Tu n'auras pas le choix (DABI X OC Female)

7em Épisode

(1412 mots)

Je me changea rapidement, puis jeta un coup d'oeil vers la glace me reflétant.
Des nuances de rouges étaient apparu sur mon visage après l'événement gênant de tout à l'heure.
J'avais du mal à reprendre le pied.
Même en reprenant ma respiration, Ça ne changeait rien.

Je remetta mes cheveux correctement, puis me regarda une seconde fois devant le miroir.

Mon pyjama était plutôt soft, juste un t-shirt avec  manche longue m'arrivant au coude et un pantalon en moumoute.

Je sortie décidé de la salle de bain et entra dans ma chambre.
Il s'était installé sur ma chaise de bureau pendant mon absence apparemment.
Soit.
Il me toisa à mon arrivé mais je m'en foutais.
Je m'installa confortablement dans mon lit.

-Bon t'es pas là que pour être sur ma chaise. T'es aussi là pour m'indiquer ce que je dois espionner.

-Shoto Todoroki, commence-t-il. C'est lui que tu dois espionner. C'est un seconde alors vous devez avoir le même âge. Il est en Seconde A.

Todoroki...
Ça me dit vaguement quelque chose...

- C'est tout ? demandé-je.

-Lorsque le jour viendra, tu surveillera le troisième héros du pays. Tu sais qui c'est ?

-Bien évidemment, Hawks... Ça risque d'être compliqué étant donné qu'il ne fait pas partie du lycée de Yuei... Comment je suis censé procéder ?

-On verra au moment venu...

Il laissa passée un silence.
Je me releva du lit.

-J'allais oublié, ne m'appelle plus comme t'as fait ce matin.

-C'est-à-dire ?

-Je fais partie d'une organisation de vilain, je ne te dirais pas les noms des membres mais je ne tiens pas à ce qu'ils sachent notre contrat. Ils risquent de me mettre des bâtons dans les roues s'il l'apprennent.

-Vous êtes une organisation, alors pourquoi ils feraient ça ?

-Laisse.

-Bon, je ne pourrais jamais t'appeler ?

-Lorsque c'est nécessaire, et seulement si ça l'est.

-On peut que s'envoyer des messages ?

-C'est le plus sécurisé. Or, le mieux est qu'on se parle à messages codées. Y'a une personne qui me vole souvent mon téléphone, et j'ai pas envie qu'elle voie que je parle avec toi, qui plus est que tu es une fille.

-Ça marche.

-J'ai dit que t'étais mon plan cul.

-Hein ?! Tu lui a parlé de moi ?!

-Elle était là quand tu m'as téléphoné. Donc oui.

Après la surprise, j'éclata de rire ! Un rire franc qui était surtout provoqué par ma propre réaction vis à vis de savoir que quelqu'un pensais que j'étais le plan cul d'un vilain.
Il me regarda intrigué par mon fou rire et, malgré lui, ne l'empêche pas de pouffer à son tour.
Je repris difficilement mon calme.