𝓥𝓲𝓬, 𝓶𝓸𝓷 𝓵𝔂𝓬𝓸𝓻𝓲𝓼 𝓻𝓪𝓭𝓲𝓪𝓽𝓪 (𝑵𝒂𝒈𝒊 𝑺𝒆𝒊𝒔𝒉𝒊𝒓𝒐 𝒙 𝑶𝒄)

7.𝓙𝓾𝓵𝓲𝓮𝓷.✰

JULIEN
7

Victoria
🎀🎀

Après plusieurs porte ouverte où je tombe sur des scènes que j'aurais préféré ne jamais voir, je trouve enfin une chambre de libre dans cette immense maison.

Je suis déglingué. J'ai trop bu, j'ai trop fumé. Il est dans les alentours de quatre heures du matin, j'en sais rien en faîte puisque j'ai plus de batterie sur mon téléphone.

Je m'allonge avec nonchalance sur le lit où la couverture épaisse amortit ma chute. Le lit est plutôt grand, les oreillers son moelleux et les draps ont la douce odeur de vanille. Je commence à somnoler avant de me décider à me lever pour me mettre sous la couverture qui me réchauffe de la température froide de l'hiver.

Je ferme les yeux pour tenter de m'endormir, mais les effets de la weed sont encore présent dans mon corps. La musique du rez-de-chaussée commence doucement à me bercer, j'ai la tête qui tourne et des remontées à cause de l'alcool que j'ai picolé quelques heures avant.

Le sommeil finis par m'emporter et je m'endors avec un horrible mal de tête.

« Je marchais avec rapidité dans ce long couloir sombre que j'essayais de fuir désespérément, ma respiration était saccadée, mes jambes était engourdis dû au stress de le recroiser, lui.

Ses pas résonnèrent et je le sentis s'approcher de moi petit à petit, je me mis à accélérer de plus en plus puis je finis par courir. Je ne voyais pas d'issus, j'étais prisonnière avec lui, pour toujours. Je pleurais d'angoisse, j'avais envie de vomir tellement mon stress étais immense.

Je finis par ralentir, essoufflé après toute cette course, puis d'un coup, je le sentis. Je le sentis derrière moi, son souffle chaud s'écrasa sur mon cou. Il posa sa main sur ma bouche pour que j'évite de crier puis il se pencha vers mon oreille puis il me chuchota.

- Où compte tu allais comme ça, trésor ? Il commença à rire face à la situation, il entoura mon bassin à l'aide de sa deuxième main. Il commença à mordiller la peau de mon cou tout en déplacent sa main qui avant, entourer mon bassin et qui est désormais posé sur mon vêtement du bas, il a tout le contrôle sur moi.

Je commençais à pleurer de plus en plus, mes larmes dévaler mes joues face à la situation. Il ne disparaîtra jamais de ma vie, c'est mon destin, on est liés. Cet homme qui me terrorise depuis l'âge de mes quatorze ans continue d'être à mes côtés.

C'est la fin pour moi, Julien me traquera toute ma vie. »

Je me réveillai en sursaut, couverte de sueur. Des larmes étaient présentes sur mon visage et elle continuée de dévaler mes joues. J'essayais de reprendre mon souffle, mais j'en étais incapable. Sans que je ne le sente venir, un haut de cœur m'alerta que je devais me rendre d'urgence aux toilettes.

Je me levai brusquement et je courus direction les toilettes en posant ma main sur ma bouche. En arrivant dans la pièce, je levai la cuvette de toilette pour commencer à vomir mes tripes. Je pleurais tout en vomissement tout ce que j'avais bu la veille.

J'étais accroupie face aux toilettes quand je sentis quelqu'un soulever mes cheveux pour éviter qu'il arrive devant mon visage. Je toussa en espérant que ça s'arrête, je ne veux plus pleurais. Je restai quelques minutes dans la même position avant d'arracher un bout de papier toilette pour m'essuyer la bouche. Je m'asseyais sur le carrelage froid puis j'essuyai mes quelques larmes qui continuaient à couler.

Je n'osai pas me retourner par peur de savoir qui se tenait derrière moi. Je ne voulais pas savoir devant qui je venais de me ridiculiser, un ami ? Un inconnu ? Je m'en contrefous, je veux juste être seule. Tous comme moi il n'avait pas bougé, il était dos contre le mûr, il avait lâché mes cheveux et ses bras était croisé. Il semblait attendre quelque chose, quoi ? Je ne sais pas.

- Tu peux partir. J'étais la première à lui adresser la parole pour essayer d'enlever ce silence qui était gênant. Je le sentis faire un mouvement dans mon dos qui me laisse croire qu'il va partir, mais non.

- Un merci de ta part, c'est trop demander ?

Je me figeai en entendant cette voix, je l'ai déjà entendu quelque part. Il me fallut quelques secondes pour reconnaître à qui appartient cette voix, comment oublier cet événement qui était improbable mais pourtant réel.

Derrière moi se tenait le gars du placard. Il était là, à me fixer, alors que moi, je venais de dégueuler comme une pouilleuse. Il manquait plus que ça.

- Merci. Dis-je en espérant qu'il s'en aille. Puis d'un coup, je tilte, je me retourne pour le regarder puis je lui demande.

- T'as pas un pote qui s'appelle Reo ?

Il arque un sourcil suite à ma demande, il doit me prendre pour une folle. Donc ça serait lui le mec qui a dit à Reo « j'ai la flemme de sortir à vos soirées de ksos »

- Ouais, et ça te regarde en quoi ?

- Apaise ton cœur, c'est juste qu'il m'a parlé de toi à un moment. Je me levai pour quitter cette pièce étroite quand il me demanda en retour.

- C'est toi la meuf des toilettes ?

Je me figeai en entendant cette question, oh la honte.

- Nan, tu dois te tromp-

- T'es si défoncé que ça pour ne pas te rappeler de ça ? Il se détacha du mûr pour s'avancer devant moi. Il me regarda du haut de c'est un mètre quatre-vingt-dix, il est immense, à côté de moi, j'ai l'impression d'être toute petite.

- Écoute, je suis fatigué et défoncé et je n'ai pas la tête à parler. Dis-je en le poussant pour pouvoir sortir. En quittant les toilettes, je descends les escaliers pour aller boire un verre d'eau et me rincer la bouche du goût acide encore présent dans cette dernière.

En arrivant dans la pièce principale, je tirai une grimace, quelques corps de personne ivre morts gisants au sol me font barrière. Je les enjambe puis je rejoins la cuisine en essayant de faire le moins de bruit plausible.

Je regarde l'heure sur le micro-onde qui indique six heures moins le quart, je soufflai un coup en passant une main dans mes cheveux tout en finissant mon verre d'eau, je le posai sur le bord de l'évier puis je partis en direction de la chambre que j'étais en train d'occuper le temps d'une nuit.

En arrivant dans cette dernière, je me rallongeai sous la couverture épaisse. Puis je ferme les yeux pour essayer de me rendormir. Je mis quelques minutes avant de trouver le sommeil de bon.

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Se chapitre il était bien dure à écrire.

Et mais quand est-ce que j'écrirai un chapitre joyeux ? 😞

Bon aller je vous laisse mes bb, on se retrouve pour un prochain chapitre 💋💋

Kiss mes loves 🫶🏻