The Dark Shadows - Tome 2

Chapitre XXVI, enfant

Klaus,

La journée a été bien plus longue que prévue, on m'a ordonner de m'occuper de l'affaire de la journée « chasse » et elle met bien plus ridicule que je ne le pensais.
Parler à chaque hommes du gang the silence dead est d'un ennuyeux, leur annoncer la mission et leur objectif. Ma parole, si seulement un ne fait pas ce qu'on ne lui demande et essaye d'aider son putain de patron, je n'hésiterai pas à appuyer sur la détente de mon flingue, ça je peu le jurer. Qu'ils essayent seulement.

C'est enfin la fin de journée, il est temps pour moi de rentrer au bercail. Munis de ma superbe moto que je gare au près de là mustang d'Anderson, d'ailleurs celle-ci qui n'a pas bouger depuis qu'on ne lui a offerte, seulement quelque fois. Bien dommage.

Normalement personnes n'est à l'agence a par seulement quelque personnes dont les filles et Swen, peut être bien que mon petite frère est rentrer aussi.
La sonnerie de l'ascenseur retentit, je sort de celui-ci et il fait bien sombre, tout le monde est déjà coucher ? Après tout il est tard, mais la seconde qui suis une lumière s'allume au loin laissant apparaître deux silhouettes paniquer qui court en ma direction.
Celle de l'autre trou du cul de Swen et d'Aiden.

« KLAUS ! » - m'interpelle mon petit frère, les deux hommes viennent se foutre derrière moi me montrant le couloir dans le quel ils viennent d'arriver, mon regard se positionne sur eux, d'un air méfiant et interrogateur. Qu'est-ce qu'ils mijotent ? Les deux hommes se cachent côte à côte en regardant l'opposé d'où nous sommes.

-« Qu'est ce que vous branlez laisser moi  ! » - dis-je en avançant, un lourd bruit se fait entendre dans le couloir dans le quel les deux hommes me pointer du doigt. Qu'est-ce qu'il se passe dans cette baraque ? Je l'es regarde à nouveau et les deux hommes continuent de me pointer le couloir, la lumière se rallume et laisse apparaître une silhouette bien plus petite et fine avec un air plutôt féroce.
Anderson arrive déterminer vers nous avec quelque chose en main.

« VENEZ LA ! » - dit-elle en colère, batte à la main. Elle lève son bras et la fait tourner pour leur montrer qu'elle est prête à en arriver à la pour... je ne sais qu'elle raison. Mais la chasse n'a même pas commencer ? Elle s'entraîne ? Je me retourne vers eux pour savoir la raison mais les deux hommes se sont volatilisés sans même faire de bruit. Qu'est ce qu'ils ont fait ?

-« Je peu savoir qu'est tu fou avec une batte à la main Anderson » - la belle jeune femme me regarde avec des armes à la place des yeux. Elle s'avance vers moi et me menace de ça batte la pointant vers mon visage,

« OU ! » - dit-elle en colère. Je lève les épaules vers le ciel pour lui annoncer ma réponse plus que négative, ce qui ne lui plaît pas. Elle contourne le comptoir cherchant du regard un de le corps qu'elle souhaiterai sûrement voir mort à l'heure actuelle.
« Je le jure si t'es complice enfoirer je te ferais bouffer cette foutue batte aussi » - dit-elle me menaçant maintenant de son petit doigt. Qu'elle est mignonne quand elle menace.

-« Je peu savoir ce qu'il se passe ici ? » - à ma réponse un léger rire se fait entendre prévenant de cette jolie bouche. Elle continue son chemin tout en calculent aucune de mes questions. Je tape des mains et me retourne à nouveau pour prendre une bière dans le frigo, un nouveau bruit se fait entendre dans les escaliers maintenant, sa soeur.
Elle y descend et viens s'installer au comptoir prenant une bière elle aussi.

« Ils se chamaille depuis ce matin » - finit - elle par m'avouer, en quoi ça l'a mise en colère ? Tout les trois se chamaille 24 heures sur 24. Pourquoi soudainement voudrais t'elle de leur mort. Étrange.

« Elle a demander leurs aide et il me semble qu'ils ont fait de la merde » - continue t'elle,
« Je crois que c'était pour ces bandages et ils sont resté coller sur elle » -
« C'est pour ça qu'elle est énervée je crois » - je rigole légèrement me moquant de la situation, pourquoi ne m'a t'elle pas attendue ? De base elle me râle dessus pour que je ne puisse pas l'aider et les minutes qui suis, je l'entend gueuler comme une chèvre dans la salle de bain, possiblement de douleur, mais c'est pas pour autant qu'elle m'appelle à l'aide.
Quelle idiote de femme, sa sœur se lève à nouveau me regardent.