Il déballe les escaliers, ne fait attention à personne et sort de la maison. Quelques minutes après, elle descend avec Imran dans les bras toujours endormi, elle l'est ignore, entre au salon récupère son sac , range ses affaires.
Derrière elle, ils ont tous des regards désolés surtout Rahman. Sa femme le pousse pour qu'il fasse quelque chose.
Rahman : zeynab ?
Zeynab : ....
Rahman : zeynab ?
Zeynab : ....
Rahman : zeze écoute moi s'il te plaît !
Zeynab : pour me dire quoi ? Hum ? Que tu as organiser un dîner au chandelle pour nous ? Ou une sortie en famille, hum ?
Rahman : je suis vraiment désolée, c'était pas mon intention de te blesser...
Zeynab : mais tu l'as fais. Qu'est ce qui t'a pris de faire ça ? Et si il l'avait vu ? Si il venait à me prendre mon enfant je ne te le pardonnerai jamais.
Rahman : il ne va pas le faire, fait moi confiance !
Zeynab : je ne sais pas si je dois placer ma confiance en toi encore une fois après ce que tu viens de me faire.
Rahman : je me ferai pardonner petite sœur, je suis désolée.
Il lui embrasse le front et lui fait un câlin.
Zeynab : je vais rentrer maintenant !
Rahman : dors ici c'est mieux !
Zeynab : non je dois aller au boulot très tôt demain et quitter d'ici pour retourner à la maison, j'aurais pas assez de temps. On a pas aussi toutes nos affaires.
Elle prend ses affaires, il l'aide en portant Imran, elle dit au revoir. Bien installés, elle prend la direction de chez elle.
Après 30 minutes de route, elle s'arrête à un feu de signalisation attendant le vert pour continuer.
Au orange, une voiture sortie de nulle part, fonce à toute vitesse sur la route avant de heurter à plein fouet le côté conducteur. Brisant ainsi la vitre. Elle eu réflexe de cacher son visage.
Ses pensées se dirige vers une seule personne....
Imran.
PDV KARIM
Je roule sur la route déserte sans destination précise. Je ne veux pas rentrer à l'hôtel et faire face à cette folle, déjà que je suis énerver. Je ne pouvais pas non plus rester là-bas, même si je suis en colère contre elle, quand je l'a regarde trop longtemps, mes sentiments sont sur le point de prendre le dessus, ces sentiments que malgré tout ce qui s'est passé, toute ces années, sont toujours là, endormie au plus profond de moi.
Je roule environ 30 minutes de plus puis m'arrête au niveau d'une falaise. Au moment de descendre, mon téléphone sonne encore pour la troisième fois, c'est Rahman, j'ai pas envie de lui parler et si je ne décroche pas il ne va pas s'arrêter.
Karim : qu'est ce tu veux ?
Rahman : Karim mon pote, j'ai besoin de toi de toute urgence à l'hôpital ******* fais vite s'il te plaît !
Sa voix elle est paniquer, cassé, je commence à m'inquiéter aussi.
Karim : qu'es ce qui se passe ?
Rahman : j'ai pas le temps pour te raconter, prend la route je te dirai une fois ici, c'est très urgent.
Karim : d'accord j'arrive.
Je démarre en trombe et fait demi tour, direction l'hôpital .
...Environ 25 minutes de route, j'entre dans l'hôpital presque en courant. Je le vois de loin dans la salle d'attente.
Karim : Rahman !!! C'est quoi le problème ? Qu'est ce qui se passe ?
Rahman : c'est très urgent. Un petit garçon de 3 ans a besoin de sang de toute urgence, ils n'ont pas son groupe sanguin et comme je sais que tu es du groupe O- comme lui, je t'ai contacter !
Karim : d'accord mais qui est ce garçon ? Tu as quoi à voir avec lui ?
Rahman : je te dirai après, le médecin arrive !
Médecin : le donneur est arrivé ?
Rahman : oui le voici !
Il me pousse vers le médecin et je le suis. On entre dans une chambre, un petit garçon est couché, je n'arrive pas à voir son visage. Une infirmière vient me préparer pour la transfusion sanguine direct. Quand elle finit, je m'allonge, elle me lie au garçon par ce tuyau et sort.
Je tourne ma tête vers son côté, son visage est caché par l'oreiller trop grand pour sa petite tête.
Après quatre heures, on vient retirer les aiguilles. J'ai la tête qui tourne légèrement, les oreilles qui bourdonnent, la vue floue. On me donne des glucides et fer. Je reste coucher encore 30 minutes et décide de me lever. Au même moment l'infirmière entre pour vérifier l'état du petit.
Infirmière : il est trop mignon votre fils monsieur !
Elle le dit avec un sourires aux lèvres alors que moi je ne comprenais rien du tout.
Karim : pardon ? Mon fils ?
Infirmière : euh....oui !
Karim : c'est pas mon fils.
Infirmière : oh... désolée... c'est juste que vous vous ressemblez tellement que je croyais que c'est votre fils.
Karim : me ressemblé ?
Je me lève tout confus et m'approche du lit. Et ce que je vois me laisse sans voix. On dirait une miniature de moi ou moi quand j'avais son âge.
D'où sort il ?
Qui sont ses parents ?
Pourquoi il me ressemble tant ?
D'où Rahman le connait ?Karim : où sont ses parents ?
Infirmière : il a eu cette accident avec sa mère, cette dernière était dans un tellement critique mais elle est stable maintenant .
Karim : dans quelle chambre est elle ?
Infirmière : chambre 112 , au du couloir qui est à droite.
Je prends ma veste et sort de la chambre troublé. Je marche vers se couloir, jusqu'à arriver devant cette chambre où je trouve les autres sur un banc.
Rahman : c'est fini ? Tout va bien ?
Karim : c'est qui ce gosse Rahman ? Pourquoi il me ressemble tant ? C'est quoi ton lien avec lui ? Je veux des réponses TOUT DE SUITE !!!
Rahman : calme toi nous sommes dans un hôpital !
Karim : JE M'EN FOU ! je veux des réponses maintenant.
Mira : je crois tu devrais lui dire, c'est plus la peine de le cacher maintenant.
Me cacher quoi ?
De quoi ils parlent ?
Ils savent quoi sur moi que je ne sais pas ?Rahman : il faut que tu saches tout d'abord j'aurais aimé te le dire plus tôt mais je ne pouvais pas. J'ai fais une promesse mais là je crois que c'est plus la peine.
Karim : s'il te plaît épargne moi de tes discours et dis moi ce que se passe.
Rahman : ....
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Le Bonheur Est-il Au Bout Du Tunnel ??
RomanceKarim aime zeynab et c'est réciproque, séparés par des mensonges et les traditions, se retrouveront-ils ?