Camila.
Chapitre 6 : audio
Assise sur le canapé en cuire noire les paroles d'Alba ne sont que font sonores alors je me concentre sur le tic-tac de l'horloge
Elle n'a pas hésitée à parler au principal de notre altercation d'hier, parce qu'elle sait que je suis a deux doigts d'être expulsée.
Mon cœur bat la chamade dans ma poitrine, en l'entendant aggraver la situation et en montrant des blessures qu'elles même s'est faites, j'ai beau tenter de me défendre et d'expliquer ce qu'il s'est passé, le principal et mon ennemie ne me laisse pas en placer une.
Je croise mes jambes, et respire bruyamment en checkant ma montre de temps en temps, les capacitées qu'elle a à créer des scénarios aussi rapidement a besoin d'être étudié parce que je commence à y croire moi même.
Son mascara s'étale sur son visage pâle, lui donnant un peu de couleur à sa face de zombie mort-vivant, je la zieute avec admiration.
Putain, donnez lui un oscar !
Le gros porc qui nous sert de principal lui, me fixe secouant la tête avec une expression de dedain qui me donne une grande envie de rouler les yeux d'ennui.
J'observe le gigantesque bureau du principal, des changements on été effectués au lieu du tapis verts foncé, il a préféré mettre un autre beige et marron et pour être honnête c'est vachement mieux et ça match avec le parquet, les lumières autrefois bleues et froides sont maintenant des couleurs orangées et chaleureuse.
Le bruit lourd sur le bureau en bois ornées de motifs écho dans la grande pièce, ce qui me fait tourner la tête de tout son poid il se lève.
Je ne comprends toujours pas comment ça se fait que la table ne s'est toujours pas effondrée sous son poids.
Coupé dans son élan, la porte qui s'ouvre attires toute notre attention.
Des cheveux noirs, une chemise blanche et bien repassé, un pantalon noir droit, le casse couille se tient devant la double porte dorée.
Brooklyn...
Nos regards se croisent pendant qu'il marche avant de me toiser avec un sourire qui me dégoûte
Connard.
De sa voix roque et extrêmement grave le directeur esquisse un grand sourire avant de dire.
—MARK ! il s'esclaffe attrapant son ventre, secouant fermement sa main.
Alba que j'avais presqu'oublier me lorgnes de ses petits yeux avant de remarquer que notre profffeseur la fixe.
Il dépose des papiers sur la table, les manches de sa chemise sont retroussé.
Mes yeux se pose sur son avant bras et je dois l'avouer...
Ses bras putain ?
Des tatouages d'oiseaux sont inscrits sur sa peau, je remarque différent dessins de colombes, plus que d'autres mautifs.
Il se penche sur la table et nous désigne moi et Alba du menton.
—Qu'est-ce qui s'est passé avec ses deux là ? Il demande d'une voix sec qui est à la limite sexy, il a du boire hier ou peut être c'est le résultat d'une déshydratation sévère.
