Chapitre XXIV, Rêve

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Klaus,

La chute de son corp qui survole le mien et atterri sur cette voiture m'a d'autant fait plus mal que la mienne.
Me voir presque mort un instant ne m'a rien procuré à partir du moment où je l'ai vu elle, inconsciente au prononciation de son prénom.
Mon corp c'est arrêter, mon coeur, mon esprit et mes yeux ne voyais plus rien, à part son corp a elle. Mort sur le bitume.

Je venais réellement de la perdre à cause d'une tel connerie de mes frères, ils nous ont foncer dessus sans même faire attention à nous juste derrière cette voiture, mes yeux ne la quitte plus. Réveille toi, c'est pas le moment de mourir, pas maintenant, pas aujourd'hui.

Une douleur incompréhensible m'envahît, une douleur qui n'est pas celle des blessures que viennent de me provoquer la chute. C'est une tout autre douleur, ce genre de douleur quand tu perd quelque chose de chère, une douleur que j'ai déjà ressentis trop de fois dans ma vie et que je commence à réellement connaître par coeur. Cette douleur qui m'a envahit de nombreuse années et m'a emmené auprès des démons de se monde auquel je fait partie maintenant, la mort me fait terrible mal quand elle proviens pas de mes mains.

Elle me fait d'autant plus mal quand je la vois elle, cette erreur vas m'avoir retirée ce qu'il m'était actuellement de plus chère. Celle qui soigner mes péchés et qui retirer tout type de mauvaise ondes en moi, celle qui voyais mes démons comme des anges déchu. Elle venais de s'envoler devant moi.
La mort venais de l'emporter sans que je mis attendes, je ne peux pas y croire, pas une troisième fois.

J'ai envie de tuer chaque être autour de moi, chaque humain, mais je me vois impassible, je ne peu pas bouger, le monde est flou. J'attend qu'une chose, c'est de la voir auprès de moi, bouger.

Alors cet fois, avec la force qui me reste en moi, je me lève difficilement avec de nombreuse douleur me parcourant le corp entier, je suis blesser, mais certainement moins qu'elle, alors je dois la fermer et avancer jusqu'à elle.
Je fait de mon possible et avance, un mètre après un mètre. Puis un troisième et un quatrième, je peu enfin la voir correctement.

Elle saigne, elle est brûlée. Le visage de mon père ne dit rien qui aille. Bon sang...

Je m'agenouille auprès d'elle, mon père se lève à son tour me laissant avec elle, ce n'est pas un au revoir...promis...

-« Anderson » - dis-je la voix tremblantes, je me vois faible, affaiblie par elle, je suis sur le point de craquer. Je pose une main sur une de ces joues puis la deuxième. Mon père lui a retirer son casque pour l'aider à respirer, mais cela ne fait rien.

-« Anderson s'il te plaît » - mes frères viennent me tenir l'épaule mais je l'es rejette immédiatement, mon sang deviens chaud, beaucoup trop chaud pour garder mon calme.
Je me tiens alors le visage.

« Klaus » - je m'énerve et les repousses à nouveaux, bien plus énervée qu'avant.

-« FERMER LA ! » - Je vérifie alors ça respiration, toujours rien, son poux, son coeur, rien. Bon sang RIEN, elle ne donne aucun signe de vie !

-« Anderson » - dis-je en plaçant ma tête désespérément sur sa poitrine pour écouter à nouveaux son coeur.
Soudain, un léger battement se fait entendre.

« On n'a besoin de toi Anderson » - dis alors à son tour mon père, un autre battement, je fait de gros yeux à ma famille et mon père continue ainsi,
« Klaus a besoin de toi » - un nouveau battement, puis ainsi un autre, bordel.
Je relève rapidement la tête et regarde son visage que je prend entre mes mains. Elle est revenue, elle nous a entendu.

-« Anderson ! » - Son visage bouge très légèrement et ses yeux aussi, petit à petit ses yeux fond de léger mouvement, elle se réveille.
Après une petite minutes ses yeux s'ouvre lentement.
Je me vois alors sourire comme un mongole et rigoler de nerf, soulager.

The Dark Shadows - Tome 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant