KNIGHT.

00.

PROLOGUE.

𝑰𝑳 𝑩𝑹𝑰𝑳𝑳𝑨𝑰𝑻.

𝐃𝐞𝐯𝐚𝐧𝐭 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐥𝐮𝐧𝐞.

Aspect, dominait l'obscurité de cette nuit.

𝑰𝑳 𝑩𝑹𝑰𝑳𝑳𝑨𝑰𝑻.

𝐃𝐞𝐯𝐚𝐧𝐭 𝐦𝐨𝐧 â𝐦𝐞.

 rendre amoureux mon coeur qui serrait les veines rouges du sien.

Silence.

Silence parce que mon âme s'embrasait sous ses baisers. Silence parce qu'il n'y avait plus aucun bruit. Sous cette nature sauvage. Sous cette brûlure luxurieuse. Sous ces hurlements que les démons faisaient. Les anges noirs regardaient depuis la fenêtre.

Silence.

Silence parce qu'il dansait sur mon coeur noir. Laissant les âmes pleurer le sang des esprits purs. Silence parce qu'il marchait d'une façon douce. Car, ce n'était plus cette brillance qui avançait mais l'ange de la mort. Son visage doux aux traits d'un péché. Ses cheveux presque blond qui reflétaient la lumière de cette lune coléreuse. Ses orbes hypnotisaient mes sentiments. Car, c'est lui qui dominait mon âme.

Silence.

Et on s'était tu. Car la cadence me liait à une douleur de coeur. La cadence m'éprouvait depuis un temps. Il faisait chaud, sous cette chaleur mortelle. Ses mains douces encerclaient mon coeur pour le serrer. À laisser une tracé de sang chaud. Je l'avais vu. Un peu tard ou peut-être tôt mais je l'avais laissé. Subir m'était égal. Il pouvait. Je le laissais faire.

Lui. Et sa bouche pulpeuse. Et ses hanches marquaient les miennes. Son corps touchait le mien. Laissant la luxure consumer mon être.

Voilà ce qu'il faisait. Je faisais de même. Il s'était arrêté. Mais j'avais continué. À serrer. Plus fort. Plus brusque. J'avais continué. Pour lui. Et je ne sentais rien. Je ne craignais rien. La peur ne faisait plus parti de moi. Parce qu'il était roi.

De faire ce qu'il voulait de moi.

Ses yeux m'avaient regardé. Forts. Ouvertement. Et j'avais continué. À serrer. Parce que ce coeur lui appartenait. Je l'avais fait, fièrement. Noir était mon coeur. Noir était mon âme. Cercle éphémère, la lune n'avait plus le temps d'être rancunière alors que les âmes pures ne pouvaient plus faire leurs prières. Noir encrait les larmes du diable sur la peau de l'ange.

Doucement. Longtemps. Lentement. Longuement. Parce que. Voila.
mon péché.

Et son coeur frôlait le mien. Ses lèvres effleuraient les miennes. Son âme bousculait la mienne. Le temps qu'on fermait les paupières des cieux. Les portes des ténèbres brillaient. Mais pas autant que lui.

𝐉𝐚𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐥𝐮𝐢.

Parce qu'il était trop lumineux. Pour une noirceur comme moi.
ou bien, ce n'était qu'une utopie.

Mes orbes clairs et bipolaires n'apprenaient qu'à ses yeux azurs.

La chaleur brûlait. Chaudement mortelle. Âme envoutée. Coeur serré.

Je laisserais son coeur s'imposer dans mon âme.

Aucunes larmes. Aucuns sentiments.

Impossible. Parce que. Ce jour. Garçon torturé par la passion mais suicidaire dans l'âme. Alors ma bouche touchait la sienne. Et elle trouve le poison mortelle que l'enfer connu.

Chaud. Passion. Amour. Mortelle.

Mes mains serraient ses joues roses. Alors que les siennes trouvaient refuge sur mon corps.

Me laissant brûler sur le bucher des ténèbres.

Mais cette homme. Cet ange. Venu droit des enfers. Pour anéantir le Diable qui habitait la terre.

Et le Diable de la terre des vivants, était tellement impatient de mourir sous les mains de, Leander Appolo White.

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