~28 : Cœur d'une mère

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PDV EXTÉRIEUR

Quelques minutes après, les policiers sont sur le coup, le cheikh joue de tout ces connaissances pour retrouver son fils mais tout ça ne calme pas zeynab qui est passé des pleures, à des yeux plus noir que l'origine rempli de colère, de peur .

Entouré de Jamila, Alaké et Rayane, elle se lève tout d'un coup en courant vers sa voiture.

Zeynab : pourquoi je n'y ai pas pensé plus tôt !

Jamila : zeynab qu'est ce qui se passe ?

Zeynab : le collier ! Je l'avais complètement zappé !

Comprenant de quoi il s'agit, ils ont un espoir de vite retrouver le petit prince. Dès l'âge d'un an, zeynab lui ai mis un collier traditionnel dans lequel, elle a implanté un traceur au cas où son père aller refaire surface.

Avec sa tablette, elle essaye de le localisé. Quelques minutes plutard la localisation lui montre un lieu presque déserte avec un immeuble qui a l'air abandonné. Décidé à récupérer son fils, elle retire sa veste, ouvre la boîte à gang et récupére son arme. Le cheikh étonné essaye de parler mais n'y arrive pas.

Alaké : qu'est ce que tu fais ?

Zeynab : je pars récupérer mon fils !

Jamila : mais c'est à la police de le faire.

Zeynab : je ne vais pas rester ici les bras croisés en attendant qu'ils me ramène mon fils !

Karim : écoute...

Zeynab : j'irai et j'explose la tête de cette personne qui elle soit je le ferai ! N'essayez même pas de m'arrêter.

Elle démarre à toute vitesse en direction de l'immeuble, Karim lui aussi demarra la sienne et l'a suivi en ordonnant aux policier de rester discret et de ne pas intervenir sans son Ok.

Dans un immeuble en arrêt de construction, une femme garde un enfant pendant des heures sans eau ni nourriture. Son cœur de prière n'a aucune pitié pour le petit être innocent devant elle. Tout ce qui compte a ces yeux c'est la vengeance, elle veut lui faire regretter de vouloir tout lui prendre, quoi de mieux que de s'attaquer à un être cher.

L'enfant ne fait que s'affaiblir au cours des heures, les pleures estompées à cause de l'épuisement laissant place au sanglots à peine audible. Coucher sur un fin matelas par terre dans cette pièce. La jeune fille prise dans la rue au hasard par cette personne a pour travail de surveiller l'enfant pendant son absence. Elle n'apprécie pas le fait de laisser cet être innocent dans ces conditions et essaie de trouver une solution pour le faire sortir de là mais rien...

Celà fait presque une heure que la personne est partie, ni elle ni l'enfant on était nourri depuis qu'ils sont là, et son organisme lui réclame son énergie. Des bruits de pneu lui fait croire qu'elle est revenu. Elle n'a pas quitter sa position, assise sur ce matelas avec la tête du petit sur ses jambes qui a une forte fièvre.

PDV ZEYNAB

J'arrive devant cet Immeuble, me gare, prend mon arme et sors en courant vers ce dernier. Arrivé à l'entrée je m'arrête pour bien observé mais il y'a personne...bizarre...

Elle est bête à ce point ? .... Oui j'ai mon idée de qui peut être dernière tout ça. Cet endroit est immense, comment je vais faire pour tout vérifier ?

... : tu es folle de t'aventurer seule ici ?

Je sursaute en me retournant pour découvrir cet idiot, pourquoi il m'a suivi ?

Zeynab : Qu'est-ce que tu fais là ?

Karim : cette question est conne !

Zeynab : bon comme t'es là tu vas devoir servire à quelque chose. Tu prend la droite et moi la gauche.

Karim : t'es malade ? Je ne peux pas te laisser seule, on ne sais pas qui est là ou combien ils sont !

Zeynab : je ne te demande pas ton avis il faut gagner en temps.

Je ne lui laisse pas le temps de répondre que je suis déjà parti. Je sais que si je reste avec lui on va se disputer tout le long et on sera pas concentré. Celà fait plus de vingt minutes que je regarde chaque pièces de mon passage mais rien.
Je monte un étage de plus, plus j'avance plus j'entend des pleures, une personne qui sanglote, j'arrive au niveau d'une fenêtre, décide de jetter un coup d'œil, c'est le déluge dans ma tête, mon petit bébé et allongé à moitié inconscient sur les cuisses d'une jeune femme et ils sanglotent tout les deux. Dans la colère, la panique et le soulagement, j'entre dans la pièce après avoir vérifier qu'ils sont seul et pointe mon arme sur elle... On ne sais jamais !

Zeynab :  qui es-tu  et que fais tu avec mon fils ??

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Encore désolée pour le retard.

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Le Bonheur Est-il Au Bout Du Tunnel ?? Où les histoires vivent. Découvrez maintenant