chapitre 11

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Yaye Aïda: je ne suis pas une pute..

Mère : oui c'est vrai une pute est mieux que toi , la pute au moins reçois de l'argent en échange pourtant toi tu l'ouvre gratuitement.

j'espère être toujours dans un rêve et que je vais finir par me réveiller, et qu'à mon réveille mon père me dira que aida n'est pas sa maîtresse.....

Yaye Aïda : JE T'AVAIS PRÉVENU BRAMA ,  QUE SI TU N'OFFICIALISAIT PAS LES CHOSES J'ALLAIS LE FAIRE, MAIS TA CONNERIE DE FEMME ET TA STÉRILE ON OSÉ MENACER mon unique enfant avec une arme .

J'ai pas réfléchi à deux fois, j'ai bondit sur elle comme un fauve , jusqu'à me faire rattraper dans ma course par mon père et Jamil .

Moi: VIELLE PORC TU AS OSÉ AVEC MON PROPRES PÈRE,TON PROBLÈME AVEC MOI C'ÉTAIT PAS L'INFERTILITÉ MAIS PARCE QUE MA MÈRE EST LA LÉGITIME ÉPOUSE ET TOI LA MAÎTRESSE.

J'ai craché ces mots avec tant de haine,et de colère,ma voix était grave et pleine d'amertume , pendant que mon père à côté se tordait de douleur car je lui avais déboité le bras dans son élan de vouloir me rattraper .

Yaye aida : oui ton père l'utilise comme du n'importe quoi depuis ,6 ans il me promet de divorcer ta mère pour m'epouser mais rien et tu veux que je laisse la fille de cette femme être heureuse avec mon propre fils, non tu as menti.

Je me débats d'entre les mains de Jamil , pourtant ma mère elle riait , jusqu'à même s'assoir dans le canapé en terminant son thé.

Moi: LÂCHE MOI QUE JE LA BUTE CETTE VIELLE POUFIASSE.

Ibrahim : eh tu respectes ma mère ce n'est pas ton amie, vous n'avez pas fait les boîtes ensemble, c'est à ton père que tu dois te plaindre c'est lui qui est responsable de tes malheur, c'est lui qui m'a poussé dans les bras de Irma car il ne voulait pas que découvre sa liaison avec ma mère,il a tout fait pour que je l'épouse et que toi tu épouse ton fichu cousin ,donc laisse ma mère en dehors de tout ça et bat toi avec ton père...maman allons nous en d'ici.

Irma qui avait un sourire au lèvre alors que leya semblait dépassé par la situation.

Irma : chéri allons nous en , laissons les réglé cette histoire.

Il vient récupérer sa mère qui me lance un mauvais regard de la tête au pied .

Yaye Aïda : vous avez intérêt à laisser mon mari venir me voir.

Jamil me lâche immédiatement comme s'il l'avait compris et d'un pars rapide, presque en courant je monte les marches pour aller chercher l'arme de mon géniteur ,il faut que je l'a bute pour avoir la paix.

Irma : allons-nous en ,Racky est capable de tout lorsqu'elle est en colère .

Je prends larmes je charge et je descends en courant les marches le regard sévère, ils prennent leur jambes à leur cou ,je les suis et je tire en leur direction, les personnes aux alentours se tiennent l'oreille et les concernés sont couchés au Sol .

Moi: vous voulez Allez où comme ça, vous êtes venus chercher les embrouilles  assumé.

Papa : RACKY .

Moi: QUOI RACKY ,JE TE RESPECTE BEAUCOUP MAIS JE VAIS M'OCCUPER D'EUX ET ON DISCUTERA APRÈS, DUBIA FERME LE PORTAIL .

Irma : pardon moi , je ne suis pas concerné, je suis juste venu voir ma tante ,donc je me lave les mains.

Jamil me retire l'arme des mains le regard très sérieux et en colère.

Moi : pour qui tu te prends?

Je vais vers la cuisine chercher un couteau de cuisine

Jamil: allez vous en , d'ici et ne revenez plus.

LADY RACKY Où les histoires vivent. Découvrez maintenant