Sur les chemins...

Chapitre 14 : Le long voyage...

Lucie nous explique à Aly et moi que ma petite sœur et elle se sont réveillées peut après notre départ pour la rivière, et que Lucie c'était occupait des blessures de ma petite sœur ainsi que des siennes. Elle avait une blessure a la tempe, là ou l'homme l'avait frapper le plus violemment, et elle avait eu mal a la tête pendant plusieurs longues minutes...quand a son bras, elle avait réussie a le mettre dans sa position de base, mais malheureusement, elle nous dit qu'il était surement casser, car a peine le bouger t'elle, quelle poussait un cri déchirant... Elles on mis beaucoup de temps a se lever, car leur jambes leur fessaient souffrir, sûrement a cause du froid et de la dureté du sol...

Quand elles ont réalisées que nous étions parties, ma petite sœur a commencer a pleurer, en croyant que nous l'avions abandonner, se qui me brisa le cœur . Nous mangeons maintenant les pommes que nous avons récolter Aly et moi, et nous continuons notre chemin... contrairement aux autres jours, je suis heureuse et sure de moi, car ma petite sœur m'informa avec joie qu'elle et Lucie avaient rencontraient une femme entre deux âge qui, quand elles lui avait demander ou elle se rendait, la femme, croyant sûrement qu'elles était des paysannes, leur dit qu'elle se rendait en ville pour aller acheter de la viande, se qui nous fit nous sentir mieux mes amies et moi car, nous savions que, en ville, nous pourrions trouver du travail...

Maintenant, mes pieds me font souffrir, tellement ils sont abîmés par le voyage, car les chaussures que nous avions mises avant de partir de l'orphelinat étaient déjà très abimaient...maintenant, les semelle de mes deux chaussures sont parties depuis longtemps...et je suis sure que ma sœur et mes amies sont dans la même situation que moi... : 

-<< j'espère vraiment qu'il y aura des marchands de chaussure ou des boutiques...franchement, j'ai l'impression que la peau de mes pieds se détachent...>> se lamente Lucie, en grimaçant de dégoût face a ses pieds sales . 

Ma sœur secoue la tête, puis répond : 

-<< Tu crois vraiment qu'on pourra se payer des chaussures dans une boutique ? On a pas un seul écu sur nous...a l'orphelinat on était pauvre, mais là on est même en dessous...je sais même pas comment ça s'appelle quand on est pire que pauvre...>> dit elle en baissant la tête . 

Je la regarde, c'est vrai que nous n'avons rien sur nous, mais je me dis qu'après tout, quand nous trouverons du travail, nous aurons de l'argent pour nous acheter de belles chaussures ! Je sourit a cette simple idée et je regarde le ciel...

 Il fait beau. Bientôt la fin du froid glaciale...

Tout est paisible...une légère brise caresse les feuilles des arbres, tandis que le soleil commence a se coucher a l'horizon...qui pourrait deviner qu'il y a a peine quelques heures, se déroulait un assassina ? Qui pourrait deviner qu'un homme est mort la, sur ce chemin, assassiner par une jeune fille qui le transperça de sa propre fourche... ? Pauvre de lui...pauvre homme qui avait tant d'années encore a vivre...des gouttes de sangs sont sur le chemin, et si elles pouvaient parler, ces petites gouttes de sang dirait bien des choses sur ce qui c'est passer...mais malheureusement pour l'homme, personne n'a vu, n'a rien entendu. Pauvre de lui...pauvre homme, qui n'avait rien fait...