Un contrat de cœurs

Chapitre 1

Coucou à tout ceux qui lisent où qui passe juste par là déjà merci de vous intéressé à mon histoire, mais si vous pouvez laissez des avis s'il vous plaît ça m'aiderait beaucoup dans l'amélioration de ma plume merci ☺️
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LUCA ROSSI

La salle de réunion était pleine, mais l'atmosphère y était oppressante, chargée de tension et d'inefficacité. J'écoutais d'une oreille distraite les propositions maladroites et les rapports incohérents de mon équipe. Chaque minute qui passait ajoutait à la douleur lancinante qui tambourinait déjà à mes tempes. Il était de plus en plus difficile de contenir ma frustration.

"Ma che diamine, qui a embauché ces incapables?" pensai-je en moi-même. C'était presque insupportable de voir à quel point certains de mes employés manquaient de compétence.

Après la mort de mon père, j'avais été nommé PDG des entreprises Rossi. Cela n'avait pas été une tâche facile, mais j'avais travaillé d'arrache-pied pour que cette entreprise figure parmi les meilleures des États-Unis. Nous avions atteint des sommets, mais aujourd'hui, je ne comprenais pas comment ces personnes avaient pu entrer dans notre entreprise. Comment était-il possible que tant d'incompétence se retrouve sous notre toit?

Je n'en pouvais plus. D'un geste brusque, je mis un terme à la réunion. "Basta, basta!" dis-je en levant les mains pour signifier la fin de cette mascarade. "Tout le monde dehors, subito!"

Les membres de mon équipe se levèrent précipitamment, leurs regards fuyant le mien. Ils sortirent de la salle de réunion en silence, comme une bande de collégiens pris en faute. Je me laissai tomber sur ma chaise, passant une main lasse sur mon visage.

À ce moment, la porte s'ouvrit à nouveau. Alex, mon meilleur ami et bras droit, entra dans la salle. En voyant ma tête, il ne put s'empêcher de sourire.

"À en juger par ton expression, la réunion n'a pas dû être une partie de plaisir," dit-il en s'approchant de moi.

"J'étais à deux doigts de tuer quelqu'un," répondis-je avec un soupir. "Je veux savoir qui a embauché ces incapables."

Alex haussa un sourcil. "Luca, c'est toi-même qui les as embauchés," dit-il, mi-amusé, mi-sérieux.

Je le regardai, incrédule. "Impossible! Je n'aurais jamais engagé des gens aussi incompétents."

Alex éclata de rire. "Peut-être que tu étais dans un mauvais jour. Ou peut-être qu'ils ont simplement bien caché leur jeu lors des entretiens."

Je secouai la tête. "Non, ça ne peut pas continuer ainsi. Nous embaucherons d'autres personnes, mais cette fois-ci, des personnes qualifiées. Je veux des gens qui savent ce qu'ils font, des gens compétents et dévoués."

Alex sourit et hocha la tête. "Je m'en occuperai. Mais détends-toi un peu, Luca. Tu vas finir par te rendre malade à ce rythme."

Il avait raison, bien sûr. Le stress de diriger une entreprise de cette envergure pesait lourdement sur mes épaules. Mais je ne pouvais pas me permettre de montrer le moindre signe de faiblesse. Pas maintenant, alors que l'entreprise était au sommet et que tant de gens comptaient sur moi.

Alex et moi sommes sortis de la salle de réunion. À ma vue, les employés se mirent précipitamment à travailler, la tête baissée. Personne n'osait croiser mon regard, ni même se trouver sur mon chemin. Il est vrai que je peux être impitoyable et exigeant, mais c'est cela qui m'a mené au sommet. La peur que j'inspirais n'était pas sans fondement ; j'attendais l'excellence et n'acceptais rien de moins.

En entrant dans mon bureau, j'eus l'impression que la journée n'était pas près de s'améliorer. Matteo, mon frère jumeau, se tenait assis derrière mon bureau, installé dans mon fauteuil. Sa présence inattendue me fit instantanément serrer les mâchoires.