Fallen Love Tome 2

Chapitre 2

Boston                                                                        Maé Brown

5h42

La nuit a été courte encore une fois, le sommeil n'est pas venu, les paroles de Valentino tourne sans relâche dans ma tête, pourquoi j'appréhende tant nos retrouvaille alors que je ne suis même pas sur qu'elle auront lieu.

Et pourtant, il me manque.

Mais je le hais tellement en meme temps, de m'avoir laissé là-bas, de m'avoir embrassé sans me laissé le temps d'exprimé mes sentiments a mon tour, sans lui prouvé que son absence me ferai plus de mal que de bien, car oui, Valentino a embellie mes journées, mais n'en reste pas moin que les problèmes sont toujours là.

Mes vomissement que je cache a mon coéquipier pour ne pas l'inquiété, mes cernes que je m'efforce de caché pour ne pas éveillé ses soupçons, les repas sauté que je prétends avoir mangé, les marques rouges qui sont juste de l'allergie .

Les yeux rivés sur le plafond, encore une nouvelle journée a affronté, j'espère qu'il se sent mieux qu'hier, il me faisait de la peine, j'aurais presque reconnu Alec en lui hier soir. Je ne serais dire pourquoi.

Après quelques minutes a cogité je finis par me levé, je passe devant sa chambre, il dort encore et tant mieux, il était fatigué ces derniers jours, je rentre pour remonté la couverture sur lui et ferme les rideaux pour ne pas qu'il soit dérangé par la lumière du soleil levant.

Je descend dans la cuisine, la gouvernante a déjà mit le petit déjeuné sur la table, je fais demi-tour, direction les toilettes, je sens une bile remonté, c'est pas vrai ça recommence, je ferme la porte derrière moi avant de me penché au-dessus de la cuvette, les vomissements me donne la migraine.

Après cette étape pas très gai, je me rince la bouche et rejoint Valentino qui s'est malheureusement réveillé quand meme, il a l'aire en forme, il charrie la gouvernante, elle semble bien l'apprécié aussi finalement, je le rejoint sur le canapé, il passe une main dans mes cheveux pour les ébouriffé alors que j'insulte tout son arbre généalogique.

- Valentino, il faut qu'on parle d'hier.

- Pourquoi faire c'est passé maintenant.

- Val c'est important, madame pouvez vous nous laissez seul s'il vous plait.

 Elle accepte d'un hochement de tête avant de disposé, alors voilà pourquoi il se comporte comme ça, il compte faire comme si de rien était.

- Écoute Maé peu importe ce qui a peu se passé hier Adchaval ce chargera de tout remettre dans l ordre.

- Et même si il le fait, pourquoi ça t as mis dans cet état ?

- Comme toi ,ça faisais des mois que je faisais plus face à la réalité de ce monde, ça m à pris de court c est tout.

- Pourquoi tu mens Valentino? 

- Pourquoi ça t'intéresse Maé?

- Tu te rappel de ce que tu m'as dit hier avant que je parte?

- Que Alec voulait te voir ? Ou est le problème ? de toute façon je t'emmène ce soir.

- Attend quoi c'est que maintenant que tu me le dis. M'impatientais-je. Le problème ? est ce que c'est vraiment un question Val?!

- Maé tu ne peux pas lui en vouloir toute ta vie et tu sais comme moi qu'il l'a fait pour te protégé et il a bien fait étant donné la situation actuel.

- Alors quoi tu le défends ? Tu as joué la nounou pendant six mois et ça t'as pas dérangé? T'avais pas plus important a faire comme vendre vos magouille.

- Maé on est pas tous des dealeur et encore moin a plein temps, de plus j'ai conclu un marché avec lui il a sa part et j'ai la mienne.

- Peu importe, je ne veux pas le revoir, je n'irai pas ce soir point final.

- Si tu ira, écoute je comprend totalement ta réaction mais il mérite de pouvoir s'expliqué tout seul, tu sera plus en sécurité au près de lui dorénavant.

- Quoi c'est une blague? Il m'a pas envoyé ici justement parce que c'est le contraire?

- Oui mais maintenant les hommes savent que je te garde je ne peux plus resté au près de toi c'est trop dangereux.

- Alors quoi il va me trouvé une nouvelle nounou, pitié arrêté de me traité comme si j'étais une pauvre gamine de quinze ans.

- Tu sais très bien que ça n'a rien avoir, tu n'es pas en sécurité dans ce monde, une fois que tu y a mis les pieds...

- Tu n'en ressort plus? Alors quoi j'ai été lâchement envoyé chez ce fou pour de l'argent, par ma propres famille par ma propre mère.

- Maé, je suis désolé, mais encore une fois, ce n'étais pas ta mère, je ne mentais pas je suis navré.

- Tu ne mentais pas ? C'est impossible, alors mon père?

- Il est encore en vie, je suis désolé.

Plus aucun son ne sort de ma bouche, alors il ne mentais pas ? Même dans ma vie d'avant, le monde n'était pas honnête? Je peux pas le croire, j'avais tellement confiance en elle, je n'ai toujours pas avalé le coup volontaire de m'envoyé la bas mais ça..

ça je ne peux pas, je baisse les yeux avant de monté les escaliers, il ne perds pas de temps pour me rattrapé avant que je ne m'enferme dans ma chambre, ses bras se referme autour de ma taille tandis que j'empêche mes larmes de coulé.

- Lâche moi, s'il te plait.

- Maé, regarde moi, je vais pas te laissé ok ? Tu n'ira pas t'enfermé seule, tu vas prendre un chocolat chaud et on va regardé un Disney, je met raiponce si tu veux.

- Valentino je veux juste être seule s'il te plait

- Pour succombé a ton envie d'y mettre fin parce que tu broie du noir? C'est hors de question.

- Mais...

- Il n'y a pas de mais, allé on redescend.

Il m'attire vers les escaliers que je descend a contre cœur, une fois arrivé dans le salon il ferme les rideaux pour nous donné une ambiance de cinema, il me ramène un chocolat chaud et un plaid avant de lancé le film.

Je tente de chassé notre dernière échange sur ma famille avec difficulté, le canapé s'affaisse a coté de moi tandis qu'il passe un bras sur mes épaules et lance le filme avec l'autre main, je laisse ma tête reposé sur son épaule tandis que les premières scène de raiponce défile sous mes yeux, ce film qu'i m'a donné envie de faire des mes cheveux blond la plus longue chevelure possible malgré les règles de ma mère ou plutôt de ma tante.

Enfaite si je veux le revoir..