07| étoile

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Hadès
- N'ai pas peur, je ne te ferai pas de mal,my love.
Je vis à son regard que je n'aurais jamais du l'appeler comme ça. Honnêtement je ne sais pas ce qui m'a pris.
- Plus jamais tu ne m'appelles comme ça. Me dit elle.
- Où sinon quoi ?
- Hadès fou moi la paix putain.
- Aucune repartit, my love. La provoque-je.
- Tais-toi Hadès. Je vais chez moi.
- Oui va pleurer à ton papa.
Elle ne bougea plus, sa respiration était instable. Qu'est je dit ? Une larme coula sur sa joue.
- Liz-
- Ne t'avise plus jamais de parler de mon père, jamais.
Et sur ses mots elle partie, je me sentais bizarre comme si une partie de moi culpabiliser. Mais comment pouvais-je culpabilisé pour elle ? Je décida de sortir prendre l'air et je la vis, là, assise à terre à l'entrée de la patinoire en pleure, sa respiration incontrôlable, ses mains dans ses cheveux si brillants. Elle était entrain de faire une crise de panique. Au départ j'allais partir et la laisser là mais une partie de moi voulait l'aider alors j'écouta cette partie de moi.
- Lizie, écoute moi, inspire et expire calmement.
Elle n'y arrivais pas je le voyais.
- Lizie regarde moi.
Elle leva ses yeux bleu clairs vers moi, ses yeux remplis de larmes.
- Respire en même temps que moi, inspire, expire.
Elle suivit mes instructions. Peu à peu elle reprit le contrôle de sa respiration mais elle était toujours en pleure. Avec crainte je m'installa à côté d'elle. Elle essaya de retenir ses larmes je le voyais. Alors je l'a pris dans mes bras et avec surprise elle ne me repoussa pas, elle ne ce crispa pas non plus.
- Je suis désolé, désolé d'avoir dit quelques choses qui t'a blessé, my love.
- Hadès je t'en supplie ne parle plus jamais de mon père, je veux qu'il disparaisse.
Je caresser ses cheveux en même temps pour l'apaiser elle était blotti contre moi elle ne bougea pas d'un poil. Nous restons pendant quelques minutes jusqu'à ce que son téléphone sonne. Elle le prit pour voir qui c'est. Mike. Évidemment toujours là à gâcher les meilleures moments. Évidemment elle réponds.
- salut. Protesta Mike une fois qu'elle eut décroché.
-Salut Mike.
-Tu fais quoi ?
Lizie ce leva et s'éloigna, elle ne voulait pas que j'entende ? Leur conversation dura bien 20 minutes, 20 minutes que j'attends qu'elle revienne. Après encore quelques minutes elle eut fini.
- Pas trop tôt. Lui dis-je
- Je te manquais déjà.
- Jamais tu ne me manquera.
Elle en répondit pas et rentra dans la patinoire. On ce mit a s'entraînait, la compétition arriva à grand pas et nous n'étions pas parfait. Lizie devait faire une figure compliqué, un triple Axel. Je le savais, j'en étais sur, elle allait y arriver. Elle a une lumière en elle qui brille, quand elle patine tout au autour d'elle simule, elle ne patine pas avec ses pieds mais avec son cœur.
C'était le moment où elle devait faire le tripe Axel. Elle avait meuf ça se voyait. Elle ce lança mais au troisième Axel, elle tomba.
- Hadès j'en suis incapable.
- Lizie, tu en ais capable tu n'as juste pas confiance en toi, si ta coach ta choisi c'est pour une raison tu ne penses pas ?
Ses yeux bleus accrocha les mieux, je ne sais pas si elle me croyait. Je l'espère. Elle détourna les yeux.
- Je ne sais pas. Dit elle. Peut être qu'elle c'est tromper.
- Tu es la meilleure pour cette figure, trouve juste une motivation, une motivation qui te fait avancer.
Au même moment mon téléphone sonne, toujours au mauvais moment. Ma mère m'appelle ?
- Hadès c'est l'anniversaire de ton père aujourd'hui faut que tu viennes maintenant.
- Non.
Ma voix était sèche je n'avais pas envie de fete l'anniversaire de la personne qui a caché ma vie.
- S'il te plaît Hadès. Me demanda ma mère d'une voix triste.
- Je le fait juste pour toi,maman.
Et je raccrocha.
- Lizie je doit y aller il y a l'anniversaire de.. euh, Patrick.
- Ton père quoi.
- Oui c'est ça.
- T'inquiète tu peux y aller.
- Tu veux je t'accompagne ?
- Non je vais rester ici m'entraîner.
- D'accord, my love.
Et je parti sans regarder son visage, son visage si lisse, remplit de traumatismes.

