Lyzie.
Je n'ai pas su fermer l'œil de la nuit non pas à cause de mes cauchemars cette fois, a cause d'Hadès. Comment peut-il me hanter alors que je l'ai supprimé de ma vie. Comme quoi même les gens qu'on essaye de supprimer de nos vies refont surface tôt au tard. Il n'y a pas qu'à cause de monsieur j'ai-pas-de-sentiment. (Nouveau surnom) que je n'ai pas réussi à dormir. Pour cause, Mike. Malheureusement ils n'ont pas de chambre d'amis. Ce qui veut dire que j'ai dû dormir avec Mike. Avant cela ne me dérangeait pas, mais depuis que monsieur m'aime tout est devenu compliqué entre nous.
Je descendis prendre mon petit déjeuné, et madame Perez entrain de faire des pancakes. Les meilleures pancakes que je n'ai jamais goûtés. Goûtez-y, ils sont incroyables.
- Grand jour aujourd'hui, Lyz. Me dit madame Perez me coupant dans mon allant. J'allais prendre des pancakes en plus. Mais de quoi parlait-elle ? Quel grand jour ?
- De quoi parlez-vous, Cyndie ?
- Aujourd'hui tu pars au Canada non ? Tu vas cohabiter avec Hadès pendant 2 mois.
Ah putain c'est vrai, 2 mois au secours.
- C'est vrai j'avais oublié, d'ailleurs je vais rentrer chez moi préparer mes affaires. Je passerais plus tard dire au revoir à Mike. Dis-je
Même si j'en avais pas envie.
***
Quelques heures sont passées depuis que je suis partie de chez Cyndie. Il était maintenant 16h notre vol était à 20 h. Et je devais passer par la case dire au revoir à Mike. Je me dirigeai vers la porte et monsieur -j'ai-pas-de-sentiment sorti au même moment.
Nos regards se croisèrent et une drôle de sensation s'empara de moi, c'était étrange mais agréable. Nous nous échangeâmes aucune parole. Seul nos regards parlent pour nous. Mais dans ses yeux je vis comme une vérité non dite.
J'entrais dans la maison et me dirigea dans la chambre, et saluant de la main les parents Perez.
-Salut Mike. dis-je en entrant dans sa chambre. Je suis venue te dire au revoir.
- Il te ment. Me dit Mike en me fixant.
- De quoi tu parles. Dis je perplexe. Qui me ment ?
- Tu le découvriras tôt ou tard, ne t'en fait. Il me dit ça en se dirigeant vers la porte pour la fermer, à clef ?
- Pourquoi tu fermes la porte Mike ?
- Tu voulais me dire au revoir, n'est ce pas Lizie.
Cette voix, tout sauf cette voix.
- Mike ne fait pas ça. Je t'en supplie.
- Lizie dit moi juste au revoir comme il le faut. T'en fais pas ça va bien se passer. Très bien même.
Sans que j'eus le temps de prononcer un mot qu'il m'attrapa le poignet. Je me debater du mieux que je pouvais, mais il était beaucoup plus fort que moi. Alors en un mouvement il me claque sur son lit. Il maintien mes mains au dessus de ma tête en tenant mes poignets fermement ce qui me fait tirer une grimace. Je faisais bouger mes jambes pour pas qu'il réussisse à me toucher. Je me debater tellement qui me foutu une gifle. Sans en prendre conscience je lui cracha à la tête.
- Connard. Dis-je énerver.
- Tu verras ce qu'il va te faire le connard. Me dit-il avec animalerie.
Il commença a m'embrasser de partout. Il marqua ça présence sur moi. Il me dégoûte. Comme quoi les personnes les plus proches de nous sont ceux qui peuvent le plus facilement nous mettre un couteaux dans le dos. Pour mon cas je n'ai pas vue le couteau arriver. Il commença à enlever progressivement mon haut, tout en douceur. Je ne pue lâcher un rire nerveux.
- Qu'est ce qui te fais rire hein ? Tu verras tu seras mienne tu me supplieras de continuer.
Non, je veux que ça s'arrête, il sait, il sait tout ce que j'ai vécu et il ose me faire ça. J'essayais de contenir mes larmes mais je ne pue les retenir plus longtemps. Elles s'écoula le long de mes joues pendant ce temps il enleva mon pantalon et ma culotte.
- Regarde bien je vais te faire kiffer. Me dit Mike
Sans que je m'y attende il entra deux doigts en moi, ce qui amplifie mes larmes.
Mon meilleur amie me viole sans aucun regret.
- Mike.. Mike.. je t'en supplie.. arrête. Dis je à bout de souffle.
- Profite Lizie, je sais que c'est des larmes de bonheur.
Connard.
J'étais faible et je m'en voulais. Et si je ne serais pas venue ? Et si je serais sortie avec lui ? Et si je ne l'aurais pas vexé ? Tout ça est de ma faute. Je ne peux en vouloir qu'à moi même.
En relevant ma tête il..
Non
Non
Non
-Mike non s'il te plaît pas ça.
- Ta gueule Lizie putain.
Il me pénétra. Un crie de douleur sorta de mes lèvres et mes larmes doublèrent.
Tout à coup des coups à la porte retentirent.
- Tout va bien la dedans.
Hadès
- Oui tout vas bien Hadès maintenant casse toi.
- Lizie ? Je veux t'entendre s'il te plaît.
-Oui.. Oui.. tout vas bien. Dis je difficilement.
- D'accord dit Hadès.
Il n'a pas entendue ma voix ce briser en disant ces mots. Pourquoi sur moi ? Pourquoi la personne en qui on a le plus confiance fini toujours par nous détruire ? Pourquoi ? Pourquoi moi ?
Tant de questions ce bouscule dans ma tête, je n'arrive plus à réfléchir. J'ai peur, j'ai honte, je suis trahi. Je n'en peut plus.
Toujours entrain de penser et lui de me toucher, un boum résonne. Mike se retourna d'un coup. Je ne peut même pas voir qui c'était qu'il se prit un coup de point dans le visage.
- Aïe. Grogna Mike.
Hadès.
C'était Hadès, la source de ce coup de poings. Dieu merci. Quelqu'un pour me sauver.
Mike et Hadès étaient entrain de ce battre. Je ne sus comment réagir, je ne peux réagir. Je suis paralysé.
Un cris aigu de Mike me fit sortir de cette paralysie.
Mon corps réagit à la place de mon cerveau. Je m'habille en deux temps trois mouvements et me dirigea hors de la chambre.
Je couru en bas, dehors. Loin, loin de cette maison. Loin de lui.
***
J'étais chez moi, au pas de ma porte. Je ne sus pourquoi mais je n'arriver pas à sortir de ma maison. Comme ci si je sortais je serais fragilisé, incomprise.
Mais il faut que je le fasse, pour ma passion. Pour me libérer.
Je m'avança donc sortie un pied de ma maison puis l'autre.
Ah oui, Cyndie n'était pas là. C'était évident. Elle m'a laisser un mot, comme c'est mignon.
« j'espère tu échoues, salut »
Telle était ses mots.
Alors que je me dirigeait vers la voiture, un bruit de moto retentit dans mes oreilles. Quand je me retourne je vis Hadès.
Il me fit signe de la main. Comme pour monter sur sa moto. SUR SA MOTO.
Je lis sur ces lèvres « dépêche on va être en retard »
Ni une ni deux me voilà sur ça moto, il avait un hématome sur le bas de la lèvre. Je savais qu'il en avait d'autres. Je m'en voulais. Je ne pouvais pas cesse de penser que tout ça était ma faute.
- Accroche toi à moi, my love. Je ne te ferais pas de mal. Me dit-il
Je le fit, non sans me crisper. Comme ci j'étais, soulagé ? Comme ci il me soulager.
Il compris que je ne voulais pas parler car il ne parla pas, même si je sais qu'on nous allons en parler tôt ou tard.
Quelques instants plus tard nous sommes à l'aéroport. Notre vol est dans moins de 5h. J'étais exténuée, je voulais dormir mais où ?
Comme si il lisais dans mes pensées.
- pose ta tête sur mon épaule et repose toi. Me dit Hadès
- Pourquoi ? Dis je perplexe.
- My love t'es fatigué et je ne veux pas qu'on perde parce que tu es fatiguée.
- Tu t'inquiète pour moi ?
- Non je veux juste gagner, je m'en fou de toi.
Aïe je sais pas pourquoi mes ces mots me blessent. Je l'ai ignorer car après tout, il a raison on es là pour gagner.
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Condamné
RomanceTraumatisé par son père, Lyzie n'a plus confiance en les hommes sauf en vers son meilleur amie Mike. Lyzie a une passion depuis quelques années maintenant, le patinage artistique. Hadès,lui, depuis tout petit aime faire du patinage artistique. Hadès...