Dimension •𝐉𝐚𝐲𝐰𝐨𝐧•

Chapitre #12

Arrivé à la maison je me fait agressé par la joie de mon petit chien Maeumi, il semble si heureux lui. Pourquoi ne puis-je pas être comme lui, en sois être un chien ça doit être le rêve, tu dors tu mange, tu te promène. Si tu a la chance de tombé sur de bons maîtres tu vie et tu meurt heureux, j'envie mon petit chien, oui. Il pousse des petit aboiements à chaque fois que je bouge, comme si j'était prêt à repartir. Je m'abaisse à sa taille et viens le prendre dans mes bras, il m'a manqué mon petit toutou adoré. 

-Tu vois qu'es ce que je te disait? Dit ma mère en voyant la scène

-Maeumi doucement, tu va m'emmener à nouveau à l'hôpital comme ça ! 

Malgré mon avertissement il ne lâche pas l'affaire et continu son attaque de léchouilles, c'est un pro dans ce domaine. Mon petit chien me fait tellement rire, il ne veux pas me laissé tranquille, un vrai pot de colle. Je me relève après qu'il se sois un peu calmé pour m'installé sur le canapé du salon, je souffle un coup. 

-Es-ce-que tu veux en parlé tout ça Jungwon? Demanda ma mère

Il faudrait que je lui en parle, mais je ne sais pas si j'en aurais la force. Il c'est passé tellement de chose en si peu de temps, je suis perdu et je n'arrive pas à retrouvé mon chemin. J'aimerais que quelqu'un ou quelque chose m'aide, mais je n'arrive pas à parlé pour le dire, ça reste bloqué dans ma gorge comme si j'était sur le point de m'étouffé. 

-J-je, je ne sais pas..

-Je comprend mais ne reste pas trop dans l'ombre, si tu as besoin de quoi que ce soit dit le moi. 

-Je- oui merci..

Je ne sais pas comment lui dire que la seul chose dont j'ai besoin c'est d'allez au monde des bulles, ce monde qui ne m'est encore inconnue, dans le sens où je n'est absolument aucune idée de si il est réel ou pas. Si je lui demande de sortir je pense pas qu'elle va accepté. Je ne suis même pas sûr qu'elle est vraiment confiance en moi, surtout après avoir appris que je me faisait du mal.. 

-J'aimerais allez faire un tour..

-Jungwon tu sais bien que tu ne peux pas, tu dois te reposer c'est important. 

-Mais maman..

-Je suis désolé, je ne peux pas accepté. Dit sèchement ma mère

Je savais qu'elle n'allais pas accepté, en même temps je l'ai cherché. J'ai fait des choses immondes, je suis immonde. J'ai surement mérité tout se qu'il m'arrive, il serait préférable que je ne dise plus rien, je n'aurais pas dû pensé à la mort, je n'aurais jamais dû y penser. Je me relève, du canapé, j'avais prévu de regardé la télé mais finalement je n'ai plus envie. Je me dirige vers ma chambre et y rentre en fermant la porte derrière moi, je peux enfin être tranquille..
Je regarde ma chambre et remarque que mon drap est bondé de rouge, pourquoi, comment ce fait-il? Je ne me souviens de rien, ce n'était pas comme ça avant. Ça ressemble à du sang mais il semble avoir sécher, ça doit être le mien, ma mère ne m'a pas changé les draps? J'entreprend alors de le faire moi, je le détache de mon lit et part le mettre en machine à laver. Je ne peux pas dormir dans mon propre sang, il faut être un vrai psychopathe pour faire ça. 

Après avoir mis la machine en route je sors de la buanderie et repart dans ma chambre, toujours autant déprimé, cette vision m'a démoralisé. Je ferme la porte derrière moi et m'effondre dans mon lit, je ne vais pas mentir, je suis au plus bas. Je me sens si mal que j'ai l'impression que le monde me déteste, j'ai l'impression que je ne doit pas vivre comme si c'était quelque chose d'illégale pour ma personne. 

Mon cœur me fait mal, comme si une corde le serrait petit à petit de plus en plus fort au file des événements. Pourquoi n'ai-je pas le choix de vivre ou non? La vie est précieuse mais la mienne non, j'aimerais tellement être "normal" comme tout le monde, comme mes camarades de classe. Les larmes sur mes joues coule comme ma vie, elle se noie et personne ne l'aide à remonté à la surface. Elle appelle à l'aide mais personne ne l'entend, le sons de ses cries sont étouffé par toute ces pensé noir qui la subjugue, elle n'en vaux pas la peine. 

J'entend mon téléphone sonné mais ne répond pas, trop occupé à me morfondre dans mes atroce pensés. Ça doit être Sunoo, je le rappellerais plus tard, quand je serais mieux. Là j'ai besoin juste d'un peu de temps, ce n'est pas le moment, j'ai mal et personne ne peux m'aidé. J'appelle à l'aide, toujours en l'espoir d'être entendu.