Salut à tous.tes ! Ce chapitre a été écrit presque intégralement dans des trains, durant mes différents périples de vacances. J'espère qu'il vous plaira (même si je doute que vous soyez encore nombreux à me lire, mais pour ceux qui sont toujours là, cœur sur vous)
TW : Torture, traumatisme
Un bourdonnement désagréable résonnait depuis plusieurs secondes dans les oreilles de Law, qui grimaça, plissant ses yeux encore fermés. Le tatoué se sentait engourdi, comme anesthésié, et il était incapable de se rappeler où il se trouvait à cet instant. Il essaya d'ouvrir les yeux, mais ses paupières étaient tellement lourdes ...
Au prix d'un immense effort, il ouvrit péniblement un œil, mais il voyait flou, et cela lui vrilla le cerveau. Aussi, une douleur sourde pulsait dans tout son abdomen, lui arrachant un grognement éraillé.
Il tenta de focaliser son attention sur un point en particulier pour clarifier sa vision, mais il ne distingua qu'un mouvement devant lui, comme si quelqu'un de très grand s'approchait de lui. Blond, avec un manteau à plumes ...
- Cora ... murmura Trafalgar.
Un rire malsain lui répondit :
- Tu n'as pas les yeux en face des trous, mon petit Law.
Cette phrase eut l'effet d'une seringue d'adrénaline sur l'organisme du chirurgien, et le visage de son ennemi juré lui apparut cette fois clairement, avec ses lunettes bizarres et son sourire fou.
Un rictus de rage déforma les traits du brun, qui eut l'instinct de vouloir frapper, mais le geste ne partit jamais : il était enchaîné à une chaise, ou plutôt à un immense trône.
Se rappelant soudain des évènements, Law baissa les yeux et vit que des bandages entouraient son abdomen nu.
- J'ai demandé que tu sois soigné. Après tout, ce ne serait vraiment pas drôle que tu meurs avant que j'en aie fini avec toi, tu ne crois pas ?
Moult répliques se bousculèrent dans la tête de Trafalgar, mais aucune ne franchit pourtant la barrière de ses lèvres, muselées par sa propre haine.
- En tous cas, mon appât a bien fonctionné, tu t'es jeté dans la gueule du flamand rose sans hésitation, fit Doflamingo avant de rire, probablement amusé par sa propre plaisanterie.
- Ris tant que tu le peux encore, gronda Law.
Doffy cessa immédiatement de s'esclaffer, et un rictus à la fois de colère et d'amusement malsain tordit sa bouche :
- Autant dire que j'ai tout mon temps, dit-il en levant la main.
Des fils quasiment invisibles s'enroulèrent autour des poignets déjà attachés du chirurgien, lui rentrant dans la peau, et il se raidit sur son siège, retenant un grognement de douleur.
- Allez, maintenant dis-moi ce que tu mijotais avec tes compagnons de fortune, insista Doflamingo, serrant brutalement le poing.
A ce geste, les fils se resserrèrent d'un coup sec, coupant au passage la main gauche de Trafalgar, dont le cri perçant résonna cette fois dans toute la salle.
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A peine ouverts, les yeux opales du cuistot se posèrent sur la grande main de Zoro, qui reposait là, détendue, sur les draps. Une chaleur agréable l'entourait, car le sabreur l'enveloppait de tout son corps contre son dos, un bras passé sous la tête du blond, l'autre autour de sa taille.
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Space Cowboys
Fiksi PenggemarIl était une fois un homme, qui errait dans le système solaire, à la recherche de têtes mises à prix. Un cowboy de l'espace, un gentleman aux manières à présent désuètes, arborant deux sourcils en tourbillon et une cigarette au bec. Mais durant son...
