𝐀𝐟𝐭𝐞𝐫 𝐡𝐨𝐮𝐫𝐬 | ℛ𝒾𝓃 𝓍 ℛℯ𝒶𝒹ℯ𝓇

𝒪𝓃ℯ: « 𝐈 𝐩𝐫𝐨𝐦𝐢𝐬𝐞 𝐌𝐚𝐝𝐝𝐲 »

Y/n Y/s

Les écouteurs dans mes oreilles, je me trouvais dans ma voiture personnelle, attendant que mon chauffeur m'amène au Stade ou se déroulera le match des U-20 contre les blue lock.

Mais je n'ai plus eu de nouvelle de Rin durant tout son séjour au blue lock.
Alors que moi, je passais un trimestre à l'étranger en stage de mode, lui, ne m'envoyait aucun pas de message.

Je lui envoyais des messages même si j'étais dans un autre continent.

Je le déteste.

En soupirant fortement, je déverrouillais mon téléphone avant d'envoyer un message à mon ami proche.

Y/n Y/s |
Otoya, il commence à quel heure le match ?
Vu maintenant.

| Otoya
T'inquiète chérie, on viens juste d'arriver
et ton fameux mec est plus que rassuré
Vu maintenant

Je soufflais, mettant mes écouteurs dans mes oreilles, mon esprit ne pensais qu'à Rin.

Je le déteste.
Je le déteste.
Je le déteste.

Même pas foutu d'envoyé un message à sa copine.

Je sais même pas si je suis encore en couple avec lui.

Arrivé au stade, je remerciais mon chauffeur, alors que j'avais demandé des places en premier rang. En étant VIP, je pouvais doubler les gens, arrivant rapidement dans le stade. Je soupirais fortement, et puis, j'entendis des pas derrière moi.

— Y/n ? Je me retournais pour voir Sae, avec son équipe de foot.

— Oh, Sae ! Tu connais cette jolie fille ? Je peux avoir son numéro ? Demanda un autre, alors que je levais les yeux.

— Elle est mannequin junior, non ?

Mais j'ignorais tout le monde, dont même Sae, remettant mes écouteurs. Je ne voulais parler avec personne, et encore moins à Sae.

M'asseyant sur ma place, je regardais le terrain de foot qui était gigantesque.

À vrai dire, je ne suis jamais aller voir un match de foot donc j'étais surprise par sa dimension.
Un peu plus tard, une jeune femme avec sa mère, s'asseyait près de moi, les regardant d'un œil.

— Bonjour ! Commença le jeune femme avec les cheveux rouge, un sourire aux lèvres.

— Bonjour ? Répondis-je, un peu surprise par sa politesse.

À Paris, ce n'étais pas comme ça...

— Vous soutenez le blue lock, n'est ce pas ? Demandait-elle, un visage enjoué. Mon petite frère en fait parti !

— Je vois... murmurai-je un peu timide de sa sociabilité au moment où le stade commençait à se remplir.

— Et vous ? Avez-vous un membre de votre famille qui en fait partit ? Me souriait-elle alors que j'essayais de me mettre a l'aise avec elle.

— I-il y a quelqu'un que je connais, c'est tout... avouais-je, avec timidement. Je ne voulais pas révéler que mon petit-ami en faisait parti.