Réeincarnée dans un monde de démons

Mariage

Dans la semaine

Pdv Kirai

Je me promenais en ville, quand j'entendais des femmes parler.

Femme : Vous savez que ma meilleure amie n'est pas encore mariée ?? Ça signifie que son bien-aimé ne veut pas d'elle !!

Ça veut rien dire ça ma gueule... Le destin veut me faire douter ou quoi ?

- Pff.

Je finis mes courses et rentre.

- Tu devineras jamais ce que j'ai entendu, mdr, apparemment si une femme est en couple et qu'elle est toujours pas mariée ça veut dire que son gars en a rien à faire d'elle.

Obanai : Mais ils sont c*ns ceux qui ont dit ça ?

- Je confirme.

Obanai : Ouais. Viens je dois te montrer un truc.

- J'ai peur là.

Il m'emmène au bord d'un lac, entouré de cerisiers.

- Pourquoi tu m'as emmenée la ? Je suis pas fan des cerisier. Enfin, du rose en général. Désolée, je me plains trop. On peut se baigner ??

Obanai : Bien sûr...

( Il a la haine )

Je vais dans l'eau, mais il me coule.

- OH JTE DÉTESTE

Obanai : PAREIL

On sort et on se poursuit, puis on rentre. A la maison, on étend nos vêtements.

Le lendemain, il m'emmène a la plage, pour je ne sais quelle raison. Ça a continué ainsi toute la semaine.

Aujourd'hui je retrouve les filles, qui me regardent très bizarrement.

- Quoi ? J'ai des cernes ?

Shinobu : On sait tout...

- Hein ?

Mitsuri : J'ai de la peine pour Obanai...

- Comment ça ma sœur ?

Shinobu : Toute la semaine il t'a emmené dans des endroits dans le but de te faire sa demande.

- Demande de...?

Mitsuri : Tu es vraiment aveugle ma chérie. Il voulait te demander en mariage !

- QUOI ?!

Mitsuri : OUI HEHE !!

- J'ai jamais été aussi choquée de ma vie...

Shinobu : Arrête de pleurer...

- Ta bouche là, je suis heureuse laisse moi dans mon moment de joie.

Shinobu : Okkk....

On va se balader en ville, avant de rentrer.

J'enlève mes chaussures et manque de tomber.

- SA MÈRE-

Je me retrouve au sol.

- AIIIEEEE...

J'entends du bruit dans les escaliers, Obanai se gamelle aussi. C'est moi l'homme ici, ne l'oublie pas.

Obanai : Repose moi.

- Comme tu veux.

Pour une fois, je le dépose doucement. Avant je le lâchais juste par terre.

Autant dire que je le matraitais.

Il arrive vers moi et me prend dans ses bras, je lui rends son étreinte.