My Hope Of Freedom // ★ Livaï X Oc ★//

★ Chapitre 17 ★

(NDA = Je vais parler de torture donc si vous voulez passer vous pourrez, je marquerai le moment où ça commence et quand ça s'arrête )

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PDV Livaï :

     J'étais tranquillement en train de faire ces foutus papiers lorsqu'un bruit de verre qui se brise me surprend. Putain c'était quoi ça ? Ça venait de ma salle de bain... et merde Calista !

     Je me précipite vers la porte mais quand je l'ouvre avec fracas grâce à mon pied, je ne vis pas Calsita. Bordel mais elle est où ?! Elle ne s'est pas volatilisée quand même ! J'ai un mauvais pressentiment. J'analyse la pièce lorsque mon regard se pose avec stupeur sur un énorme trou dans le mur, derrière le miroir. Mais putain c'est quoi ces conneries ?! Ce trou est en fait un tunnel... mais depuis quand il y a ça ici ? Et où est Calista ?!

     Du coin de l'œil, je vois un bout de papier plié en quatre. Je le prends et l'ouvre. Il y a quelque chose d'écrit dessus. En parcourant les lignes, mes poings se serrent de plus en plus, une colère immense qui s'empare de moi. Je n'avais encore jamais ressentit une telle colère depuis la mort d'Isabelle et Furlan. Ce fils de pute... il l'a enlevée ! Je jure que si je le retrouve il va vivre un enfer, tellement qu'il me suppliera des milliers de fois que je l'achève.

     Sans plus attendre, je me précipite vers le bureau d'Erwin, où Hansi se trouve d'ailleurs, et je leur explique la situation. Jamais encore je n'avais vu Hansi aussi énervée que maintenant. Elle ferait limite peur. Erwin, lui, garde toujours son air impassible mais je vois bien qu'il est tout aussi énervé que nous. Ne t'inquiète pas Calsita, je vais venir te sauver, je te le promet.

Fin du PDV.

PDV Calista : ⚠️ ⚠️ ⚠️

     Mes yeux s'ouvrent doucement. J'ai mal à la tête... mon nez est envahit par cette odeur que je voulais tellement oublier lorsque j'étais enfant. Je revois mon père qui me kidnappe et ses yeux malsains et pervers me scruter de la tête au pied. J'essaye de faire le moindre mouvement mais mes poignets sont attachés à des chaînes et mes chevilles aussi. Je suis totalement à sa merci.

     Je le vois soudainement entrer, une bouteille à la main. Il est encore plus terrifiant qu'avant. Certainement parce qu'il n'a pas aimé le fait de se retrouver en prison.

     — Comme on se retrouve, ma chère enfant.

     Sa voix grave me donne des frissons... au secours, je veux partir. J'ai développé une phobie de ce gars, je n'ai envie que d'une chose c'est de retourner auprès de mes amis...
Un bruit de claquement me fait soudainement sursauter. Il a le fouet dans sa main et fouette les murs qui m'entoure, essayant de me faire peur. Et ça marche du feu de dieu.

     — Cela fait si longtemps que j'attendais ce moment. Tu n'es qu'à moi et rien qu'à moi. Tu vas regretter d'avoir tué ta mère.

     Il ne faut pas que je lui réponde, cela ne sert à rien j'ai déjà essayer avant. Tout ce qu'il veut, c'est de m'entendre hurler de douleur, il veut que je regrette d'être venue au monde. Il tourne autour de moi comme si j'étais sa proie. Du coin de l'œil, je vois qu'il n'arrête pas de toucher le fouet.

     Une douleur fulgurante me traverse alors le dos entier. Ça y'est, il a commencé. Si ça continue, il va me rouvrir la plaie que je me suis faite lors de l'expédition. Je hurle comme pas possible, la douleur est tellement insoutenable que je m'évanouis. Quand j'ouvre une nouvelle fois les yeux, il est avec autre chose que le fouet et se rapproche de moi avec une petite lame. Je me débat mais rien n'y fait. Arrivé à ma hauteur, il plante la lame dans mon bras et commence à faire des petites entailles en passant doucement, le but étant de me faire encore plus souffrir. Et avec un mouchoir, il le passe dans la plaie qu'il vient de faire mais il est imbibé d'acide. Je hurle tellement fort que je m'en déchire presque la voix sa me brûle mais d'une force... je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme là...

     Je t'en supplie Livaï, vient à mon secours... ⚠️⚠️⚠️

PDV Livaï :

     Cela fait depuis 3 jours qu'elle a été enlevée. 3 putains de jours sans elle. Je n'ai jamais était aussi vide de toute ma vie. Je suis encore plus facilement irritable que d'habitude. Je ne fais même plus les papiers d'Erwin. En fait, je ne fait plus rien à part défoncer le moindre objet qui se trouve sur mon passage. Je m'en veux tellement de ne pas avoir était là. Putain j'étais juste à côté bordel ! Ça me fout encore plus la rage !

     Alors que j'étais encore en train de défoncer un truc qui passait à ma merci, quelqu'un toque à la porte. Hansi entre alors, un air soulagé collé au visage.

     — On la trouvée !

     — Quoi ?! Qu'est-ce que tu dis ?! Où est-elle ?! *Je me précipite vers elle et la prends par le col. Dis-moi où elle est !

     — Un de nos soldats a entendu du bruit venant d'une maison abandonnée. Il s'est approché d'une des fenêtres et il a vu une personne enchaînée par les poignets et les chevilles.

     Ni une ni deux, je pars prendre mes affaires et me dirige vers le bureau d'Erwin. Tout le monde est déjà là, les membres de son escouade et la mienne. Erwin a déjà établi un plan. Le but, c'est de s'infiltrer en douce chez ce fils de pute, sauver Calista et, pour ma part, essayer de ne pas réduire ce type en morceaux. On enverra ensuite ce fumier finir ses jours en prison jusqu'à ce qu'il attende sagement la peine de mort.

     Attends moi Calsita ! J'arrive et je te promets que tout ça ne sera plus qu'un mauvais souvenir.

Fin du PDV.