La fin des cours pointa le bout de son nez, je soufflai de soulagement et ma nouvelle amie fit de même.
Nous nous aventurâmes dans les couloirs bondés d'élèves stressés et pressés de pouvoir rentrer chez eux.
Eleanor prit ma main et d'un pas nous étions entrées dans le tourbillon de jeunes adolescents éxités comme des puces..
Nous étions enfin sortis de cet enfer ambulant en reprenant notre souffle qui avant était envahit par la transpiration mélangée avec l'odeur de vieux du lycée.
Je poussai devant moi, la porte vitrée qui ornée le grand bâtiment, nous laissant à moi et Eleanor humer l'air frais du soir.
Nous avançâmes, nos pieds synchronisés vers le café du nom de "Bradford's Coffee" très réputé dans la ville. Le gérant était très riche, vu le nombre d'individus notamment des lycéens se trouvant dans son café.
Quelques minutes plus tard, la rousse et moi étions arrivées à destination.
Elle tira la porte vitrée où le nom du café y était inscrit, la cloche indiquant aux employés que nous étions présentes sonna.
Je suivis les pas de mon amie et elle s'installa sur le siège en cuir rouge que possédait l'enseigne. Je fis de même et nous passâmes notre commande.Les cafés arrivèrent, et Eleanor me raconta sa vie, tout en buvant sa boisson chaude.
J'avais appris qu'elle venait de la Californie et qu'elle allait bientôt quitter la maison de ses parents mais qu'elle n'avait aucune idée d'où aller.
Je lui ai donc avec plaisir proposé de venir s'installer chez moi. Elle accepta. Ensuite elle reprit le sujet qu'elle avait commencé deux minutes avant.Une heure passa et je m'étais vraiment attaché à Eleanor elle était vraiment géniale !
Mais il était temps pour nous de repartir chacune de notre côté.-À lundi ! Me cria - t-elle
Je lui répondis la même phrase et m'en allai m'enfoncer dans les rues sombres de Bradford.
*****
Je marchai déjà depuis de longues minutes, mes chaussures claquèrent sur le béton frais de la rue où je m'étais récemment aventurée.
Le froid parcouru tout mon être me laissant quelques frisons sur la peau dénudée de mon cou.Je levai les yeux de mes baskets et vis au loin ce qu'il me semblait être deux silhouettes.
Je déteste ça, il fait nuit et il n'y a rien de plus flippant que de croiser deux ombres qui semblaient être des hommes. Rien que la pensée qu'il m'arrive un malheur ne fesait qu'accentuer ma crainte qui était pour moi la pire de toute , que l'on abuse de moi.Soudain mon cerveau comprit, c'était Zayn au loin accompagné de Liam. Les deux amis avaient l'air de ne pas m'avoir remarqués. Enfin jusqu'au moment où mon put*** de pied heurta se qu'il semblait être un caillou.
Le bruit était presque inaudible mais il était quand même assez fort pour que le métisse me remarque.
Merde.
Cette situation est vraiment déplaisante qu'es ce que j'allais faire contre deux monstres baraqués qui en un seul coup risque de casser en deux mon corps de puce et qui plus est me déteste de tout leur être si même plus.
Je ne fis qu'un clignement de cils quand à une vitesse ahurissante presque terrifiante Zayn était en face de moi prêt à bondir prêt à me tuer prêt à je ne sais quoi mais prêt à quelque chose.
J'étais prise au piège, une gazelle encerclée par des fauves affamés."Quel cliché." Lança ma conscience.
Le silence, le doux silence, le froid silence prit place dans la ruelle sombre et sinistre. Mon angoisse ne fut que s'accroître au fil et à mesure que les secondes, les longues secondes passaient.

VOUS LISEZ
Emprise
De Todo"Il ne faut jamais se fier aux apparences, Charlie, tu as été trop naïve" H-S. "N'y vas pas Charlie" Z-M