The Dark Shadows - Tome 2

Chapitre XXVIII, C'est maintenant ou jamais

Les hommes de Rodrigo viennent de finir de prendre place, c'est bientôt a mon tour d'entrer par une des portes arrière de la villa, les hommes d'Ikar, don les garçons reste a surveiller les alentour en cas de sortis d'urgence et d'autre regarde les caméras de sécurité.

La villa est recouverte de caméra sur chaque recoin des pièces, de quoi tout voir. Enfin de quoi surveiller mon père et ses hommes.

Munis d'une arme placer dans mon dos, Swen et Aiden viennent de me ramener la bat avec laquelle j'ai faillit les tuer hier soir. Quel bande d'idiot, après avoir insister pour ne pas la prendre je me retrouve avec en face de la porte très stresser. Aiden termine de me placer une oreillette dans mon oreille et finis par la connecté a la sienne, celui-ci me pince légèrement l'oreille pour me taquiner et me fait un grand sourire auquel je lui rend.

Une montre au poignet avec un minuteur qui tourne, plus qu'une minute avant mon entrer, j'ai envie de courir en arrière le plus vite possible et de prendre la fuite, mais la débiliter en personne ma fait mettre des bottes a talon. Swen passe devant Klaus et s'approche de moi pour venir me tenir les épaules,

« Rappelle toi de nos entrainement, même blesser tu y sera capable en cas de rapprochement » - j'acquis légèrement de la tête puis il continue,

« Ce n'est pas le gabarit de ton père qui devrais t'en empêcher crois moi » - sans plus attendre il m'embrasse le haut du crâne et s'en vas sens rien dire de plus. Je me retourne doucement vers Klaus qu'il le dévisage de haut en bas, même si il accepte ça présence ses gestes reste restreint pour lui. Sa me fait légèrement rire et le minuteur sonne 30 secondes. A son tour Klaus s'approche de moi.

« Tu nésite pas a appuyer sur la détente si tu ne le sens pas chérie » - mon cœur rebondit a son mot puis il viens m'embrasser doucement, la porte devant nous s'ouvre, son père en sort et me tend son bras vers celle-ci pour y entrer en silence.

J'attend quelque seconde avant de me décider a y entrer du a mon stress, en attendant l'oreillette émet un léger bruit fin, la voix du dernier Narcos en sort,

« Tu m'entend ? »- je lui répond d'un simple oui très discret pour rester silencieuse, une fois mon souffle pris, je regarde une dernière fois derrière moi, don Klaus et Swen non loin de moi, puis décide de passer le pas de la porte. Celle-ci se referme instantanément derrière moi, un bruit de clé se fait entendre, je suis enfermer, c'est maintenant ou jamais. Un silence monstre règne dans toute la villa, pas un bruit, quand soudain un se fait entendre en face de moi, un homme essaie de crier, mais je n'y vois rien et commence a avancer fessant claquer mes talons sur le carrelage.

Bat a la main tendue le long de ma jambe droite j'avance direction du bruit, enfin je vois les premier hommes de garde qui ne me regarde pas, ni ne bouge d'un poile, d'autre se font voir plus loin puis j'arrive dans un grand couloir ou se trouve un homme a genoux tenus par deux autres hommes, il s'agite fortement. Je m'arrête a seulement quelque mètre de lui, la maison a l'air très grande. Mon regard se pose sur les deux hommes qui attendent surement mes ordres. J'attend a nouveau quelque seconde, pas prête encore. Puis je me lance en soufflent silencieusement et fait un signe positif de la tête. Les deux hommes retire le scotch sur la bouche de mon père qui se met a gueuler surement de douleur puis sa cagoule est retirer, il se lève rapidement quand aux deux hommes ils se placent devant une entrer le regard droit devant eux. Rodrigo se frotte les yeux surement du a la lumière puis regarde autour de lui avec rapidité, quand son regard tombe sur moi de surprise. Pendant un petit moment aucun de nous deux ne dit quelque chose avant qu'il ne rompe le silence,

« Ce n'est pas vrai Anderson ? » - il regarde autour de lui et son regard se pose sur ses hommes qu'il reconnais très facilement, celui si s'approche deux mais sans attendre leur pointeur se dirige sur lui. Celui-ci recule de surprise et je lève ainsi la main pour leur dire de ne rien faire, alors ils baissent leur arme.