[Bardella et Attal] Désirs interdits (🔞🍋) - Tome 1

XIII. Ensemble (🍋)

Les deux hommes s'interrogèrent sur la façon de se sortir de cette situation.

- "Pour le moment, le mieux est de n'en parler à personne, et de se faire les plus discrets possible. S'il rend cela public, nous nierons. Nous ne savons pas encore ses intentions, attendons de voir. Il va falloir la jouer fine."

- "Il ne sait pas encore à qui il a affaire", ajouta Gabriel.

- "En attendant, nous allons profiter l'un de l'autre. Nous ne savons pas de quoi l'avenir sera fait, et le moins que l'on puisse dire est que demain est un grand jour"

Jordan prit Gabriel dans ses bras et lui dit :

- "Ce soir, c'est toi qui vas me faire l'amour"

Gabriel fut submergé d'une vague de désir en comprenant la confiance que lui témoignait Jordan par cette demande. Il se sentit honoré, flatté.

Ils allèrent dans la chambre de Jordan.

Celui ci se déshabilla lentement tandis que Gabriel le regardait avec intensité.

Il observait chaque détail de son corps ; sa musculature ciselée, son fessier rebondi, ses bras fermes et délicats. Il arborait une légère toison, tandis que la peau de Gabriel était douce et son torse imberbe.

Ils s'embrassèrent, d'abord tendrement, puis avec de plus en plus de fougue.

Jordan s'allongea sur le côté et Gabriel, placé derrière, lubrifia son anus avant d'y enfoncer un doigt.

- "Ça va ?", s'inquiéta Gabriel.

- "Oui... Vas y doucement, c'est la première fois pour moi tu sais"

-"Je sais, Monsieur Bardella..."

Gabriel l'embrassa dans le cou tout en amorçant un mouvement de va et vient avec d'abord un doigt, puis deux.

Jordan commençait à gémir. Gabriel était si honoré de voir son amant, d'habitude si entreprenant, lâcher prise et s'abandonner ainsi à lui, que son membre se tendit d'excitation.

Il plaça son gland à l'entrée de l'orifice et le pénétra lentement. La main de Jordan empoigna les cheveux de Gabriel, son cou se raidit, son corps se cambra.

Le premier ministre entra plus profondément dans le corps du président du RN dont la respiration commençait à s'accélérer.

Gabriel Attal se recula, puis s'enfonça d'avantage, jusqu'à sentir que le corps de Jordan Bardella se relâchait totalement et n'exprimait plus la moindre résistance.

Alors il lui fit l'amour, caressant son corps, explorant tous ses recoins, s'attardant sur les endroits sensibles ; tandis que la main de Jordan avait glissé des cheveux de Gabriel à sa nuque qu'il agrippait fermement.

Jordan tourna la tête et leurs lèvres se touchèrent, leurs langues se mêlèrent, leur salive passa d'une bouche à l'autre. Gabriel accéléra la cadence tandis que sa main descendit sur le sexe tendu de son partenaire qu'il branla tout en le pénétrant.

Dans un ultime coup de rein, les deux hommes jouirent en même temps, haletants, essoufflés, s'abandonnant l'un à l'autre.

Au milieu de la nuit, Gabriel quitta l'appartement.

- "Il vaut mieux que je parte avant le lever du jour"

- "Demain, quand nous nous reverrons, il y aura un gagnant, et un perdant. Est ce que cela changera quelque chose pour nous ?"

- "Cela ne changera rien...", assura Gabriel.