Étudiante en communication et journalisme Lindsay Grant se retrouve en binôme pour rédiger un article afin de valider son premier semestre à l'University of Tennessee, absolument pas emballé par l'idée surtout quand elle découvre que son binôme n'es...
Quand j'émerge enfin de mon sommeil Taylor est sur son téléphone entrain de taper sans doute un message avec un léger énervement sur les touches du clavier tactile, ses sourcils sont froncé amplifiant cette sensation.
— Coucou toi, les sourcils froncé du matin ? Je dépose un baisé sur sa joue. — C'est juste que Braden fait sont Braden, il veut pas aller à l'hôpital parce qu'il flippe et il est pas content parce que j'ai prévenu son grand-père pour qu'il l'amène de force, parce que pour lui il a rien. — Il est pas sérieux sa main est peut-être cassé et il prend ça à la légère. — Elle est sans doute cassé, il a envoyé une photo ce matin outre le fait qu'elle est violette elle est légèrement déformé. Conclu Taylor avant de me montrer la conversation de groupe de l'équipe en me tendant son portable.
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Moi qui trouvais Taylor borné au final Braden est peut-être pire, je comprend qu'il ai peur personne n'aime aller à l'hôpital mais là c'est possiblement grave Taylor à bien fait de prévenir son grand-père, mais comment il a son contact ? C'est étrange je pense pas qu'il ai le numéro de chaque personne à contacter en cas d'urgence de chaque membre de l'équipe dans son téléphone, après il est plutôt proche de Braden donc c'est peut-être l'exception. Au moment où je vais pour rendre le téléphone à Taylor une notification s'affiche en haut de l'écran et je ne peux m'empêcher de la lire.
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Harold Hunt, j'en déduit que c'est le grand-père de Braden. Je vois Taylor soupirer doucement en lisant le message. — Il est pas croyable celui là. — Il est aussi têtu que ça ? — Quand il a à la trouille d'un truc c'est insupportable, il a toujours été comme ça. Quand on était en maternelle il est resté 3 jours avec le poignet casser parce qu'il est tombé de la cage à poule et de peur de se faire engueuler, de déranger et ou d'aller à l'hôpital il n'a rien dis jusqu'à ce que sa mère le remarque parce que son poignet avait quadruplé de volume. — T'as l'air bien renseigné sur ton petit protégé dit donc. L'interrogé-je en affichant un petit sourire en coin. — Ses parent habitaient le même quartier que moi, on était dans la même école et on faisait du hockey ensemble jusqu'à ce qu'ils déménagent dans l'Ohio quand on est rentré en primaire. Son grand-père a récupéré leur maison et actuellement il vit avec lui et fait les allé-retour pour le campus depuis 2 ans parce que sa bourse ne peut pas contenir un logement. Me répond Taylor en entortillant une mèche de mes cheveux entre ses doigts. — C'est pour ça que t'es souvent avec lui. — Oui même si on ne sait pas vu pendant plus de 10 ans c'était mon ami d'enfance. Il affiche un sourire fière mais plein de nostalgie. — Mais là il m'énerve et surtout il m'inquiète, on est toujours obligé de râler quand ça le concerne directement parce qu'il a peur de déranger ou de décevoir.
