ANITA~ Une Vie D'enfer

chapitre

_ Installe-toi ma puce, aujourd'hui je vais te gâter comme un roi. Je t'accorderai la grâce de goûter aux bienfaits de chef Mariam, ce que je n'ai d'ailleurs jamais fait pour mon mari.

Elle m'accueilli au salon, qui occupait d'ailleurs la quasi totalité du rez de chaussée.
L'architecte qui fut à l'œuvre de cette magnifique maison, avait pensé à presque toutes les détails.
La porte d'entrée divisait le salon en deux parties de sept à huit mètres de long et le parois collé à elle fut entièrement équipée de vitrine, ce qui faisait une éclairage parfaite pendant le jour et donnait une très jolie vue à la pièce pendant la nuit.
De la porte à sa côté gauche, était la table à manger et juste après fut un grand aquarium collé au mur de derrière. Basant de ce même point en se dirigeant vers le devant, est le salon VIP, une magnifique table entouré de très jolies fauteuils et juste après elle, fut un grand écran collait au mur de devant, en dessous du quel il y avait un tiroir de sa taille où était posé quelques tasses, verres et assiettes uniquement pour l'accompagnement des invités.

L'escalier menant à la première étage, était collait au mur de l'extrémité gauche du salon, le propriétaire en est profité du dessous pour en faire un mini bar et en face de ce dernier était le billard.

Sur le même alignement et à peine quelques mètres de l'escalier était une petite porte qui donnait à la cuisine, elle y entra.

J'étais là, assis au salon occupant le fauteuil en face de l'écran, les pieds sur la table profitant des innombrables chaînes qui s'offraient à moi. Contrairement à moi la pauvre qui ne jouissait que de quelques chaînes à cause de mon abonnement partielle, elle avait une large possibilité avec son grand décodeur. J'en passai de toute ces programmes télévisés pour me connecter au wifi, ainsi je pourrai défiler libre sur youtube ou Netflix et je sélectionnerai le film qui me tente.

Myriam se déchaînait dans l'autre pièce pour me servir quelque chose de spécial, tandis que j'étais là à penser à une solution pour lui confisquer son téléphone, puisque le matériel était avec moi.

_ Ouh, ça sent bon ici. Tu prépares quoi au juste ? Lui demandai-je aussitôt avoir ouverte la porte de la cuisine.

_ Du spaghetti bolognaise. Tu aimes, dit-elle en sueur.

_ T'as touché le jackpot ma belle, les pattes c'est mon fort.

_ T'es venue me prêtais main forte, ou t'as une autre requête, elle me demanda

_ Je m'ennuyais au salon , je voulus matter nos vidéos de l'autre soir pour booster l'appétit. Et puis boom, il s'avérait que je n'ai pas enregistrée mes vidéos, l'alcool m'avait jouée un sale tour, je n'ai trouvé qu'une seule des ces milles faite. Si cela ne te dérange pas, j'aimerais t'emprunter ton phone pour que je puisse me rattraper.

La vie est quelque fois bizarre, tu peux être super prévisible au point de se douter de tout ou de tout calculer, mais quand vient ce moment de malheur, on a l'impression d'avoir été(e) un idiot, ou une idiote.

_ Haha, elle rit bêtement, puis se lança. L'alcool n'en finit jamais avec ces ravages. Tiens petite peste et dégages. Je ne veux pas qu'on me pose d'yeux quand je me défoule à la cuisine, au risque qu'on me vole ma recette.

Je souris en pensée après l'avoir récupérée, puis retourna à ma place.

J'entamai les instants qui suivirent, la collection de données, il m'a juste suffit de plonger le mini clé USB dans son iphone, pour qu'aussitôt branché, la transmission se lança.
Il me prit que quelques minutes pour enregistrer les numéros, les discussions WhatsApp, les photos, vidéos, documents et même les fichiers cachés.

Mon colocataire brouteur n'avait pas menti sur ce coup, je ne sais pas quelle astuce a-t-il utilisé pour que cette clé USB se lance automatiquement à la collection de données qu'en un branchement, pas besoin d'effort de copier et de coller.