plus inaccessible, mais ou est ce qu'elles comptent sortir comme ça ? Le noir leur va a ravir, elles sont bien plus que classe, chic, prestance, raffiné ? Aucun de ces mots ne la décrit ou plutôt ne les décrit.

- On va faire les magasin ! Maintenant dépêchez vous de vous préparé! Nous ordonna Isabelle.

- Avant que l'on parte, Maé faut que je te parle. Tentais-je.

- Je n'ai rien à te dire. Me répondit elle sèchement.

- Et bien moi si. Insistais je.

- Alors tant pis.

Je ferme ma poigne autour de son petit bras,  mais elle me repousse violement avant que je n'ai le temps de réagir elle m'assène une gifle, j'en reste bouche bé, choqué par son geste comme tous les autres autour de nous, l'ambiance est pesante.

- Que ce soit bien clair Adchaval, je ne veux rien a faire avec toi.

               Alors il ne m'avait pas mentis, elle me hais désormais.



Fallen Love Tome 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant