ANITA~ Une Vie D'enfer

MYRIAM

- Tuez moi. Et qu'on en finisse une bonne fois pour toute.

Implorer Myriam vidée de ces larmes, sec comme une chienne affamée étant donné que ça faisait déjà deux semaines qu'elle n'a presque pas gouté ne se reste un bol un de rit, on lui donnaient peu de pain et quelque litre d'eau.
Elle avait aussi le visage défiguré par l'acide qu'Anita se faisait plaisir de lui verser une goûte par jour.

Je n'ai pas pu la retenir ayant compris sa haine, elle a vécu l'enfer en ces mains donc sa rancune était justifiée. De toute façon, ca m'a soulagée aussi.

Le seul contrarié ici, est mon ami Salif, le seul  qui n'a guère voulu lâché l'affaire malgré les nombreuses menaces de ces supérieurs de la police. 

- Rêve. La mort est un doux châtiment pour les espèces de ton genre. Je ne vais pas t'accordais se plaisir ma belle. Oh que non, jamais de la vie, je vais t'enlever une à une tous les parties de ton corps jusqu'à ce mort s'en suivent. Dorénavant, je vais commencé par les ongles.

Cracha Anita avec sa voix d'homme, pour ensuite lui pincé les ongles et enfin l'arraché avec une violence démesurée. 

Elle fit plus que se tordre de douleurs, même son âme en souffrait.

- Ainsi de suite jusqu'à ce que mon cœur s'apaise. N'espère même pas une once de clémence de ma part, elle ajouta insensible à la douleur de cette femme.

-Tu ne pense pas que t'exagères. A ce rythme, elle ne va pas tenir plus de deux jours.

Se lança monsieur le policier qui cette façon violente de soutirer les infos  dérangé  vraiment. C'est un type qui n'aime pas abusé de ces droits de policier.

- Je perçois son énergie vital elle ne va pas mourir pour si peux. Tu sais les personnes ignobles  ont ce dont, de vivre assez longtemps.

En effet, il ne nous a pas fallut assez longtemps pour pousser nos premiers pions de l'échec.
Anita avait déjà commencé, dans son coin, à mener son petit enquête.
Elle a réussi à s'initier dans sa vie et aussi à collecter quelques infos cruciaux.
Donc, tous les pions étaient présent pour passer au niveau supérieur. Un nouveau allié digne de confiance, une  stratégie efficace  et de la volonté.

Nous passâmes des jours à surveiller leurs faits et gestes jusqu'à ce fameux jours où ils devait quitter la ville pour un réunion.

L'objectif était de les suivre discrètement jusqu'au lieu et démasqué leurs niche, une tâche difficile et quasi impossible. C'est pourquoi nous avons préparés à l'avance nos  munitions.
Il était hors de question de les laisser s'en tirer.
Tout juste sorti de la ville, il commença à se douter. Il augmenta la vitesse pour essayer de nous semer, ce fut alors une course contre la mort.

Après quelques kilomètres, ils perdirent contrôle et furent éjecté de la piste. Et concernant, son homme nous n'avons pas eus la chance de le maltraiter comme souhaités, il était mort sur le coup, c'était d'ailleurs mieux avec du feu causant une explosion on pouvait espérer semer la police.

- Bon, disons que ça me fait mal de te voir souffrir. Je me sens aussi méchante et je ne veux pas que la haine que j'éprouve envers toi me transforme en un monstre. Alors, j'aimerais bien croire qu'il eut une infime raison pour justifier ce que t'as fait de ces vies. Concernant votre organisation nous avons déjà recueillis suffisamment d'info à moins que tu nous en rajoute histoire de mourir avec quelque chose de bien, elle exclama après un bout de  bon de temps où elle ne fut que de l'observer se tordre de douleur.

- Et si je vous racontais mon histoire, me promettiez vous de me tuer dans les plus douces manières.

- Ceci dépendra de ton récit. Peut-être t'était un ange déchu avant.