20h
« Joyeux anniversaire, joyeux anniversaire, joyeux anniversaire Patrick,.... »
Tout le monde chanter cette chanson, sauf moi. A cause de lui une chose en moi est mort, la fidélité.
A cause de lui je n'arrivais plus à être fidèle. La plus grande tragédie de la vie n'est pas la mort mais ce qui meurt en nous, quand nous vivons encore.

Flashback
Maman était partie depuis maintenant quelques heures, Mike était chez sa nounou, j'étais dans ma chambre. Mais je n'entendais plus papa depuis un moment maintenant, alors je décida de le chercher. Je ne le trouvais pas. Au début je pensais qu'il jouait à cache-cache je trouvais sa drôle mais au bout d'un moment je ne trouvais plus sa drôle. Je me mit à chercher partout sauf un endroit, sa chambre. Papa m'interdisais tout le temps d'y aller quand maman n'étais pas là. Mais aujourd'hui je décida d'entrer pour voir si mon père y était. Alors j'ouvris discrètement la porte et ce que je vis me laissa sans voix. Un petit cris d'effroi sorti de ma bouche. Et mon papa l'entendît. Il ce tourna vers moi ses yeux remplit de colère. Il sortit en vitesse de sa chambre claqua la porte et me prit pas le bras.
- Je t'ai dit de ne JAMAIS entrer dans ma chambre, JAMAIS.
- Je ne te trouvais plus. Dis-je en sanglotant.
- Ce n'est pas une raison Hadès. Tu as intérêt à rien dire à ta mère.
J'ai vu mon père avec une autre femme que ma mère dans leur lit et il croit que je ne vais rien dire ?
- Sa ne ce fait pas, tu n'as pas le droit. Je vais le dire.
- Hadès la fidélité ne t'apporte rien de bon dans la vie, juste une vie ennuyante. Alors ne lui dit rien.
- Si
Il voyait rouge, je le voyait.
- Tu n'es qu'un lâché lui crachais-je à la tête.
Sur ses mots il Commença à me frapper du plus fort que je le pu. Il ne s'arrêta pas. Je saignait je le sentais.
- Ce sera toi le lâche si tu lui dit.
Il me frappera encore pendant des années pour que je ne dises rien,jusqu'à que je parte.

Flashback fini
Je ne peux pas rester, je ne peux pas lui donner ce plaisir. Alors je décida de partir. Mais quelqu'un me retient. Mike. Il est toujours là quand t il faut pas.
- Lâche-moi.
- Hadès reste, c'est l'anniversaire à papa.
- Non je ne resterais pas.
- Je ne comprends pas pourquoi tu le déteste.
Et il me lâcha. Si tu savais ce qu'il m'avait fait subir tu le détesterais aussi. Je décida d'aller me réfugier à mon endroit préféré, ou j'ai vue Lizie pour la première fois, regarder les étoiles dans le parc.
Je m'installe, adossais sur un arbre, je contemplais les étoiles. Chaque jour elles brillent encore plus. Ces le étoiles, les étoiles tout la haut qui gouvernent notre existence. Quand j'étais ici je pouvais respirer. J'étais libre sans que personne ne pouvait me déranger. Alors que je contemplais les étoiles, un bruit retentit. Immédiatement je me cacha derrière l'arbre. Oui c'était interdit d'être ici de nuit. Les bruits avançais en même temps que les battements de mon cœur tapait contre ma poitrine. Faite que ce ne soit pas la police s'il vous plaît. Alors que j'allais littéralement mourir sur place. Une fille s'installa dans l'herbe, une fille que je reconnu aussitôt,Lizie.
Elle regardait les étoiles avec admiration mais elle semblait pensive, triste. Je n'avais jamais osé l'approcher durant toutes ces années. Je reste caché derrière l'arbre essayant de faire le moins de bruit possible. Et évidemment quand tu dois pas faire de bruit tu en fais. Une branche craqua sous mon poids. Lizie la entendu, ça paraît évidant.
- Il y a quelqu'un ? Demanda-t-elle.
Je ne pouvais pas lui dire que c'était moi, elle allait me poser un tas de questions aux quelles je ne voudrais pas répondre. Elle commença à s'avancer vers la où je mettais cacher.
Je suis foutu.
Elle s'avança prudemment et avec peut sa ce voyait à sa manière de marcher. J'essayais de me faire tout petit mais je savais que c'était impossible qu'elle ne me trouve pas. Je me retourna et ses yeux rencontra les miens. Un petit crie de peur quitta ses lèvres.
- Qu'est ce que tu fous là ?

CondamnéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant