Le Bonheur Est-il Au Bout Du Tunnel ??

~27 : Pourquoi ?

Ne me jettez pas la pierre !!!

Je suis a blâmer je sais ! Mais je suis là ! Avec la suite de l'histoire.

Mais voir beaucoup de vue et ne presque pas avoir le même nombre de vote décourage énormément. Donc s'il vous plaît il suffit juste de cliquer sur l'étoile et c'est tout c'est gratuit et ça nous motive à écrire d'avantage et a doubler d'effort pour vous satisfaire !

Désolée pour les fautes et bonne lecture mes babys!

PDV EXTÉRIEUR

Deux semaines qui sont passées durant lesquelles, il y'a eu des sorties père et fils qui se sont très bien passé, une mère heureuse en voyant son fils heureux, un petit garçon épanouie par la présence de ses deux parents dans sa vie.

Tout n'est pas encore en place, Karim à contre cœur a dû rentré à Akbar, son peuple avait besoin de lui. Mais il a promis de revenir très vite.

Zeynab a repris son travail, elle avait une très bonne équipe qui a bien gérer son absence. Aujourd'hui c'est mercredi , elle doit aller tôt au boulot, ils se préparent rapidement, elle dépose son fils et s'en va. Après une longue et éprouvante journée, il était temps d'aller chercher Imrane, elle constate qu'elle est très en retard et qu'il doit être le dernier qui reste mais sait qu'il est entre les bonnes mains de son institutrice comme à chaque fois qu'elle est en retard.

Comme elle le savait, c'était vide. Elle entre dans le bâtiment en se dirigeant vers la classe de son fils. Arrivée devant la salle elle voit l'institutrice mais pas Imrane, la panique commence à l'a gagner .

Zeynab : Bonsoir madame

L'institutrice : oh Bonsoir ! Je peux vous aider ?

Zeynab : où est imrane ?

L'institutrice a un regarde confus

L'institutrice : mais Madame Demir on a déjà récupérer votre fils

Zeynab : je vous demande pardon ? Qui ? Comment ? Quand ? Sous l'autorisation de qui ?

Sans le vouloir la monté d'adrénaline lui fait hausser la voix et son visage n'est plus celui d'un âge. Avec ses yeux bleus, son visage froissé de colère, on dirait une amazone.

L'institutrice : la votre ! Répond la femme toute tremblante

Zeynab : JAMAIS ! Je préviens toujours... TOUJOURS !

Elle s'approche de la femme qui elle recule en étant toute pâle et traspirante.

Zeynab : j'espère que c'est une blague. Où est mon fils ?

L'institutrice : on est venu...le...le récupérer.

Zeynab : Qui ?

L'institutrice : C'était...C'était...une femme blonde, grande de taille, mince.

Jamila ? Non elle est mince et grande mais pas blonde

Cassandra ? Non elle lui aurait dit !

MERDE ! Qui a pris mon bébé ?? Où est tu mon amour ??? Se dit-elle

Zeynab : Écoute moi très bien... Dit-elle en se retournant vers elle et lui attrapé la gorge sans trop serrer. Si quelque chose arrive à mon enfant, même une petite égratignure, une seule goutte de l'arme...ta vie est fichue !

Elle sort presque en courant et s'arrête sur trottoir pour remettre ses idées en place. Elle appel toute personne ayant un contact avec imrane mais personne n'est venue ou a envoyé quelqu'un. Puis elle se rappelle qu'il y'a une seule personne qu'elle n'a pas appelé. Il peut être venue le chercher ou envoyé quelqu'un le prendre sans lui en informer, juste pour l'énerver. Peut être qu'il est venu ?

Karim : Allô ?

Zeynab : t'es revenu en France ?

Karim : quel acceuil !

Zeynab : répond !

Karim : Non...Et...

Elle ne lui laisse pas le temps de parler et raccroche, il rappelle mais elle ne décroche pas, jusqu'au troisième appel...

Zeynab : quoi ?

Karim : Qu'est-ce qui se passe ?

Il obtient un silence et ses doutes se confirment.

Karim : parle !

Zeynab : JE NE SAIS PAS ! Je suis venu récupérer imrane et ont me dit qu'on est venu le chercher...or moi j'ai envoyé personne et personne que je connais n'est venu le prendre, je...

Karim : calme toi j'arrive !

*****
Après avoir racrocher, Karim ordonna qu'on lui prépare son jet, il avait le cœur qui battait très fort dans ses oreilles. La voix désespérée la jeune femme faisait accroitre son inquiétude.

Après 2h de vol, il se retrouve dans sa voiture en route pour retrouver zeynab qui n'avait pas bouger d'où elle était et l'institutrice n'était pas non plus sortie par peur. Alaké et Jamila étaient avec elle pendant ces 2h entrain de la réconforter.

Zeynab : Allô ? Répond t-elle en reniflant

Karim : tu es où ?

Zeynab : devant la crèche.

Quelques minutes plutard, il arrive et sort de la voiture en trombe pour retrouver la jeune femme. Quand il voit son visage pleins de larmes, plus rien n'existait pour lui, tout ce qu'il voulait c'est de les sécher et faire payer cette personne qui a osé faire couler ses larmes.
Il n'arrive pas à savoir pourquoi il ressent l'envie de l'a prendre dans ses bras, l'a protèger après tout ce qui c'est passé.
Il s'approche et s'accroupi devant elle, il prend son visage en coupe et essuis ses joues avec ses pouces.

Karim : He ! Qu'est-ce qui c'est passé ?

Elle se jette dans ses bras en sanglotant, il resserre son emprise et caresse ses cheveux.

Zeynab : Ils...ils ont pris mon bébé ! Mon imrane. Elle soulève sa tête pour le regarder dans les yeux. Et les yeux qu'il voit sont sombre, sombre de colère. Si je retrouve cette personne... Ça ne sera pas jolie à voir...

C'était comme une promesse qu'elle s'est faite à elle même. Mais il compte bien le faire pour éviter qu'elle ne se salisse les mains car c'était son rôle à lui.

L'institutrice en voyant l'arrivée d'autres personnes et de Karim décide de sortir de sa cachette croyant être à l'abri. Elle fut acceuilli par le cheikh dont tout les muscles de son corps sont tendus de colère et d'inquiétude.

Cette dernière oublie toute forme de séduction en voyant le regarde du roi, très sombre, plissé et rictus de colère aux lèvres.

PDV EXTÉRIEUR

... : Mon Dieu mais arrête de pleurer ça me déconcentre je ne peux pas réfléchir correctement !!!

... : Ze veux ma maman !!! ( en pleurant )

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