La ville s'épanouit, s'élève et s'illumine
Se terre et rétrécit, se tait, et s'obscurcit
S'éblouit à nouveau, à nouveau se réjouit
Puis revient à l'ombre où rien ne se devine.
C'est la danse insensée, secrète du pulsar
Qui la nuit hypnotise chouettes, insomniaques
Comme le mouvement régulier d'un phare
Guidant les matelots sur une mer opaque
Le rapide pulsar hésite, ombre ou lumière
Notre étoile à neutron entre deux, il alterne
Rendant sa vigueur aux regards vides et ternes
Il vous fixe de son air altier, hautain, fier
Il fut un jour étoile, est désormais pulsar
Fortuitement découvert par Jocelyn
Avec son mouvement, sa pâleur cristalline
Il semble tourner tourner toujours au hasard.
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Le parfum de l'eau
Poesie"Il est seul. Sa boussole interne mais inerte Indique pour tout Nord l'étendue de sa perte" Recueil de poèmes de Liv Pirosh.