Partenaire

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Vous ne le croirez pas, lorsque vous apprendrez que malgré cette haine qui me dévorait, j'ai eu à réaliser se si nouvelle fantasme avec elle.

J'ai été super déçue par la suite, beaucoup d'excitation, trop d'effort pour un pingre plaisir. Rien a comparé de l'autre, il faut être vraiment dérangée, traumatisée, par l'autre genre pour le détester.

Les choses se sont si vite déroulait, que je crus être l'œuvre de mon esprit de vengeance.
Juste après notre échange, Mariam, la patronne n'as pas cessé de m'harceler.
Elle qui se faisait très rare, à l'entreprise et même présent, n'aimait pas se faire voir, toujours cacher derrière l'écran de son ordinateur, se vit soudainement fréquent dans les locaux, et super accueillante avec le personnel.
Toujours bien sapée faisant la ronde de l'hôtel.
Changement qui ne manquait guère d'être remarqué par les employés, certains réussirent à en faire la liaison avec moi, c'est le cas de l'unique Oumi.

_ Qu'est ce t'as fait au bosse? Me demanda-t-elle, d'un air super curieuse.

_ J'ignore où tu veux en venir, soit beaucoup plus explicite, je répondis avec tranquilité.

_ Depuis votre entretien secrète, le bosse ne cesse de traîner dans les parages, bien belle, faisant semblant d'être absorbée par son travail, désirant le bien être de son personnel. Chose qui n'était pas de ces habitudes.

_ Ah ouais quand j'y repense, c'est complètement logique ce que tu stipule, je dis d'un air stupéfait. Reviens sur terre, ma chérie. Elle est pas de mon calibre, j'affirma en changeant subitement d'humour.

_ C'est vrai elle est bonne, pour rêver d'un petit serveur même pas musclé. Alors qu'il y a plein de gars aux tablettes de chocolat dans le salle gym dont elle fréquente.

_ Ok, t'as décidée d'utiliser ton cerveau, ma chérie .

_ De toute façon, elle sera vite déçue au cas contraire. Elle verra derrière ce beau mec, une bien bonne nana comme elle, elle affirma d'un ton goguenard.

Remarque qui me dérangea, moi qui pensais que je n'avais plus rien d'une femme.

Malgré tout ces va et vient sans finalité, elle décida de passer à l'acte.

_ Je te raccompagne, dit-elle lorsqu'elle me vis stationnai seule à l'arrêt d'à quelques mètres de l'entreprise, les écouteurs branchés, guettant patiemment un taxi.

_ Ne vous faites pas de peine, j'y arriverai à taxi, répondis je.

_ Allez ! J'insiste, elle dit en ouvrant la porte.

_ Vu que vous insistez, ça m'économiserai moins d'argent, dis-je en montant.

J'étais consciente de la prochaine étape, une avalanche de question commençant pour mon lieu de domicile.

_ Où compte-tu que je te dépose ?

_ Le grand pharmacie des parcelles assainies, unité 15, fera l'affaire.

_ Tu vis avec ta famille, ou seul.

_ Seul, comme un loup solitaire. J'ai longtemps quitté la demeure familiale.

_ Seule, pas de petite amour, ni de prétendant.

_ Aucunement. Je ne compte pas m'engager dans ce type relation.

_ Euh, pourquoi ? Y-a-t-il une raison pour ton abstenance.

Je compris que c'était le moment importun pour arrêter ce cirque.

_ Disons que je suis une femme, je lâcha d'un air super détendu.

_ Quoi une femme pas possible.

_ Voulez-vous le vérifier par vous même. Alors vous avez le champ libre.

ANITA~ Une Vie D'enfer Où les histoires vivent. Découvrez maintenant