F1 One shot

Ame-soeur- Piarles

Musique: j's lullaby (darlin' i'd wait for you)

TW: mention de mort (Jules Bianchi, papa de Charles 🕊️)

Juste il y a des choses pas coerente avec la vraie vie, ne faites pas attention
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Les étoiles avaient toujours intéressé Charles. De grandes boules de feux a des milliards de kilomètres au-dessus de lui qui remplissait la nuit noire par une nuit d'une beauté inconditionnelle. Les constellations étaient des dessins créés par les étoiles et imaginés par les hommes qui étaient des dessins si beaux que dès le plus jeune âge, on adore les regarder pendant des heures.

Charles avait cette habitude avec Jules, de venir se coucher dans un champ la nuit tombée et d'admirer les étoiles jusqu'à ce que le soleil ne pointe le bout de son nez. Ces moments étaient précieux pour le monégasque, tellement précieux que même après plusieurs années il y repense encore avec le sourire. Il voudrait tellement revivre un moment pareil avec son parrain sportif.

Mais ce n'est malheureusement plus possible.

( Paix à ton âme Jules 🕊️🤍)

Ces soirées lui manquaient. Leurs discussions sur l'astrologie, les croyances, les légendes, la vie lui manquaient. Leurs sourires complices quand ils voyaient une étoile filante lui manquait. Les connaissances de Jules sur l'astronomie lui manquaient. La relation qu'il avait avec le plus vieux lui manquait.

Il lui manquait.

Mais heureusement il avait Pierre. Pierre était son meilleur ami depuis l'enfance. Il a été dans les meilleurs et les pires moments. C'est lui qui l'a félicité le premier à sa première victoire en F4, en F3, en F2 et en F1. Toujours le premier à venir le prendre dans ses bras. C'est lui qui le défendait contre les brutes de son école. C'est lui qui a été la quand il s'est fait largué brutalement par message. C'est lui qu'il l'a le plus aidé quand il a perdu Jules.

Quand tout son monde venait de s'écrouler, le français a su recoller les bouts un à un avec patience et gentillesse.

Et quand son monde s'est écroulé une deuxième fois pour la perte de son papa, il était là et avait recommencé a tout recoller du mieux qu'il pouvait.

Si le monégasque souriait autant, qu'il riait et qu'il était heureux c'était en grande partie grâce a Pierre.

Il tourna la tête vers celui-ci, il était tout simplement magnifique sous la lumière de la lune avec tout le blé autour de lui. Il le regarda de la tête aux pieds avec innocence. Ils étaient couchés là, dans un champ, en pleine nuit.

Comme les soirées qu'il passait avec Jules.

« Qu'est-ce qu'il y a ?»

« Rien. Je repensais juste à Jules. À nos soirées.»

Il regarda un sourire s'étirer sur les lèvres du français alors que ses yeux étaient remplies d'étoiles.

« Positivement?»

« Très positivement.»

Le sourire que Pierre avait se répandit dans le visage du monégasque alors qu'il détourna ses yeux de son étoile préférée pour regarder le ciel étoilée.

Il tendit le bras avec le doigt pointé vers un aglorissement d'étoiles, le visage illuminée par la joie et par la lumière de la lune.

« Regarde, on voie Orion.»