The Dark Shadows - Tome 2

Chapitre XXVII, premier pas

Anderson,

L'enfer, c'est ce que j'ai vécue après avoir décidé de m'endormir, m'a nuit a été insupportable, son résumer étais de m'endormir pour me réveiller d'angoisse la dixième minute, et ça toute les une heure voir trente minutes.

Boire ne fessais rien, m'étirer non plus, aller dehors pour me rafraîchir, faire pipi, marcher dans le couloir, écouter de la musique, des papouilles que j'ai du forcer à Klaus... rien ne fessais.
Pourtant après que le grincheux est remonter les bretelles des mecs de cette nuit en les menaçant après mon super passage pour aller dehors, j'ai bien crue m'endormir pour de bon, mais non, mon sommeil n'étais qu'une simple feinte, une réel blague pas drôle. Je me suis réveillée l'heure qui suivais. L'homme dormais si bien à mes côté que je l'obliger de rester éveillée avec moi, ce qui m'a coûter un coussin dans la gueule et des marmonages complètement incompréhensible de ça part, sûrement des insultes comme a son habitude. Mais il a réussi à tenir, un peu.
Mon téléphone n'a jamais été autant divertissant que pour cette nuit là.

Mais aujourd'hui est un grand jour, le réveil a été très difficile après cette mauvaise nuit mais c'est aujourd'hui que je vais devoir affronter mon père. Le revoir depuis l'accident et sûrement de lui prendre la vie et là donner en main propre au diable. Les The Dark Shadows.

Enfin, j'en suis pas là. Ikar viens d'arriver à l'agence pendant que nous mangeons tous ensemble, les garçons Aiden et Swen sont venus se faire pardonner de leur connerie à la con d'hier soir, avec toute ma bienveillance je leurs est finalement pardonnée après de longue minutes à les avoir ignorer, j'ai finalement céder quand le moment venus est qu'ils m'appellent par tout les surnoms les plus insupportables qu'il existe sur cette putain de  terre à la con.
« S'il te plaît excuse nous ; Mon chou, mon petit coeur, ma petite sœur, ma tulipe, ma framboise mirtille, ma petite abeille, ma fleur des îles... » et j'en passe, c'était immonde et impitoyable à la fois.

Dès le réveil un pur plaisir à entendre, surtout que je mourrai de honte, devant tout le monde. Voilà pourquoi j'ai finalement céder à accepter leur excuse, que je ne voulais pas pardonner d'aussi tôt, je pense que même toute personne autour de moi n'attendait que ça. Surtout un qui n'attendait simplement que de leurs envoyer son plat entre les deux yeux. J'ai nommer, le grincheux.

Après ça Ikar est venu vers moi et m'a pris à part pour discuter de la journée. Comment cela aller se dérouler.

La première et dernière chose que j'ai retenue de ça part est,
« Soit tu le termine, soit il te termine » - je crois que ça phrase m'a traumatisé. Elle tourne en boucle dans ma tête depuis notre discussion. Donc si je ne fait rien, c'est lui qui finira la partie, pourquoi ne font-ils rien ? Pourquoi je suis obliger dis laisser ma vie alors que je ne veux pas le faire, bon sang.

Sinon à l'heure actuelle, Ikar et Klaus se prennent la tête depuis maintenant 5 bonne minutes dehors, j'ai l'impression qu'ils veulent en venir au mains. Mais que la relation père fils leur en empêche. Comme d'habitude.
Je regarde le spectacle avec Aiden et Swen assis sur le comptoir de la cuisine.

-« Ils se dispute pourquoi cet fois-ci les Narcos ? » - dis-je désespérément au garçons. Celui de la même famille rigole légèrement et passe son bras derrière moi me montrant les deux hommes se pousser dehors.

« L'un d'eux dis « Ooh Anderson va y aller pour laisser ça vie point barre » et Klaus lui répond sûrement « Non on le finiras nous si elle ne le fait pas » voilà le résumé de leur dispute ma belle » - imite Aiden avec un accent du sud. Je rigole légèrement, c'est plutôt une bonne dispute après tout c'est encore de ma faute si les deux hommes se prennent la tête, comme habituellement, l'un veut ma survie et l'autre veut que je vienne à la tête de son gang ennemi. Quel enfer.