[Bardella et Attal] Désirs interdits (🔞🍋) - Tome 1

XI. Sur la place publique (🍋)

Chacun de leur côté, ils consacrèrent le reste de la journée à préparer leur intervention télévisée.

En fin d'après midi, ils se rendirent séparément dans les studios où la rencontre devait avoir lieu. L'émission était diffusée en direct sur une grande chaine.

Gabriel Attal arriva le premier. Il fut accompagné dans sa loge par un membre de l'équipe. Il était concentré, comme un sportif avant une compétition. Il relu ses notes, révisa ses chiffres. Il écartait au loin dans son esprit les souvenirs de sa nuit avec son adversaire, car il voulait garder en tête ses objectifs.

Lorsque Jordan Bardella arriva, il rejoignit lui aussi sa loge, sans croiser Gabriel. En attendant que l'émission ne démarre, il croqua une pomme et bu un grand verre d'eau gazeuse.

L'émission commença, ils s'aperçurent dans les coulisses juste avant d'entrer sur le plateau. Avec eux, deux autres représentants politiques qui participaient au débat, ainsi que la journaliste qui l'arbitrait.

Les quatre participants se saluèrent. Gabriel Attal et Jordan Bardella evitèrent de se regarder, mais un frisson passa dans leur mains lorsqu'elles se touchèrent.

Ils entrèrent sur le plateau. Les deux amants se faisaient face. Les caméras étaient braquées, et les regards tendus.

La journaliste s'adressa aux téléspectateurs pour annoncer le début du débat.

Le Premier ministre fut le premier à prendre la parole. Son regard était vif, son sourire confiant. Il évoqua les succès du gouvernement, les réalisations de l'Union européenne. Ses mots étaient polis, mais leur tranchant ne laissa aucun doute : il défendait son territoire avec ardeur. Son arrogance trahissait une forme d'insolence qui était directement adressée à Jordan Bardella. Il en jouait.

Les yeux de Jordan Bardella brillaient d'une lueur de défi. Il compris très vite que Gabriel Attal était déterminé et qu'il ne laisserait aucunement leur relation naissante influer sur son goût pour le débat et l'argumentation. Ce comportement galvanisa Jordan Bardella, qui accusa le gouvernement d'échecs et pointa du doigt les politiques européennes. Ses paroles fusaient comme des flèches acérées, cherchant les failles dans l'armure adverse. Au fond de lui naissait une fureur animale qui ne pourrait se régler qu'en privé. Des images de sanctions où se mêlent douleur et domination naquirent dans son esprit.

Les deux autres participants n'étaient pas en reste, et chacun campa sur ses positions en avançant de multiples arguments étayés.

Ils débattirent de la sécurité, de l'immigration, de l'avenir de la nation. Les mots fusèrent et se heurtèrent. Les téléspectateurs étaient captivés par cette joute verbale.

- " Retrouvons nous après une page de publicité", annonça la journaliste après une heure de débat.

Les caméras s'éteignirent, et il fut servi un verre d'eau à chaque participant. Puis, sans un mot, ils quittèrent le plateau pour rejoindre les coulisses.

A ce moment là, Jordan Bardella n'avait en tête que le désir de retrouver son amant. Il remarqua que le premier ministre se rendait aux toilettes du studio. Juste avant que ce dernier n'en franchisse la porte, il jeta un regard par dessus son épaule et croisa celui de son adversaire. Jordan Bardella y observa une lueur qu'il interpréta comme une invitation à le suivre.

La porte des toilettes se referma sur Gabriel Attal, et Jordan Bardella se faufila juste derrière lui.

Immédiatement, il plaça sa main sur la bouche de Gabriel et le tira dans une cabine, en refermant la porte derrière eux. Sans dire un mot, et toujours en serrant fermement la bouche de son rival de sa main gauche, il déboutonna de son autre main le pantalon de costume de ce dernier et baissa son sous vêtement.

Gabriel Attal s'était débattu quelques instants mais avait très vite abandonné la lutte, probablement parce qu'en réalité, il avait très envie de vivre la suite des évènements.

Rapidement, il se retrouva plaqué contre le mur du toilette, la main de Jordan toujours accrochée à ses lèvres, le pantalon baissé jusqu'aux genoux, tandis que Jordan Bardella ouvrait sa braguette et en sortait son membre déjà très tendu.

Il cracha dans sa main, mouilla sa queue de sa salive, et l'enfonça sans hésiter très profondément dans l'anus de Gabriel.
Celui ci se raidit et esquissa un gémissement qui mourut étouffé dans la main de Jordan.

Jordan le baisa violemment de quelques rapides et profonds coups de queue.

- "Tu savais que tu serais sanctionné, n'est ce pas ! Et tu en avais envie ! Tu m'as bien provoqué avec ton insolence et ton aplomb, maintenant tu as ce que tu mérites. Tu te crois tout permis ? Tu crois que tu peux avoir le dessus sur moi ? Alors voilà ta récompense."

Gabriel Attal avait mal, était sali, mais cette douleur faisait écho à ses fantasmes les plus enfouis, et il jouit dans l'étreinte violente de Jordan Bardella.

Quand ils eurent fini, ils remontèrent leur pantalon ; du sperme coulait de l'anus de Gabriel.

- "La pause est terminée, il faut y retourner", souffla Jordan.

Après leur départ des toilettes, un homme en sortit discrètement, c'était Laurel Bompiez, l'un de leurs adversaires. Il était dans la cabine qui jouxtait la leur et n'en revenait pas de la scène à laquelle il venait d'assister.

Les trois hommes retournèrent sur le plateau et l'émission reprit. Jordan et Gabriel étaient encore rouges et essoufflés de ce qu'il venait de se passer.