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Noel c'est demain.

Je n'ai même pas acheter de cadeaux enfaîte, pour personne.

j'ai quelques vieilleries que je pourrais donner mais, je ne compte pas me joindre au festivité cet année.

je referme mon ordinateur et j'attrape mon portable, je parcours mes contact et appuie sur "Julian" .

On est proches depuis ces deux semaines, c'est génial puisque ça m'a permis de me changer les idées et d'oublier tout ce qui m'est tombé dessus ces jours ci.

Nina: Tu es déjà réveiller ?

il me répond assez rapidement .

Julian: oui, tu m'appel ?

j'appuie alors sur téléphoner.

-Nina !

-Julian ! Comment vas tu ?

-plutôt bien ! j'ai passé une belle nuit.

-Ah.. tant mieux.

-Tu veux qu'on se voient ?

-Le 24 décembre ?

-Oui pourquoi pas ?

-Tu ne devrais pas être avec ta famille ?

-euh... Ma famille et moi on ne s'entend pas très bien,j'ai cru comprendre que c'est la même chose pour toi ?

-Ouais... T'as raison, OK on se voient, dans 1 heure chez toi ?

-ça marche ! A tout à l'heure princesse.

-Euh ...

je l'entend rire, avant de raccrocher.

je reste à surfer sur internet une bonne dizaine de minutes, puis je cours me préparer dans ma salle de bain.

un coup de fond de teint, comme a mon habitude et un peu de mascara, je me parfume rapidement.

j'enfile un jeans,mes all stars et un t-shirt manche long blanc.

j'attrape mon manteau et mon sac et je descend dans la cuisine.

-Joyeux noël Nina !

-C'est pas encore noël. dis-je sèchement à Jenna.

-euh... Je le sais mais je veux dire, joyeux réveillon ma chérie.

cette fois-ci je ne répondis rien, je me contentais de la toiser avant de sortir une canette de coca du frigo.

je l'ouvre et je pars vers le salon.

j'y croise jérémy installer sur le canapé.

-Nina on peut parlé ? demande mon petit frère.

-j'ai ni l'envie, ni le temps.

je bus une gorgée de coca et je sentis Jenna s'approcher de moi.

-Mais ou tu vas ?

-je sors.

et je pars en claquant la porte je l'entendis hurler :" sois à l'heure pour le repas".

Comme si j'avais envie de manger avec eux, je les en veux tellement.

je marche vers l'arrêt de bus puisque j'ai même plus de fric pour me payer de l'essence.

j'attend le bus une vingtaine de minutes et je maudit le temps enneigé.

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J'arrive chez Julian dix minutes plus tard.

I can't lose youOù les histoires vivent. Découvrez maintenant