Chapitre 8 : Complications

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DV Overhaul :

Dans la salle d'examen, mes yeux scrutent attentivement Alex. Sa peur est palpable, mais pour moi, il n'est qu'un sujet d'expérience, un simple cobaye sur lequel je vais exercer ma science.

Les instruments cliniques brillent sous la lumière blafarde, prêts à être utilisés. Chacun de mes mouvements est calculé, chaque incision est précise. Je ne suis pas là pour le réconforter, mais pour atteindre mes objectifs, peu importe les moyens.

Les machines affichent des données rassurantes, mais je sais que tout peut basculer d'un instant à l'autre. Je reste vigilant, prêt à faire face à l'échec.

Un sentiment de contrôle, de puissance, m'envahit alors que je manipule les variables de cette expérience. Je suis le maître de ce laboratoire, déterminé à repousser les limites, quels que soient les sacrifices.

Soudain, les moniteurs cardiaques s'activent brusquement, signalant une défaillance imminente du cœur d'Alex. Les chiffres clignotent en rouge, indiquant un rythme cardiaque faible et irrégulier. Un frisson de panique me parcourt alors que je m'élance vers lui, mes mains tremblantes tentant de stabiliser sa condition.

Chaque seconde semble une éternité, rythmée par le tic-tac de l'horloge et le son strident des alarmes. La tension monte alors que je lutte pour maintenir Alex en vie, mes gestes devenant de plus en plus précipités. Mais malgré tous mes efforts, son cœur continue de faiblir, menaçant de s'arrêter à tout moment.

Le boucan des machines est maintenant remplacé pas un bip strident : son cœur lâche.

Je saisis rapidement le défibrillateur, mon esprit en ébullition cherchant une solution pour sauver Alex. Mes mains tremblent légèrement alors que je place les électrodes sur sa poitrine, mon regard fixé sur les moniteurs qui clignotent frénétiquement.

Un souffle de désespoir m'envahit alors que je délivre le choc électrique, priant pour que cela ramène son cœur à la vie. Mais au lieu du bip réconfortant, un grésillement sinistre envahit la pièce, accompagné d'une odeur de brûlé. Mes yeux s'écarquillent d'horreur alors que je réalise que quelque chose a mal tourné.

Le défibrillateur a surchargé, laissant échapper une décharge d'électricité dévastatrice qui se propage à travers tout le laboratoire. Les lumières clignotent, les machines émettent des crépitements inquiétants, et le corps d'Alex est secoué par des convulsions incontrôlables.

Pendant un instant, je suis figé sur place, pétrifié par la catastrophe qui se déroule sous mes yeux. Puis, dans un élan de panique, je tente désespérément de débrancher le défibrillateur, mais il est trop tard. L'électricité semble avoir pris possession de la pièce, pulsant à travers les câbles et les circuits avec une force implacable.

Je me tourne vers Alex, dont le corps est maintenant enveloppé d'éclairs électriques, son visage tordu par la douleur. C'est alors que je réalise l'ampleur de mon erreur, et la haine me submerge alors que je me bats pour trouver une solution à cette catastrophe imminente.

Dans l'obscurité la plus totale, le temps semble suspendu. Puis, soudainement, un éclair illumine brièvement la pièce, suivi d'une odeur de brûlé. Quand la lumière revient, je découvre Alex étendu sur la table, les sangles fondues, ses cheveux désormais d'un bleu éclatant. Je me précipite vers lui, vérifiant frénétiquement son pouls, mais il n'y a rien. Alex est mort.

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Petit chapitre mais je suis un peu occupée en ce moment j'essaie de mettre la suite rapidement !
Aussi comme vous l'avez vu j'ai apporter des changements sur le sujet de l'histoire, je ne compte pas me mettre de limite ou de barrière pour correspondre à un thème je continuerais en fonction de mes envies !

Alors a votre avis que va-t-il se passer ensuite

A la prochaine

Mais Bakugo... tout ça c'est de ta faute.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant